Choix A. On attend

Choix A
Si on commence à fouiller, elle nous prendra la main dans le sac et elle risque de pas aimer.

Quelqu'un a dit main ?

Bro-Nie a écrit:

Quelqu'un a dit main ?

Façon de parler...

c'est vrai que je devrais faire plus attention à remplacer "main" par "sabot" mais bon...
comment on peut prendre quelque chose avec un sabot?

Les sabots des poneys du show sont préhensibles.

Ce sont des trolls, ils utilisent des aimants. (Problem physics?)

Choix A. 'Nuff said.

Choix A, on attend épicétou.


Elle va nous prêter son compte en banque et on va pouvoir s'entraîner auprès de grands mages pour ne plus galérer. /syndrôme Morrowind

La dame a été très gentille avec nous. Evitons de lui faire un coup de pute.

Choix A.

La A parce qu'on à été bien élever et que voler cay mal m'voyez ( en plus on s'est cassé le cul à lui filer ses diamants c'est pas pour les reprendre 3 minutes après )

Voler les bijoux de Rarity alors qu'elle nous promet déjà une récompense, et qu'il est possible qu'elle nous en donne encore plus pour avoir éliminé Soarin ? (Ou plus vraisemblablement, si la tête de Soarin était mise à prix, qu'elle se débrouille pour que l'on touche la somme ?)

Non, tout simplement non (en plus, elle nous a même offert le bain).

Sortir de la maison... pourquoi ? On a pas encore été payé...
Fouiller : par principe, non. D'autant plus que si elle rentre et nous choppe le sabot dans le sac (ce qui ne manquerais pas d'arriver), adieu notre belle renommée naissante. Nous ne serions plus qu'un rustre, doublé d'une brute qui a assassiné Soarin. Certes, c'était un criminel, mais nous le deviendrons aussi (screw logique).


Donc, choix A.

((Je suis d'une lenteur en ce moment...))

Vous sortez de la salle en la refermant, puis vous vous mettez à la recherche d’un salon où vous pourriez attendre la jument sans poser de problème. Vous tournez cependant dix bonnes minutes dans la grande maison vide avant de trouver une grande salle prévue pour accueillir des invités. L’absence d’un quelconque serviteur vous intrigue un peu, car du peu que vous connaissiez de la noblesse, une armée d’assistants répondant au moindre de vos appel était une condition de base.

Les minutes passent, se transformant en heure, quand finalement la porte du salon s’ouvre sur la jument, l’air halluciné, vous regardant comme si vous étiez un être d’un autre monde.

-Suivez-moi. Nous devons parler.

Vous sautez sur vos pattes et la rejoignez, puis elle enchaîne les couloir, tout en vous parlant :

-Je suis désolée d’avoir été un peu longue, mais je devais vérifier un certain nombre de chose. La rumeur se répand que Soarin aurait été tué, et une patrouille a été envoyée pour confirmer cette information.
Je suis allée parler à la caravane de marchand qui venait d’arriver, qui m’a confirmé votre histoire. Puis j’ai cherché cette fameuse « Derpy », et…

Elle s’arrête, et se retourne, vous faisant face.

-L’état de cette pauvre petite… Soit vous avez peaufiné un excellent mensonge, soit vous êtes vraiment ce que vous prétendez être. Et j’ai fait le pari de vous croire. Cette pauvre jument… Quand j’ai vu son enfant, j’ai compris pourquoi vous teniez tant à la récompenser elle aussi. N’ayez aucune crainte, j’ai fait jouer mes relations. Elle aura droit aux meilleurs soins, et je me suis débrouillée pour ne plus qu’elle ait à risquer sa vie à l’autre bout du pays pour entretenir la petite.

Vous vous apprêtez à la remercier, mais elle repart déjà dans le couloir.

-Mais vous… Vous méritez plus que ce que j’allais vous donner. Ah, nous y voilà !

Vous atteignez une porte, en fait celle de la salle étrange dans laquelle vous êtes entré plus tôt. Elle vous invite à la suivre, et vous pénétrez à nouveau la salle au tissus.

-Ne faites pas attention au bazar, mais évitez de déplacer quoi que ce soit. C’est un chaos organisé, pour m’inspirer.

Vous demandez ce qui peut bien être inspiré comme ça, et elle se retourne vers vous, surprise.

-Vous ignorez donc qui je suis ?

Vous haussez les épaules, ayant bien entendu « Lady » et « Rarity », mais vous ne vous y êtes pas attardé.

-Je suis effectivement Lady Rarity, dit-elle, cachant assez mal son air vexé. Je suis la plus grande couturière de Canterlot, et il me semblait avoir un certain rayonnement dans le monde, mais il faut croire que ce n’était qu’illusion. Enfin…

Vous lui dites que vous ne vouliez pas la vexer, que vous êtes assez peu au courant du monde qui vous entoure, et qu’une autre personne l’aurait peut-être reconnu.

-Ne vous excusez pas. Un peu d’humilité ne fait du mal à personne. Mais sachez que je connais beaucoup de monde dans cette ville, ainsi que certain de ses secrets, donc si vous avez la moindre question sur votre séjour, je serais ravie d’y répondre.

Puis elle ouvre un placard, et fouille à l’intérieur. De nombreuses robes s’y trouvent, et elle en tire quelques-unes par magie, les place à côté de vous une par une, l’air songeur, et secoue la tête à chaque fois, jetant les magnifiques œuvres de tissus au sol. Vous lui demandez doucement et avec les plus de tact possible à quoi rimait ce manège.

-Voyez-vous, mon cher, le plus souvent, je fais le design des robes, et des assistants se trouvant dans ma manufacture les fabriquent pour la population. Mais je fais aussi certaine robes moi-même. Ce sont généralement des œuvres uniques et rarissimes, mais ce n’est pas tout. Je suis une –et peut-être la seule de Canterlot- experte en vêtements magiques. Ah !

Elle sort une cape, et la place à côté de vous, l’air satisfaite.

-Bien sûr, la simplicité et la commodité pour un aventurier. Et une meilleure canalisation, pourquoi n’y ai-je pas pensé avant ?

Vous penchez la tête sur le côté, ne comprenant rien à son charabia.

-Je vois que vous êtes perdu, laissez-moi vous expliquer. Pour rendre un vêtement magique et donc conférer aux porteurs des capacités accrus, on utilise souvent des enchantements sur le vêtement fini. Mais ceux-ci finissent toujours par s’évanouir, s’épuiser, et l’habit perd de sa puissance pour finalement redevenir un simple morceau de tissu.
Mais il existe une autre méthode, c’est de fabriquer le vêtement avec des matières magiques, directement. Et là, c’est le mélange entre les tissus, la conception, la forme qui donne au vêtement sa puissance magique et ses capacités. Et les effets sont permanents.

Elle plis la cape, et vous la fait léviter sous le nez.

-Ainsi, comme c’est le design qui décide du pouvoir, et la façon dont l’habit interagit avec le corps qui décide du design, j’ai toujours pensé qu’un habit magique pertinent devait être choisit par le fait qu’il allait au poney, et pas à cause de son pouvoir. Il révèle la véritable nature du porteur.

Vous avouez être un peu perdu dans ce qu’elle dit.

-Je suis désolée, je m’emporte toujours un peu quand je parle de mes créations. Pour faire simple, je fabrique des vêtements magiques, et je les vends aux gens en fonction non pas de leur pouvoir mais de la façon dont ils se marient avec le poney. Et j’ai appris que vous aviez perdu votre cape pendant votre combat contre les Wonderbolt.

La cape pliée se soulève juste sous votre nez.

-Alors je pense qu’une récompense juste serait de vous offrir un nouveau vêtement. Il complète parfaitement votre chapeau, et vous va à merveille. Son pouvoir est de d’aider la canalisation de la magie dans votre corps. Votre magie sera donc plus rapide, se régénérera plus vite, et vous fatiguera moins. Prenez-la, c’est un cadeau.

Vous vous emparez de la cape, et la passez sur vos épaules. Elle est simple, mais vraiment très belle. Vous mettez alors votre chapeau sur votre tête, et ce faisant, trouvez effectivement que la lévitation est plus fluide qu’auparavant. Vous remerciez alors la licorne pour ce présent.

-Oh, mais ce n’est pas tout, mon cher, dit-elle en brandissant un papier. Voici un nouveau bon au porteur, d’une valeur plus conséquente. Ça devrait couvrir vos frais d’aventure.

Vous prenez le papier en haussant un sourcil.

-Les bons au porteur servent à être échangés dans une banque contre de l’or. C’est plus pratique et moins encombrant que des lingots si on est fortunés, et que l’on n’a pas de sac à condensation magique. Venez avec moi, je vais vous montrer.

Vous sortez du manoir, et descendez la rue légèrement plus animée. Vous empruntez quelques chemins , et finalement arrivez sur une place centrale, où se trouvent un bon nombre de poneys, la plupart licornes, déambulant sur les pavés ou juste buvant un café sur une terrasse. La Lady vous mène à un grand bâtiment en pierre presque dépourvu de décoration. A l’intérieur, tout est plutôt calme, hormis quelques citoyens parlant aux guichetiers. Un poste se libère, et Rarity et vous y allez.

Vous observez Rarity qui montre le bon au porteur au poney derrière la grille, qui le prend alors que la ponette lui demande une certaine somme. Le poney disparait alors part une porte de derrière, et revient au bout d’une dizaine de minutes, puis pose un sac sur le comptoir ainsi qu’un papier ressemblant au second, mais dont le chiffre était différent, en fait amputé de la somme demandée. Rarity prend le sac et le papier, vous donne le nouveau bon et ouvre la besace pour recompter les pièces. Puis elle vous le tend.

-Toujours recompter, on ne sait jamais, dit-elle.
-Votre manque de confiance est vexante, My Lady, fit le guichetier.
-Vous m’avez déjà eue une fois.
-Une erreur tout-à-fait regrettable.
-Au revoir.

Vous sortez de la banque, et la licorne vous glisse :

-Ne soyez jamais trop confiant envers un banquier. Son métier est de jouer avec votre argent.

Vous ressortez dans la rue, et vous ne savez pas où aller. Rarity commence à partir devant et, vous voyant perdu, vous dit :

-Que diriez-vous de m’accompagner ? Je vais vous faire visiter un peu la ville.

Vous acceptez avec plaisir et commencez à marcher dans les rues, la Lady vous apprenant les points d’intérêts les plus importants, tels que le château, le quartier général de la Garde, les rues commerçantes, les hôtels, les lieux moins… Disons, plus adultes.

La journée passe, quand soudain, la jument pousse un cri :

-Oh douce Celestia !

Elle se précipite sur l’étal d’un marchand de pierres taillées, et dénigre la plupart des pièces pour se concentrer sur un magnifique joyau rouge trônant en plein milieu.

-C’est un véritable Rubis de Feu ?
-Oui Madame, fit le marchand. Malheureusement, il n’est là que pour l’exposition.
-J’en ai absolument besoin pour ma nouvelle création ! Je suis prête à mettre n’importe quel prix !
-Navré, madame, rétorqua le poney, mais il s’agit de ma seule œuvre de ce type et mon joyau le plus précieux. J’ai une commande qui devrait arriver dans le mois, si vous en avez la patience…
-Je ne l’ai pas, c’est exactement ce qu’il me faut ! La taille est parfaite, le polissage se marierait avec magnificences aux tissus de… Vendez-le moi, je suis prête à tout.
-Non. Je suis désolé, mais c’est catégorique.

Rarity fait une moue, et vous voyez sa corne luire légèrement.

-S’il vous plait, dit-elle d’une voix plaintive. Je n’aurais pas suffisamment de temps pour en trouver un autre.
-Je… Je ne peux vraiment pas.
-Je vous donnerais le prix que vous voudrez.
-Non… Je…
-Vendez-le moi.

Cette fois, le poney ne proteste pas, et prend un air étrange.

-Bien, mais le prix sera conséquent.
-Envoyez-moi la note chez moi, Lady Rarity, je vous payerais dans les vingt-quatre heures.
-Bien madame. Je vous enverrais le joyau quand je serais payé.
-Non, je le prends avec moi.
-Bien sûr. Allez-y.

La jument prend alors le rubis par télékinésie et le met dans son sac.

-Je vous remercie, mon brave. Vous me sauvez la vie.
-C’est un plaisir.

Puis elle s’éloigne, et vous la suivez. Au bout d’un moment, elle dit :

-Oui, c’est mal, mais j’en avais vraiment besoin. Et puis, il sera grassement payé.

Vous ne protestez pas. Après tout, vous n’êtes pas forcément blanc comme neige niveau conscience. Vous continuez votre route, arrivant dans une rue bondée. Vous avancez lentement, bousculant les passants. Rarity semble mieux s’en sortir, mais ne peut éviter quelques impacts également.

Soudain, il vous semble entendre des sons étranges, au milieu du brouhaha de la foule. Des… grelots ?

Puis une voix stridente hurle derrière vous. Vous vous retournez, et la foule s’est écartée, laissant voir au milieu de la rue un corps de poney au sol, du sang s’écoulant sous sa tête.

-Laissez passer ! cria une voix. Garde de Canterlot, laissez passer !

Trois licornes en armures émergèrent de la foule, et se dirigèrent vers le corps. L’un d’entre eux donna un ordre, et un second s’écarta, la corne brillante et l’air concentré, murmurant des paroles. Vous reconnaissez alors un sort de télépathie.

Les autres observent le corps.

-Merde, fit le chef. Pas encore…

L’autre tourne légèrement la tête du cadavre. Vous voyez qu’il a la gorge profondément entaillée, mais également que ses joues étaient découpées jusqu’aux oreilles. Puis vous vous sentez tiré en arrière.

-Partons d’ici, chuchota Rarity. Ça va rapidement être la…
-LE BOUFFON ! LE BOUFFON EST DE RETOUR !

Puis c’est la panique. Les poneys se mettent à courir dans tous les sens, bousculant les autres, trébuchants. Les gardes tentent de garder un semblant d’ordre et surtout d’éloigner les poneys du cadavre. Rarity commence à s’éloigner.

Quand à vous, cette histoire de « Bouffon » vous dit quelque chose…


C’est la panique :

-Suivre Rarity dans la confusion.
-Vous éloigner de cet endroit en suivant votre propre direction.
-Vous approcher des gardes pour leur poser des questions.

http://www.pixule.com/185044716754_cest-panique.html

Réponse A.
Elle seule connaît les coins et les recoins de Canterlot, et elle peut nous aider à nous sortir de ce bourbier. Si on reste là seul, il y a en plus une chance qu'elle se fasse agresser, ce qui n'est pas non plus top niveau. Et après tout, on peut encore l'interroger et obtenir plus d'infos.
Bref, on lui colle au train.

J'ai raison de penser à Skyrim, quand tu parles de Bouffon meurtrier?

Nochixtlan a écrit:

J'ai raison de penser à Skyrim, quand tu parles de Bouffon meurtrier?

Deux choses : Oui, skyrim, et les Bannis et les Proscrits aussi. Un bouffon capable d'assassiner sans être repérer alors qu'il est bourré de clochette et doté d'une tenue affriolante, c'est la classe.

Je pensais juste à Cicéron, en fait. Le reste avait déjà été discuté je crois.

Réponse A parce qu'on aura tout notre temps pour en savoir plus après et en plus on à nul pars où aller.
Sinon on peut savoir à combien s'élève notre récompense .

Nochixtlan a écrit:

Je pensais juste à Cicéron, en fait. Le reste avait déjà été discuté je crois.

je sais pertinemment que tu pensais à cicéron (c'est pas carré), mais dans le dernier livre des Bannis et des Proscrits, y'a un mec déguisé en bouffon avec des clochettes qui font un bruit d'enfer qui est capable de s'approcher de toi sans que tu l'entende, alors j'ai mixé les deux idées.

Et une troisième, que j'aime beaucoup, mais que je garde pour moi pour l'instant.

Citation :

cicéron (c'est pas carré)

Même si j'ai déjà fait ce jeu de mot, tu mérite qu'on te pende par le pied pendant trois jours sous un frêne.
Ca a déjà été fait: Odin a eu la compréhension des runes, moi j'ai gagné un Chewbacca en peluche, qui sait ce qui peut t'arriver?

Ca promet d'être intéressant.

On se barre seul, de façon manly. B.

C'est quoi cette quête du bouffon dans Skyrim? Je l'ai pas fait, du coup j'ai pensé à celui de Spider-man.


Je dirais la C. On pourra toujours se rerenseigner pour retrouver où habite Rarity, et puisque ça nous dit quelque chose...

Iron Pony Maiden a écrit:

Et une troisième, que j'aime beaucoup, mais que je garde pour moi pour l'instant.

?

Norlf a écrit:

Iron Pony Maiden a écrit:

Et une troisième, que j'aime beaucoup, mais que je garde pour moi pour l'instant.

?

Non.
Certaines personnes ayant lu une certaine histoire comprendront peut-être.

Et dans Skyrim, c'est dans l'espèce de guilde d'assassin, l'un d'entre eux est un bouffon, Cicéron.
(Qui est toujours en vie dans ma partie, d'ailleurs, il m'amusait trop).

Sympa comme concept.

Je choisis A, parce que on est perdu sans elle, et je pense pas que les gardes vont s'amuser a donner les détails d'une enquêtes a un parfait inconnu.

Spoiler:

the_en0 a écrit:

Sympa comme concept.

Je choisis A, parce que on est perdu sans elle, et je pense pas que les gardes vont s'amuser a donner les détails d'une enquêtes a un parfait inconnu.

Spoiler:

Et on félicite the end pour avoir trouvé.

En réalité, le concept du bouffon sanglant est un truc que j'adore. Alors puisqu'on est dans une histoire qui s'y prête bien, pourquoi pas le faire ?

D'autant que dans la suite du scénario, ça risque d'être awesome.

Comme pas mal de monde je vais prendre A, on laisse pas une lady toute seule dans un tel bordel

D'ailleurs ce coup de Bouffon/Joker qui s'approche sans faire de bruit ça me rappelle plus celui de Persona 2...