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Sujet: Re: [Comedie] My Little OC : Scénario iz too Mainstream Sam 24 Mar - 15:24
Voilà un magnifique dessin de Devil Lemon ! Son OC gagne une place dans la fic.
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Pour ceux qui trouves que j'ai été sympa avec leur OC, j'aimerais faire un rire diabolique, en disant un truc du genre "Pour l'instant !" Mais apparemment, rien n'est pire que ce que j'ai fait à Pixel Blue.
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Sujet: Re: [Comedie] My Little OC : Scénario iz too Mainstream Sam 24 Mar - 21:10
asuka78 a écrit:
c'est pas mal comme fic...c'est trop tard pour inscrire son OC ?
Malheureusement, oui. Mais je ferait un petit concours à chaque chapitre, pour les gens qui veulent mettre leur OC. Tu comprends, j'ai déjà pas mal de persos, alors...
Date d'inscription : 13/09/2011 Age : 30 Localisation : 38
Sujet: Re: [Comedie] My Little OC : Scénario iz too Mainstream Lun 26 Mar - 11:11
Voilà un chapitre plus court que prévu, (Il est en trois parties, alors qu'il devait être en quatre). Mais bon; Gib' et RF vont être content, ils y sont. Désolé, Devil-Lemon, j'ai pas pu te caser là dedans, mais promis, au prochain chapitre tu y sera.
Spoiler:
Smart Brain était fatigué. Siiii fatigué. Il n’en pouvait plus, il n’aurait jamais du proposer à Gyrunold de boire un thé avec lui, pour se faire pardonner de s’être assis sur lui. Sérieux, qu’est-ce qui était pire qu’un poney racontant la vie passionnante qu’il passait sur Internet ? Maintenant, le professeur savait. Un poney qui parlait pendant des heures de ses chats. Smart Brain avait toujours pensé qu’on apprenait de toutes les rencontres, et de touts les poneys, mais là…. A peine une heure avait passée, et Smart avait l’impression de subir le même lavage de cerveau qu’aux candidats de téléréalité avant leur entrée sur scène. Gyrunold passait un bon moment avec son nouvel « ami ». Celui-ci ne pouvait se détacher de ses paroles. Le poney-tabouret se savait excellent orateur, et entretenait ce talent depuis bien longtemps déjà. Sa voix avait quelque chose… d’hypnotisant. Puis, assez soudainement, d’ailleurs, Smart Brain s’enfonça la tête dans la table. Gyrunold l’avait prévu, il savait qu’à chaque fois qu’il abordait le problème, dieu sait épineux, de la récolte au chou de son enfance, ça faisait cette effet là aux autres poneys. Ils étaient surement subjugués par tant de profondeur d’esprit sur l’agriculture. Le poney terrestre trouva, on ne sait comment, la force de lever la tête pour trouver un échappatoire à cet enfer. Les rires du pégase le déconcentrèrent quelque peu. « Ahahahah ! Mon Dieu, c’est génial ! Tu t’es fait une ENORME bosse ! Ahahah ! On dirait une licorne, comme si, comme si… tu sais… t’avais une corne ! » Il s’esclaffa de nouveau. Smart Brain leva les yeux au ciel. « Bon, Gyrunold, c’est pas que j’aime pas ta conversation, mais la nuit est tombée, et il faudrait que je rentre chez moi. J’espère te revoir bientôt, hein… » « Smart Brain, juste un truc… Je peux venir chez toi ? Je veux dire, je comptais dormir ici dans ce restaurant, mais les propriétaires viennent de comprendre que je ne suis pas un tabouret. Et du coup, je me disais, tu sais, que tu pourrais m’accueillir, tu vois… » Smart tiqua. Il était hors de question qu’il ramène cet imbécile chez lui ! Passer une nuit sous le même toit ? Et encore, une nuit, ça serait s’i l était chanceux. Mais ce genre d’énergumène avait tendance à s’incruster, et pour de bon. « En plus, tu es quelqu’un de sérieux, alors que moi, je me dissipe trop facilement. Tu pourrais peut-être me montrer comment faire ? » Smart Brain planifia dans sa tête les cours qu’il pourrait prodiguer au pégase. Si … si seulement il pouvait réussir à discipliner un peu cet abruti… ça serait magnifique, pour sa carrière ! Finalement, l’instinct de professeur prit le dessus. « Ok, pas de souci » Dit-il avec un grand sourire. « En plus, je n’habite pas loin ! Viens, pas de temps à perdre ! » Gyrunold sourit à son tour. Les professeurs, c’était trop facile à faire marcher.
« Putain de merde. » Pixel Blue venait de se réveiller en sueur. Un livre… ce livre le hantait toujours… Il avait lu ce bouquin quand il était plus jeune, et avait même dévoré la saga entière. Pauvre fou qu’il était à l’époque. Heureusement qu’une pratique intensive des jeux vidéos l’avait « guéri ». Un hululement venant de la petite volière qu’il avait installé non loin lui remémora la soirée d’hier. Il avait comme d’habitude, donné à Laura sa souris, il avait mangé, et puis après, plus rien. Le vide complet. Il atteignit la salle de séjour, tout en essayant de se souvenir, quand il vit sur la table un livre. C’était le livre maudit. Que faisait-il là ? Pixel Blue ouvrit à la page de garde et vit marqué au stylo noir : « D4rk P’XL Blu ». Mon Dieu… C’était le pseudo qu’il avait pris quand il était plus jeune, pour un peu tout. Une larme coula sur les joues du gamer. Non pas une larme de nostalgie, mais une larme de tristesse et de honte. « Oh Celestia, pourquoi ? » Qu’est ce que ce livre fichait là ? Il n’avait aucun souvenir de la nuit dernière. Pixel releva la tête, pris d’un terrible doute. Il fonça à la salle qu’il appelait sa bibliothèque. Devant lui s’élevait de grandes étagères remplies de bouquins. Il poussa une de celle-ci, pour découvrir un trou dans le mur, qui menait à un tas de livres presque aussi grand qu’un poney adulte. Le terrestre fouilla à l’intérieur, en se retenant de vomir. Il avait entreposé touts les plus mauvais livres qu’il avait lus. Mais ils en manquaient six. « Crépuscule… » Murmura-t-il entre ses dents. Il lui manquait cette série de livres, et Luna seule savait où ils étaient passés. Si quelqu’un savait qu’il avait lu ça, c’en était fini. Sa réputation serait détruite à jamais ! Sûrement un maître chanteur. Mais alors, pourquoi avoir laissé ce livre là ? En avertissement ? Le poney donna un coup dans l’objet, et celui-ci vola jusqu’au sol. Un morceau de papier s’en échappa. Pixel le ramassa, et pu voir ce que c’était. Une carte au trésor. Pixel n‘était pas fan de ce genre de chose, mais il savait qu’elle n‘était pas la par hasard. Cette carte le mènerait à son voleur. « Laura ! Tim ! » Les deux rapaces nocturnes s’approchèrent de lui. « On va faire un petit voyage, et vous m’accompagnerez. J’ai besoin de savoir qui me veut du mal. » Pixel fit ses affaires, et, avant de partir, rangea consciencieusement le livre, pour que personne ne le découvre.
Valor et Rainbow Flash s’étaient rendus compte, après quelques heures de discussion inintéressantes, qu’il faisait presque jour. Ils se concertèrent rapidement, et trouvèrent un solution pour démarrer la journée en pleine forme. Un bar, appelé l’ « Insomniac ‘» se trouvait non loin de là. Les rumeurs les plus folles couraient sur cet endroit. Coin de débauche et de perdition, couverture de réseau de drogues et de prostituées, c’était le restaurant « In » dont parlais les magasines féminin. Mais, le plus important, c’est que là-bas, il vendait le muffin rose, sorte de SpaceCake fait maison, qui pouvait tenir en éveil un poney non-habitué pendant plusieurs jours, mais au prix de nombre de problème de santé. « C’est tout à fait ce qu’on cherche ! » s’écria Rainbow Flash, enthousiaste. Les deux poneys décidèrent donc d’aller gouter à un de ces muffins, car sinon, il ne tiendrait jamais toute la journée. Valor fit toutefois une réflexion sur l’absurdité de cette situation, prenant en compte deux choses. De un, il n’avait pas envie de manger un tel poison, de deux, comment Rainbow Flash connaissait l’existence de ce bar ? L’alicorne éluda cette question par un « Je lis beaucoup de magasines de mode. » Le poney ne fut pas satisfait de cette réponse, mais s’en contenta. Une fois arrivés à l’ « Insomniac ‘ », les deux compagnons durent pousser des coudes pour rentrer, et eurent l’occasion d’apercevoir en même temps nombre de célébrités, comme Photo Finish succombant à une overdose, et les Wonderbolts s’adonnant à la pire des débauches. « Cet endroit me semble vraiment super sympa ! » Valor restait sceptique au jugement de sa compagne, surtout après avoir vu un mauvais payeur, jeté dans l’arène réservée aux combats de chiens, se faire dévorer. Les deux poneys s’assirent à une table, et commandèrent deux muffins roses. La serveuse prit leurs commande et annonça d’une voix éteinte et sans émotion que ça arriverait dans quelques minutes. Rainbow Flash voulait continuer de discuter comme au parc, mais Valor était légèrement indisposé par les cris de douleur venant du sous-sol. « Rainbow Flash, tu es sûr que c’était une bonne idée de venir ici ? J’ai l’impression d’être dans un mauvais rêve, tout en sachant que c’est la réalité des bas fonds de Ponyville. » « Détends toi, enfin ! C’est un endroit sympa et accueillant ! Mais tu vois toujours le mal partout, de toute façon. » Rainbow Flash fut interrompue par une sensation bizarre sur le flanc. Comme si on la tâtait avec insistance. « Valor » Murmura-t-elle. « Regarde à coté de moi, j’ai l’impression que quelqu’un me touche le flanc, mais j’ai peur de me retourner. » Valor jeta un regard. « Ma pauvre Rainbow, tu vois toujours le mal partout. Retourne-toi, puisque ce bar est sans danger ! » La pauvre Rainbow Flash était prise au piège. Elle dut tourner la tête, et vit … Une petite pégase orange avec une coupe violette coller son visage sur la Cutie Mark de Flash. « T’as Cutie Mark… elle est belle, madame…. Je voudrais avoir la même… » Ses yeux rouges trahissaient une forte intoxication à la drogue. Rainbow Flash prit peur. « Débarrasse-moi d’elle, Valor ! » Elle parlait de la même voix qu’une arachnophobe sur le point d’être rejoint par l’objet de sa peur. Le poney noir la repoussa gentiment, et chuchota à son amie : « Faut vraiment qu’on se tire. On prend la poudre d’escampette dès qu’on peut. » Mais il était trop tard. La serveuse leur apporta les muffins, et les prevint. « On ne part pas tant qu’on a pas payé ! » Nos héros payèrent donc leur consommation, et décidèrent de s’en aller. Une fois sorti du bar, Valor fit remarquer à Rainbow Flash que venir dans ce genre d’établissement n’est pas la meilleure idée qu’elle ai eu. Mais l’alicorne sorti de sa sacoche les muffins. « Regarde ! Je les ai quand même emportés ! On les mange, ou pas ? » Valor refusa d’abord de ne poser ne serait-ce que la langue sur ces choses, mais l’insistance de son amie le força. Ils entreprirent alors de gouter à ces mets raffinés. Après quelques minutes, ils avaient finis les muffins. « Tu sens quelque chose, toi ? » « Non, je comprends pas pourq…. » Rainbow n’eut pas le temps de finir sa phrase, que déjà sa vue se troublait.
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Concours : Décrivez le sous-sol de l'"Insomniac" entre 10-15 lignes. Pas la peine d'être plus Grindmark que nécessaire.
Dernière édition par FitzTheBard le Lun 26 Mar - 12:10, édité 1 fois
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Sujet: Re: [Comedie] My Little OC : Scénario iz too Mainstream Lun 26 Mar - 18:19
J'était mort de rire au passage dans le bar. ça commençait tout mimi, et paf, j'aurais cru me voir dans une parodie de "Valentine". LE coup des chiens m'a tué.
Je suis content de pas avoir m'y d'OC là-dedans, tiens (je verrait cependant bien le Nicholaus de Pu239. Ou Flesh. 'Fin bref...)
En espérant que la suite soit aussi surprenante et marrante.
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Sujet: Re: [Comedie] My Little OC : Scénario iz too Mainstream Jeu 29 Mar - 16:15
Voilà le chapitre 4 ! A part Funny Lemon, tous les OCs sont apparus au moins deux fois.
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C’était au tour de Gyrunold de se taper la tête contre la table. Il avait pensé pouvoir squatter chez Smart Brain ? Eh bien, le pégase avait appris maintenant qu’il y avait des inconvénients majeurs à dormir chez un professeur qui veut vous donner la leçon, au sens propre. « Elève Persessous ! Je vous prierais d’arrêter d’embrasser vôtre bureau, et de revenir à nôtre cours ! Qu’est-ce que je viens de dire ? » Smart Brain, aux yeux de tous, était du genre tyran lorsqu’il enseignait. Le pauvre Gyrunold le découvrait maintenant. « Vous parliez d’être poli, non ? Ou… un truc comme ça ? » Le pégase était rapidement passé au vouvoiement, devant l’air supérieur qu’affichait son professeur. « Oh, Séléstia ! Arrêter de vou acharné sur se pauvre tabouré ! » Smart Brain se retourna en direction de la voix pleine de fautes d’orthographes qui venait de l’entrée. C’était Funny Lemon, la licorne qui venait prendre des cours d’orthographe oral une fois par semaine. Et c’était aujourd’hui. Le poney terrestre avait complètement oublié son existence, tellement il était pris par l’autre élève particulier. Il se retrouvait maintenant à devoir faire cours avec les deux abrutis ensemble. « Celestia, ayez pitié de mon âme… Funny Lemon, je te présente Gyrunold Persessous. Il est là car il a besoin d’aide pour se concentrer. Gyrunold, voici Funny Lemon, qui est là car il fait des fautes d’orthographe à l’oral. « Enchanté ! » « De maime. » « Maintenant, va t’asseoir, Funny. Je finis un truc, et j’arrive. » Le professeur retourna du coté du tabouret, et posa ses sabots sur le bureau de façon agacée. « Je te parlais de te concentrer ! Tu es ici pour ça, tu sais ? Et, à moins que tu ne sois très différent dans ta tête de nous autres, ce qui ne m’étonnerait pas, personnellement, enfoncer son crâne dans la table n’est pas le meilleur moyen de réviser. Tu es bien gentil, tu va me recopier cent fois « Je dois me tenir à carreaux, car je ferais mieux d’apprendre, au lieu d’embrasser les tables. De plus, me concentrer pour écouter le génie qu’est Smart Brain ne me serais pas du luxe, car je ne suis qu’un mécréant ignare et indiscipliné. Et je devrais arrêter de me prendre pour un tabouret, car c’est gênant pour tout le monde, et je risque d’être pris pour cible par un tabouretophile, ce qui ne serait pas la chose la plus agréable du monde. » Je reviens dans cinq minutes, j’espère que ça sera fini, car sinon, je double la punition ! » Gyrunold, qui pensait encore que la nuit qu’il allait passer dans cette maison pourrait être agréable, se rendit compte qu’elle serait plutôt infernal. Smart Brain, quant à lui, se retourna vers Funny Lemon. « Sinon, a tu fais les devoirs que je t’ai demandé ? La rédaction en 15 000 mots sur le pouvoir de l’amitié ? » La licorne sortit de son sac un énorme paquet de feuilles qu’il tendit à Smart Brain. Celui-ci commença à lire. « Dans le monde magique d’Equestria… » « Ok, je n’ai pas envie de lire tout ça, on verra plus tard. » « Excuser-moi, mes jé une question. Jé trouver dent un livre deux pirate une carte-o-trésore. Je me demandé si vou pouvié la lire ? Je n’arive pa a la dechiffré. » Le professeur grimaça en entendant toutes les fautes qu’avait faites son élève dans sa phrase. Il prit la carte sur un sabot, et l’observa un moment. « Alor ? Vou trouvé quelkeu chause ? » « Pour l’instant, je n’arrive qu’a déchiffrer « Rien du tout, Poisson, rien du tout». Mais j’arrive à te comprendre, je devrais arriver à décrypter ceci. Je vais dans ma bibliothèque, je reviens tout a l’heure. Gyrunold, fini ta punition, Funny, sois productif de quelque manière que ce soit. » Sur ces mots, Smart Brain s’enfonça dans les ténèbres du travail qui l’attendait sur son bureau. « Sa veu dire koi, productif ? » « J’en sais rien. Pourquoi t’es là ? Tu cherchais aussi un endroit où pieuter, et il t’oblige à venir le voir pour des cours d’orthographe oral ? » « Non, je fais exprès de faire des fautes. Smart est mon ami, et ça lui fait plaisir de donner des cours. » « Ah Ok. »
Arsène s’était introduit dans la maison de la Lady. C’était surement la partie la plus dure de sa mission. Il avait réussi à passer par le toit sans problèmes, et se tenait maintenant dans un large couloir. La licorne noire souffla. Il avait bien fait de prendre un poney-arang, mais il fallait trouver l’occasion de s’en servir. Il posa un regard sur les nombreuses tapisseries affichées sur les murs. Certaines représentaient de vieilles licornes (surement des ancêtres) d’autres des palais et autres châteaux, mais ce qui intéressait Arsène, c’était une grande toile située au bout du couloir. Sur celle-ci, un soleil sur lequel était croisées deux cornes. Le blason des Pourry-Gattay. Le cambrioleur s’en approcha, et… découpa avec sa dague le tissu. Ce qui pourrait passer comme du vandalisme était en faite du génie. Derrière le blason déchiré se trouvait une porte. Arsène n’eut aucun mal à ouvrir la serrure, même si elle était protégée par un charme de sécurité. Après tout, c’est normal, tout le monde va chez Arsène quand il y a besoin d’un système de verrouillage. N’était-il pas le meilleur serrurier de Ponyville ? La licorne arriva devant un coffre en or, couvert de soie, et incrusté d’émeraudes. Rien que le contenant était un trésor à lui tout seul ! Quel gâchis d’argent, pensa Arsène, alors que des tas de poneys meurent de faim dehors… Enfin, c’est la vie. Et ce coffre lui appartenait ! Arsène prit dans sa besace des outils de crochetage, et ouvrit le coffre en moins de deux minutes. A l’intérieur de celui-ci, quelle ne fut pas la surprise, pour notre héros, de trouver non pas un bijou, mais un vieux parchemin ! Evidemment, vous l’aurez deviné, c’est une carte au trésor. En même temps, tout les groupes de poneys doivent en trouver une, comment voulez vous que je fasse ? Je n’ai pas le choix, désolé si c’est un peu prévisible par moments. Retour à la fic. « Une carte au trésor !? » Arsène pensait déjà à tout l’argent qu’il accumulerait s’il trouvait ce trésor avant d’autres poneys. Il pourrait vivre peinard jusqu'à la fin de ses jours ! La licorne commençait déjà à en baver. Il pensa un moment emporter le coffre avec lui, mais celui-ci était trop lourd, et le ralentirai. Il prit donc seulement la carte et laissa un mot. « Merci d’avoir offert votre carte au trésor au Parti Lunariste ! » Arsène n’était ni Lunariste, ni Solariste, mais il savait que les Pourry-Gattay étaient une grande famille de bourgeois, et que ça leur foutrait à tout les coups la frousse. Il entendit des aboiements. Apparemment, il avait été découvert. Il valait mieux pour lui s’enfuir rapidement. La licorne sauta par une fenêtre dans le couloir, et galopa discrètement hors du quartier.
Une licorne noire, à crinière d’or entra dans le magasin. Teatime remplissait des papiers pour éviter que cette s*loperie de Broken Wing lui colle un procès. En plus, la pauvre fabricante de jouets n’avait pas de chance, elle n’attirait pas vraiment la sympathie. Si elle passait devant le tribunal, elle était sûr de se prendre une grosse amende, et du sursis pour « coup et blessures involontaires ». Elle devrait surement vendre son magasin, et se retrouverait à la rue. Elle faillit pleurer, mais la présence d’un client dans la boutique l’en empêcha. « Que puis-je faire pour vous ? » Black Jack remarqua que la vendeuse n’était pas à son plus au niveau de bonheur. Il n’aimait pas trop les contacts sociaux, mais si en plus, les poneys qu’il rencontrait étaient déprimants, c’était le bout du monde. Il ne devait pas se laisser faire. Il était venu pour une seule chose, et il ne devait pas se détourner de son objectif. « Excusez-moi, je cherche un jeu, le Monopony. C’est un jeu de société, je crois… » « Oui, je vois ce que c’est, merci. » Répondit sèchement Teatime. Evidemment, se dit-elle. Un jeu avec de l’argent et une prison. Quoi de mieux pour lui rappeler ses problèmes ? « C’est 20 bits. » En tendant la boite. «La licorne paya, et commença à s’en aller, mal a l’aise. Mais, si je peux l’aider ? Se dit-il. Si ses problèmes n’étaient pas si graves, et qu’avec ma magie, je puisse tout résoudre ? Le dilemme qui l’occupait ne pouvait pas être résolu par la licorne tout seul. D’un coté, il voulait aider la ponette, d’un autre, il n’avait pas envie de se mêler de ce qui ne le regardait pas. S’il pouvait apprendre ce qu’elle avait, ce serait plus simple, il pourrait savoir de quoi il en retournait, et l’aider s’il pouvait faire quelque chose. « Euh, excusez moi de vous déranger, mais… ça vous dirait de faire un poker ? » Teatime leva la tête de ses papiers, et jeta sur la licorne un regard noir. « Non merci, je n’ai pas de quoi miser, et je n’ai pas envie de jouer, surtout. » « Vous avez des problèmes d’argent ? » « De quoi vous mêlez vous ? Je ne vous ai rien demandé, hein. Si vous voulez rien acheter, alors vous partez. » La licorne, confortée dans son avis, commença à sortir. « Mais si vous voulez savoir, oui, j’ai pas mal de problèmes… » Nous y voilà, pensa le joueur. « Il y a une petite pégase qui me cause bien des soucis, et j’ai peur qu’elle veuilles me faire un procès pour blessures involontaires. Je risque de perdre mon magasin, alors qu’elle a détruit pas mal de jouets que je ne pourrais revendre. » La licorne se posa à coté la vendeuse. « Je pense que je pourrais vous aider. Hier, alors que je jouais au Blackjack, un vieil ivrogne m’a refilé une carte au trésor… » « Vous vous foutez de ma gueule ? Sérieusement ? C’est pas parce que je vends des jouets que je suis enfantine, au contraire. Votre carte au trésor, vous pouvez vous la foutre au… » « Ecoutez, j’ai identifié cette carte comme vraie. Je me débrouille un peu en magie, et je connais des sorts d’identifications. Le truc, c’est qu’avec cette carte, vous trouverez le trésor, et qu’avec l’argent, vous pourrez financer un avocat compétent. De plus, votre magasin acquerra une certaine réputation. Vous imaginez ? « La cache au trésor » ! C’est un joli nom, non ? » Teatime n’était pas convaincue. « Et qu’y gagnerais vous là-dedans ? » « La moitié du trésor. Je prendrais quand même ma part, vous ne trouvez pas que c’est juste ? La carte est un peu à moi, quand même. » L’honnêteté de la licorne mit l’artisane à l’aise. « D’accord, ça me semble être un bon plan. J’ai rien à perdre, comme dirait n’importe quel personnage de fan fiction cliché, parce que l’auteur, à cours d’énergie et d’imagination, n’a rien trouvé de mieux. Allons-y. »
Je poste rapide, je réponds à vos commentaires bientôt.
Dernière édition par FitzTheBard le Jeu 29 Mar - 19:44, édité 1 fois