Striker regarda Cheshire avec un air interrogateur :

Un surin ? Tu peut m’expliquer ?

Alrik jura entre ses dents: si Fury dévoilait encore un élément du plan, il allait prendre des mesures...

Jacob dans ses pensés et dit :
Euh ! pour l'évasion aussi je suis partant !

*Oups, je crois que je vais me taire*

Il vit le regard méchant de Alrik et fit le geste de fermeture sur sa bouche.

Je croit que le repas touche a sa fin.

Dit Striker en voyant les garde commencé a se mettre en ligne jusqu’aux dortoirs.

Parfait. Allez vous inscrire et retrouvez moi dans deux jours vers les entrpôts.

Un garde arriva soudain et parla à Fury.

Numéro 543, veuillez me suivre.

Le sourire de Fury disparut instantanément

Oui monsieur

Il suivit le garde et fit un bref mouvement de tête de ses amis

Tiens bon Fury c'est bientôt fini.

Murmura Striker a l'attention de son ami.

Il le fit entrer dans le baraquement des officiers. Là le commandant l'attendait avec un étui de bois.

Tenez c'est pour vous. Ouvrez, allez-y.

Fury fit ce que le commandant lui demanda, il ouvrit l'étui et revint pas de ce qu'il voyait.

C'est...c'est pour moi ??

Devant lui se trouvait le plus magnifique des violons qu'il ait jamais vu, entièrement neuf et de la marque la plus réputé du pays. Ce violon valait une fortune.

Je...je...puis je ?

Spoiler:

Arrivé au dortoir, Alrik se dirigea, comme chaque soir, vers la couchette qu'il défendait à quiconque de prendre.

Spoiler:

Je vous en prie jouez.

Comme chaques jours depuis deux ans, la cloche sonna signalant la fin du repas. Le même garde les accompagna aux dortoirs.

Une fois dans le dortoir Striker pris la parole.

Alors qui a une idée pour que on sorte de cet enfer sans se faire remarqué ?

Fury saisit doucement l'instrument, il était léger et sa surface était douce, il se mit en position et commença a jouer. Les yeux fermés, il oublia tout autour de lui, sa vie actuel, le travail fatiguant de tout les jours, plus rien ne comptait que le magnifique son du violon, celui que produisait l'archer guidé par sa patte et les accords crée par son sabot. Une larme de joie chuta de son museau, dans cette musique il y mit sa passion. Et lorsque la larme tomba au sol, il y vit ses amis: sa nouvelle famille.

Il reposa le violon dans son étui une fois la musique terminée et se risqua:

Monsieur, pourrais je vous proposer un marché ?

Venant d'une personne comme vous je suis prêt à vous entendre. Dit-il en souriant.