Cherchons des indices, peut-être qu'ils sont simplement aller s'amuser et ne voulait pas prendre le risque de se faire voler la sacoche pendant que l'on dormait. On pourra toujours lancer un sort après, mais si on peut éviter de se fatiguer pour faire un truc encore plus cool après qu'un gros flash, c'est mieux.

réponse B !! il y a sûrement un indice pour comprendre pourquoi il se retrouve tout seul !!

Je pense pareille.

Inutile de partir précipitamment, les indices ce trouve peut être juste sous notre nez.

Donc B

La flemme de bouger, je vote pour lancer un sortilège de détection.
Et ça servira en plus à vérifier d'éventuelles présences hostiles à l'origine de ces disparitions soudaines. Plus rapide et plus sécurisé.

Au passage.
J'ai bien aimé .

Je vote pour le sort, parce que i'm a lazy ass

J'ai prit B ^^. Et vive Discord .

Pour les licornes en race spéciale, il peut y avoir les lignomes, des licornes un peu plus petite que la normal mais avec un ingéniosité sans borne et de grandes compétences en mécaniquies et sciences non oculte.

Vous vous mettez à chercher des indices dans le camp pour trouver ce qui s’est passé pour que vos amis disparaissent ainsi, et surtout, pourquoi vous n’avez pas été dérangé pendant votre sommeil, ou avez subit la même chose qu’eux, quoi que ce soit. Vous observez le camp.

Il n’y a plus aucune trace de Zurin. Le guerrier et ses affaires ont disparus. Il n’y a pas de trace de lutte, pas de sang séché ou de coup d’épée dans le sol. Concernant Derpy, la ponette avait peu d’affaires. En cherchant un peu aux alentours, vous retrouvez sa sacoche, mais sans le colis à l’intérieur. Au sol, vous remarquez des tas de traces de sabots, mais qui curieusement commencent au milieu de la route. Vous les suivez, tentant de retracer les mouvements des protagonistes. Vous en êtes cependant sûr, vos deux compagnons ne vous ont pas abandonné, et d’autres personnes étaient présentes. Elles sont apparues proches du camp, comme si elles s’étaient téléportées, mais les traces sont légèrement enfoncées. Vous ne devriez peut-être pas, mais vous tentez de vous rappeler de ces romans d’enquêtes que vous lisiez. Vous en concluez sans trop de doute que les intrus étaient des pégases. Un nom apparait dans votre esprit : Wonderbolts.

Vous ne repérez pas de traces de luttes, et en concluez que vos amis se sont fait avoir par surprise. Les bandits en voulaient assurément au colis de Derpy. Mais dans ce cas, pourquoi enlever les deux autres ? Il n’y a pas de trace de pas partant du camp, donc Zurin n’est pas parti seul, et par conséquent ils ne sont pas partis à la poursuite des voleurs.

La question qui se pose alors est : pourquoi vous êtes toujours ici ? Si les maladrins de Soarin ont enlevé vos amis pour d’obscures raisons –l’esclavage vous viens alors à l’esprit-, pourquoi pas vous ?

Vous observez autours de vous, tentant de trouver une indication qui vous permettrais de savoir où sont partis les ravisseurs. Vous vous engagez, un peu inquiet, dans les bois, et repérez des espaces dégagés à une certaine hauteur, permettant le vol d’un pégase. Quelques mètres plus loin, vous trouvez des traces au sol, mais vous devez utiliser votre magie pour augmenter vos capacités de perception. Au fur et à mesure que vous vous enfoncez dans la forêt, les indices deviennent de plus en plus évidents, les ravisseurs faisant moins attention à rester invisibles, et bientôt, vous n’avez plus besoin de votre corne que pour la lumière et effrayer les bêtes sauvages, lesquels vous ne craignez plus vraiment, trop accaparé par l’inquiétude pour vos amis. Certains des bandits avaient mis pied à terre, sûrement ceux portant les victimes, et laissent des traces de pas profondes dans le sol.
Au bout de quelques heures de marche, vous vous figez, le sabot en l’air. Vous venez de repérer un fil au sol, juste sous votre patte. Vous reposez votre membre délicatement de l’autre côté, remerciant le ciel d’avoir vu le piège. Mais ce signe ne trompait pas : vous approchez du camp.

Quelques minutes de lutte dans la forêt à éviter les pièges subtilement dissimulés grâce à votre sort de perception, vous finissez par apercevoir le camp des bandits, une grotte dans une petite falaise à flanc de colline devant laquelle se trouvent quatre poneys jouant aux cartes. En haut de la colline, un autre pégase fait une ronde. Vous faites le tour pour faire du repérage. Vous ne voyez que ces cinq poneys qui gardent l’entrée, et la forêt est assez touffue pour vous cacher à leur vue. Vous laissez la magie couler dans vos veines et préparez mentalement vos meilleurs sorts de combat. En même temps, vous cherchez un moyen d’entrer plus discrètement, un repère de bandits de ce calibre devant être une termitière de passages secrets. Cependant, vous n’oubliez pas que les Wonderbolts sont nombreux, et leur repère sûrement très grand, peut-être trop pour vous seul.

Que faire ?

-Attaquer de front en déchaînant votre magie pour sauver vos amis.
-Tenter de trouver une entrée secrète pour pénétrer à l’intérieur.
-Continuer votre route jusqu’à Canterlot et prévenir les autorités de l’endroit où se trouve le repère pour vous aider à sauver vos amis.

http://www.pixule.com/183718808880_mode-dattaque.html

Et ben on n'est pas dans la mouise là.

On a beau être un mage avec des sorts de malades si on attaque de front c'est GAME OVER !

Moi je prends B : chercher une entrée secrète

L'attaque de front est évidente proscrite, et il me semble que Canterlot n'est pas a un quart d'heure de marche, le temps qu'on fasse un aller-retour, ils se seront déjà barrés...
Bah B, alors. Même si la sentinelle risque de nous repérer lorsqu'on fouine autour du camp.

La furtivité, c'est le bien.
B.

On a peut-être un sort d'invisiblité ou un truc du genre, ça pourrait bien aider.


Mais clairement B là, autant j'étais chaud pour tester nos pouvoirs plus tôt, mais là je le sens pas, on va se retrouver complètement crever après 2 ou 3 Wonderbolts max, se faire chopper et ensuite....on sait pas. Mais ils n'apprécieront sûrement pas qu'on est essayé de les dézinguer.


On peut tenter de se faire juste capturer sinon, non? On nous met avec les deux autres (ou pas trop loin) ou un truc du genre et ensuite on peut utiliser notre magie pour se libérer. Zurin + nous ça pourrait le faire?

(mais le plan B fonctionne très bien pour se faire capturer B)

LEEROOOOOY m'JENKINNNNNS

Ca veut dire A.

B idem.

On c'est même pas si ils sont hostilles et si ils ont vraiment enlevés les deux autres. Peut etre qu'ils les ont suivi de leur plein grés pour une raison qui nous échappe.

Si c'est ça et qu'on fonce dans le tas on aura l'air con. De plus on ne connait même pas les effectifs et se sont des assassins agueris.

Vous contournez le promontoire, cherchant quelque part un indice ou une trace d’une entrée secrète. Vous êtes conscient que votre sort d’augmentation de perception vous pompe lentement votre énergie, mais vous ne vous sentez pas de foncer dans le tas. Vous êtes un mage, que diable ! Vous faites extrêmement attention à ce que la sentinelle en haut de la petite falaise ne vous voit pas, caché dans les arbres. Soudain, vous vous figez. A quelques mètres de vous se trouve un pégase en armure de cuir, un sabre accroché à portée de bouche, qui se soulage contre un arbre en sifflotant. Faisant un tour des environs avec votre vue magnifiée, vous identifiez l’entrée secrète que le malandrin gardait. Vous chargez alors votre corne d’électricité, et faisant appel à vos connaissances sur l’anatomie équine, vous lui envoyez une décharge dans la nuque. La victime s’effondre sur l’arbre et glisse lentement au sol. Vous vous approchez de lui, prudemment, et l’observez pour vérifier qu’il est bien assommé, évitant néanmoins de regarder en contrebas pour lui laisser un minimum de pudeur.

Et puis, pour être bien sûr, vous lui remettez une décharge.

Vous vous dirigez alors vers la trappe cachée au sol sous des buissons, et la mettez à jour. Vous l’ouvrez et jetez un coup d’œil à l’intérieur, illuminant l’ombre avec votre corne. Rien à signaler, vous pénétrez dans le tunnel en refermant derrière vous.

Le tunnel est à peine assez grand pour un poney, et extrêmement sombre, vous obligeant à vous servir de votre corne pour progresser. Au bout d’un moment, vous voyez une lueur au bout du tunnel, et éteignez votre magie. Vous atteignez alors l’embouchure, et observez.

Vous voyez une grande caverne possédant des tas de corniches et vous êtes sur l’une d’entre elle, surplombant donc l’aire centrale où un certain nombre de pégases s’activent, jouent aux cartes, s’entrainent avec leur armes ou dorment, et le sol est jonché de caisses de marchandises et de sacs. Heureusement, aucun des poneys volant n’est à votre niveau ou ne regarde vers vous, vous pouvez donc observer la scène tranquillement.

Votre corniche est malheureusement isolée du sol, les pégases n’ayant pas besoin d’échelle ou d’escalier pour l’atteindre. Cependant, vous pouvez voir en bas que, contrairement à ce que disait Zurin, les Wonderbolts n’étaient pas exclusivement des poneys ailés, car un terrestre joue aux cartes avec eux.

Un terrestre extrêmement familier. Un immense sentiment de tristesse et de trahison vous submerge quand vous reconnaissez le guerrier qui pose un tas de pièce au centre de la table. Vous voyez alors un pégase bleuté sortir d’un des tunnels au sol, une fine moustache et une barbichette qui lui barre le menton, et affublé d’un grand chapeau de mousquetaire. L’ensemble respire l’élégance, mais le sang sur ses sabots alors qu’il se les lave dans un cours d’eau qui coule dans la caverne ne laisse planer aucun doute : il s’agit de Soarin, le chef de la bande des Wonderbolts.

Une fois ses sabots propres, le capitaine va voir la table de jeu.

-Tiens, Zurin, pendant que je te tiens…

Il lui lance un sac que le terrestre attrape au vol, puis ouvre pour regarder à l’intérieur. Un sourire satisfait s’affiche alors sur son visage.

-C’est bien ce que je pensais.
-La Lady devrait penser à engager des gens plus sûrs pour transporter sa camelote, dit pensivement le pégase. C’est comme une invitation, de balader ses colis avec une pouliche comme ça.
-Pour sa défense, c’était pas elle qui a envoyé le paquet.

Soarin hoche alors la tête, et regarde la table.

-Qui gagne ?
-Zurin, répondit un des Wonderbolts.
-Tu triche comme un vrai pégase, dit Soarin au terrestre. Définitivement, je regrette pas t’avoir engagé.
-Personne ne se méfie des terrestres quand on parle de Wonderbolt.
-Au fait, on m’aurait parlé d’une troisième personne ?
-Rien à craindre. Une pauvre licorne paumée qui rêve d’être un héros, en sortant de son village de paumés. Comme on avait rien pour maitriser sa corne, on l’a laissé aux bestioles.
-Va vraiment falloir qu’on se procure ces neutraliseurs de magie. On loupe une fortune en esclaves à les crever. D’ailleurs, pourquoi ne l’as-tu pas tué ?

Zurin hausse les épaules, Soarin hoche la tête.

-T’es encore trop sympa, Zurin.
-En parlant d’esclave, elle devient quoi, la pouliche ?
-Elle se repose. Elle va avoir besoin de toute son énergie très bientôt.
-C’est à elle, dit le guerrier en montrant les traces de sang.

Soarin regarde son sabot et secoue la tête.

-Oh, ça ? Non. Un prisonnier récalcitrant. Je vais pas abîmer la marchandise, quand même, surtout de cette… Qualité-là.

Soarin semble réfléchir un instant, et sourit malicieusement.

-J’ai bien envie d’aller y jeter un coup d’œil, d’ailleurs.

Les pégases aux alentours ricanent, et le chef des pégases retournent dans le tunnel d’où il est venu. Vous attendez quelques secondes, puis vous concentrez sur l’espace proche de cet accès, où sont entassées des tas de caisses. Vous contrôlez votre énergie magique, espérant réduire le claquement sonore au minimum pour qu’il se fasse étouffer par les bruits ambiants de la cave, et vous vous téléportée dans un flash.

Un pégase tourne la tête vers la corniche où vous étiez, et commence à s’envoler, mais vous êtes déjà derrière les caisses et vous vous engagez sans attirer l’attention dans le tunnel.

L’espace est assez large, et heureusement vous ne croisez personne. Vous suivez les traces de pas du pégase au sol, en prenant bien soin de lancer un sort de détection pour éviter les mauvaises rencontres. Vous vous engagez dans un dédale de couloir, et finalement arrivée à un endroit dégageant une horrible odeur de sueur et de sang mêlé. Vous entendez alors du bruit, et votre sort vous avertit de la venue d’un ennemi. Vous entrez alors dans une cellule et baissez la tête. Le garde passe sans vous accorder un coup d’œil, en marmonnant quelque chose à propos de « ceux qui s’amusent ».

Pris d’un doute, vous continuez votre route dès que le garde est hors de vue. Vous arrivez alors à des portes enchâssés dans les murs, opaques. Soudain, vous entendez un petit cri de surprise venant de l’une des portes. Vous vous dirigez vers elle, et la voyez entrouverte. A l’intérieur, vous entendez :

-Qui êtes-vous ? Qu’est-ce que vous me voulez ?
-Je vous regardais dormir. Vous avez le sommeil agité.
-Qu’est-ce que vous allez me faire ?
-Vous vendre. Voyez-vous, de nombreux chefs de clans zèbres recherchent de nouvelles saveurs pour leurs harems, et je pense que je pourrais tirer un bon prix de votre vente.
-Mais c’est…
-Un compliment, la coupe le pégase en ricanant. Mais voyez-vous, je ne suis pas un mauvais vendeur. Hors de question de vendre un produit sans l’avoir… testé.
-Quoi ? Mais, non ! Ecartez-vous !
-Vous avez le choix, mademoiselle. Etre traitée galamment ou violemment. Tout dépend de votre accord… ou non.
-Vous êtes un monstre !
-Un monstre qui vous trouve fort jolie.
-ECARTEZ-VOUS !
-Je devrais dire la même chose à vos pattes.

Et il éclate d’un rire sardonique

La porte est entrouverte, mais lourde. Si vous voulez entrer et neutraliser Soarin, vous devrez perdre un temps précieux, qui laissera éventuellement au pégase l’occasion de riposter. Les solutions défilent dans votre tête, toutes plus mauvaises les unes que les autres.


Derpy est en danger !
-Préparer un sort d’attaque, entrer et frapper le pégase de votre sort.
-Rester à l’extérieur, et utiliser la télékinésie pour lui tirer son arme et la planter dans le voleur.
-Utiliser votre magie pour défoncer la porte et foncer sur le Soarin corne en avant.
-Attendre qu’il soit occupé pour passer à l’action.

http://www.pixule.com/183904583126_derpy-est-en-danger.html

Choix C. Pour l'honneur

C'est peut-être injuste ou sale, mais honnêtement, je voit que la D de viable.

Et ben on est vraiment mal barré !

J'hésite entre le A, B et D

Alors D : j'aime pas le terme "occupé", certes on aura l'occasion de lui en coller une, mais....il va "s'occuper" de Derpy !

A : Cela pourrait marcher, un bon coup d'éclair dans la nuque et hop ni vue ni connue !

B : Vu qu'on a l'air d'être très habile avec la magie, ça pourrait être bien mais si on le "plante" il va hurler et rameuter des gardes

Je dis donc A...même si la D peut nous donner plus de chance de réussir j'ai pas envie qu'il touche à Derpy ce saligaud !

Je vote D.
Vu qu'on ne fait objectivement le poids contre le chef des wonderbolts en combat régulier, mieux vaut attaquer en traître pendant qu'il est "occupé" à poser ses sales pattes sur derpy.

Magicpixel a écrit:

Je vote D.
Vu qu'on ne fait objectivement le poids contre le chef des wonderbolts en combat régulier, mieux vaut attaquer en traître pendant qu'il est "occupé" à poser ses sales pattes sur derpy.

Il va pas que poser les pattes.
Comprends bien qu'il doit être suffisamment distrait pour ne pas entendre la porte ou te sentir t'approcher par-derrière. Donc, il doit y avoir une source de cris bruits suffisamment fort et que le malandrins soit suffisamment concentré.

Cherchez pas ailleurs, D, c'est un viol.

Et je pensais pas ça de toi, Magic. Te palucher sur le viol de notre pegasounette préférée...
Gros dégueulasse.

EDIT : putain, A/B/C égalité 3 votes...
ZOOOOOOOOOB !

Iron Pony Maiden a écrit:

Cherchez pas ailleurs, D, c'est un viol.

Tu n'essaierais pas d'influencer le public, par hasard ?

Peut-être que soarin qui tripote derpy ça ne t'inspire tout simplement pas...

Iron Pony Maiden a écrit:

Cherchez pas ailleurs, D, c'est un viol.

Bien pour ça que je propose la technique la plus rentre-dedans. Personne, personne, ne touche à la Factrice sans en prendre plein laggle.

Au contraire, je prévoyais même un choix où le héros se touchait devant cette scène.

Enfin bref...

Mais si faut écrire un viol, j'écrirais un viol. J'ai un engagement à tenir.

Iron Pony Maiden a écrit:

Mais si faut écrire un viol, j'écrirais un viol. J'ai un engagement à tenir.

Alors que tu t'y étais toujours opposé dans l'univers joyeux de PWC ?

Bro-Nie a écrit:

Iron Pony Maiden a écrit:

Mais si faut écrire un viol, j'écrirais un viol. J'ai un engagement à tenir.

Alors que tu t'y étais toujours opposé dans l'univers joyeux de PWC ?

Aujourd'hui, je pense que je pourrait le faire.

Et puis merde, Spitfire a toujours pas gouté à Dashie.