Prologue pour le nouveaux monde.

Le personnage principal de cette histoire n'est autre qu'un dénommé Wÿrd, il est le chef d'une flotte de vaisseau spatial.  Il ne vit que pour un but. Celui de créer une utopie ou tout les habitant de chaque monde et des dimensions parallèles  puisse vivre en paix.  Il avait déjà  effacé les traces de la planète Terre et ainsi que son existence dans d'autre dimension. Ceux qui  avaient joint sa cause travaillée avec lui  et  ceux qui  était contre sa volonté était tués.  une chevelure mi-longue et une allure athlétique, voici la silhouette de Wÿrd lorsque vous l'apercevez au loin. Alors qu'il s'approche, vous distinguez petit à petit ses traits, ses yeux dénués de malveillance et son sourire ampli de sérénité. Son physique n'est autre que le reflet de son éducation. Eduqué par une famille de protecteurs dans le but de suppléer à la tâche de son père une fois que celui-ci ne pourrait plus assumer ses fonctions, il a passer son enfance à forger son corps au combat et son esprit au savoir.
N'éprouvant pas de sentiment de haine ou d'envie particulière, il est quelqu'un de calme gardant la tête sur les épaules et analysant les situations pour se tirer d'affaire avec les moindres maux pour sa fratrie et ses camarades.  Personnellement, je tiens à vous dire  que s'il ne sourie  pas, je vous conseille de vous enfuir en courant.  Mais, enfaîte quand j'y pense  vous ne connaissez  pas son histoire personnelle. Laissez moi vous la raconter.  Cela se passe sur notre Terre mais dans la dimension E-15, il ne s'agit pas de la nôtre qui est  E-0.

Au coeur des terres septentrionales du grand Nord, par delà les hautes montagnes enneigées protégeant le Royaume d'Asgard, la famille Niebelhungen vivait depuis des générations une vie de service et de dévotion envers le Père Créateur d'Asgard.
Gardiens d'une antique relique dissimulé en leurs Terres par Odin lui-même, leur lignée s'égrainait au fil des siècles, sans déroger à leur devoir, protégeant sans répit le Tombeau Sacré d'Odin qui renfermait selon la légende, un objet de puissance sans commune mesure. Bien évidemment, s'il eut été une époque où sa présence avait pu être confirmée, elle était depuis lors révolus depuis des décennies.

Les Niebelhungen ne gardaient maintenant plus qu'un symbole, un lieu sacré vestige de la puissance d'un dieu. Nichée au sein d'une vallée, leur demeure siégeait face à la montagne que l'on disait être le fameux Tombeau, et marqué d'un symbole d'Odin qui ne semblait jamais s'altérer.

En une journée d'Automne difficile comme l'on en avait vu depuis longtemps, Wÿrd et sa jeune soeur Anna, menaient leur entraînement quotidien au pied de la montagne sacré. Leur père, protecteur du sanctuaire divin, rôle qu'il avait hérité de son propre père, leur inculquait une discipline de fer et des entraînements rigoureux depuis leur plus tendre enfance. S'ils apprenaient l'art du combat, il n'en demeuraient pas moins rompus aux affres de la politique et des relations complexes liant les dieux entre eux, résultat là, des heures de lecture intensives dans la bibliothèque familiale enrichie par des siècles d'ouvrages.

Aujourd'hui, les deux jeunes Niebelhungen s'étaient écartés de leur mentor, prenant leur vie en main pour une journée. Leurs bais étaient arnachés par leurs rênes à un arbre plus loin alors que leurs maitres se faisaient face.

Wÿrd du haut de ses 25 ans se dressait sereinement devant sa cadette de 18 ans pourtant rompu aux combats. Tous deux se connaissaient par coeur, et leurs mouvements s'étaient imprimés dans la mémoire de l'autre de manière permanente. Un sourire compatissant aux lèvres, Wÿrd regardait sa soeur haletante et portant déjà des marques de contusions en divers endroits.

"Anna... Nous devrions cesser pour aujourd'hui, il ne sert à rien que Père te retrouve mal en point à la fin de la journée", " plusieurs à tomber, la pluie gagnante en intensité au fil des secondes "et puis le temps se gâte..."

Fronçant les sourcils, la jeune fille encore impulsive en raison de son âge ne voulut pas en démordre.

"Non ! On continue, jusqu'à ce que je puisse te porter un coup..."

"Tu es vraiment têtue..."

Hochant de manière sèche la tête, Anna se rua une nouvelle fois à l'assaut. Fermant les yeux, les bras ballant et les poings fermés, Wÿrd, lui, écouta le son de la nature qui l'environnait. Bouillant de rage, l'orage grondait au dessus de leurs têtes alors que la pluie s'abattait avec force sur le sol meurtrit des terres du nord.
Il ressentait l'énergie de ce monde, et sentait la pulsation qui émanait de la montagne sacré, le sentiment qu'Odin n'était jamais très loin de lui. Il ressentait également sa propre énergie, envahissant peu à peu une zone autour de lui.

"Yaahhhhh !"

Sautant dans les airs, la jeune Niebelhungen s'apprêtait à asséner un puissant coup de pied descendant à son adversaire de frère. Ce dernier ouvrant alors lentement les yeux, laissa ses mains se desséché, relâchant son énergie tout autour de lui.
Le tonnerre tonna à ce moment, alors que le fils des Niebelhungen relâchait son sort.

"Vanaheim Shield !"

Une bourrasque d'énergie brute envahit alors la zone autour de Wÿrd, repoussant pour le compte la jeune soeur à plusieurs mètres, au pied de la montagne sacrée, ainsi que tous les objets éloignés de moins de trois mètres du garçon. Anna se prit d'ailleurs plusieurs pierres dans son vol douloureux, avant de retomber lourdement au sol. Soupirant, son frère commença à avancer d'un pas dans sa direction.

"NON ! Reste à ta place !" lui cria-t-elle, ses cheveux détrempés ou se mêlaient crasse, sang et eau lui envahissant le visage "J'ai dit que l'on continuait, je ne veux pas de ta pitié !"

Écartant une mèche de cheveux qui lui entravait le regard, alors que la pluie commençait à perturber sa vision, le garçon balança sa tête dans un signe de dénégation avant de refermer les yeux par dépit.
Il le ressentait, sa soeur s'était redressé et s'élançait à nouveau vers lui. Il se préparait, une nouvelle fois...

Une énergie destructrice envahit ses perceptions, et un grondement surpuissant lui fit perdre sa concentration. Ouvrant les yeux subitement, Wÿrd contempla un spectacle inouï. Devant lui, la montagne était tout simplement éventrée et la roche était encore en train de fumer.




Avançant vers ce spectacle étonnant, il en oublia presque sa soeur, avant de se rapprocher d'elle. La puissance l'avait envoyé au sol, lui brisant le bras et elle accusait plusieurs brûlures. Se penchant au-dessus d'elle, son frère lui porta un regard bienveillant alors qu'elle gémissait de douleurs. Il s'apprêtait à l'aider à se relever, lorsque sur l'arbre derrière Anna, il aperçu un halo lumineux étrange.
Jetant un coup d'oeil par-dessus son épaule, Wÿrd vit une grotte ayant été ouverte par la foudre et dont s'échappait cette étrange lueur. Ébouriffant pour le compte sa jeune soeur, il se releva sans l'aider et se dirigeât vers cet endroit inconnu que l'on disait être l'abri d'une antique relique.

Posant sa main sur la pierre, il constata qu'elle était chaude, et cela même à l'intérieur là où la foudre n'avait pu frapper. Avançant toujours plus dans les méandres de la montagne, le jeune Niebelhungen suivit la lueur jusqu'à la terre promise.
Au dehors, l'orage criait toujours sa fureur, et un nouveau coup de tonerre se fit entendre au loin. Arrivé au bout de son périple, Wÿrd passa difficilement par une mince fissure sur laquelle débouchait le boyau qu'il avait suivi jusqu'ici.

Ce qu'il découvrit alors qu'il entrait dans le dit Tombeau, manqua de le subjugué, lui coupant le souffle pour un instant. La légende n'avait pas été qu'un mythe, car au coeur de la montagne résidait bien quelque chose.
Le sourire du jeune homme s'allongeat alors qu'il contemplait l'une des armures d'Odin, la dernière, pour ainsi dire, n'ayant pas rejoint Asgard. Posée là sur un autel à la gloire du Père des Dieux, entourés des enluminures représentant le Panthéon Nordique, trônait la Légendaire armure du Guerrier Divin d'Omega.
En En lettre d'Or et écrite et écrit en langue Asgarde, était rédigé une simple phrase : "Odin donne son armure à celui qui en est digne".

Grimpant lentement les marches, Wÿrd tendit la main en direction de l'armure, et à ce geste cette dernière s'anima.

"Qu'est ce que ..?"

Quittant sa forme de repos, elle se sépara en de multiples parties qui volèrent dans les airs autour du jeune garçon stupéfait, avant de se placer petit à petit sur le corps de son nouveau maître.
Quand elle eut fini, le jeune homme ne pût que constater les faits. Il revêtait désormais l'antique armure d'Omega, et les mots gravés étaient clairs à ses yeux, tout comme les légendes qu'il avait entendues à maintes reprises.
Odin l'avait choisi en cette journée, lui parmi tous les Niebelhungen qui avait pu protéger cet endroit. L'armure lui donnât  la connaissance des mondes parallèles et sa mission de créer l'utopie.  .

L'armure ne resta pas ainsi bien longtemps, et elle libéra son porteur, retournant se ranger dans une sorte de grande caisse en Or marqué du Sceau d'Yggdrasil, l'arbre monde. La lueur disparut quand la caisse se referma, et Wÿrd pris alors son nouveau bien.

Il eut du mal à dégager la relique du coeur de la montagne, mais lorsque ce fût chose faite, il reparut au dehors sous les yeux de son père et de sa soeur, qui tout deux mirent un genoux à terre lorsqu'il aperçurent son fardeau. Anna portait des bandages, et semblait avoir subit les premiers soins qui lui étaient nécessaires. Les larmes aux yeux, elle se redressa et fila embrasser son frère lui avouant sa fierté et ses craintes.
Le père de Wÿrd lui se contenta d'un regard, et d'un hochement de tête, plaçant une main sur son coeur pour montrer la reconnaissance qu'il avait pour son fils.
Le lendemain matin, Wÿrd , Guerrier Divin d'Omega partit pour sa mission.

Oui, je sais que je n’ai pas tout raconté mais pour l'instant c'est tout ce que je peux mettre par écrit car après je ne fais que suivre les ordres de mon maître. Ce que je peux vous dire, c'est que mon maître à tourner son regard vers Equestria. Nous avons déjà détruit  plusieurs dimensions paraélles. Ce que nous avons remarquer  est que la princesse Celestia  est plus au moins  le pire adversaire que nous avons eu à affronter. Bien que nous ressortions en vainqueur de ces bataille, elle devenait aussi de plus en plus dure et on perdait un nombre incalculables de pertes.  Cela nous a permis de recruter  des nouveaux membres et   un pégase  a même réussi à atteindre  le rang de  amiral. Son nom est Derpy je crois.


Nous voilà près d'un nouvel Equestria. Notre chef donna l'ordre aux amiraux de le rencontrer dans le conseil de guerre.


Le Premier amiral  était une femme du nom de Kathlyn, l'Oracle du Paon de Cécias, elle venait  de l'E-31, Il est à noter qu'elle possède  le même type d'armure que possède notre chef mais avec un pouvoir différent que je peux pas vous dévoiler pour le moment mais vous devez savoir  que tous les amiraux ont en une.  

Telle l'armure qu'elle porte, celle-ci peut paraître totalement effacée et transparente dans son environnement ou lors d'un rassemblement. Généralement peu loquace et froide, Kathlyn peut néanmoins présenter de temps à autre des logorrhées, surtout en compagnie de personnes qu'elle apprécie ou, au contraire, qu'elle abhorre. Même si le premier contact est généralement aisé du fait qu'elle ne possède pas trop d'à priori, devenir intime avec la jeune femme est une toute autre affaire. Les personnes la fréquentant depuis longtemps expliquent qu'ils voient en elle deux personnes distinctes, une plutôt discrets et distants puis en creusant un peu ils voient apparaître une âme joyeuse et vive. Cela s'explique sûrement par la retenue qui la caractérise, son passé fait qu'elle prend du temps à s'attacher à une personne de peur de la perdre ou par crainte que celle-ci la trahisse un jour.

Stable intérieurement, Kathlyn possède une très grande résilience dont elle ne soupçonne pas vraiment l'existence. Intelligente sans être un génie, elle arrive à prendre de bonnes décisions aux bons moments et analyse les situations avec un regard aiguisé et concentré. Contre toute attente de son maître, c'est une jeune femme qui n'affiche pas son allégeance au dieu Apollon, préférant demeurer aussi discrète que possible, échappant ainsi à de nombreuses contrevenues mais manquante aussi de bonnes occasions pour s'affirmer. Pour autant, jusqu'à présent, dans les missions effectuées sous l'égide du Dieu Apollon, la réussite brillait souvent par l'efficacité déployée par la jeune femme. Adepte du voyage, son entraînement l'a menée aux quatre coins du continent. Capable de vivre seule sans ployer sous les difficultés de cette tâche pouvant se révéler ardue, elle sait user de son environnement pour en faire un allié incontestable. Souvent rêveuse, elle tient un journal dont la rédaction révèle sans mal plusieurs habitudes de la jeune femme à savoir se mordiller la lèvre inférieure, replacer incessamment ses mèches ou les tortiller. Perfectionniste et têtue, elle réfute à chaque fois qu'on lui fait une quelque remarque, " Non, vous rêvez ! " pourrait être une de ses phrases fétiche.

Femme d'une beauté commune, elle tire surtout son charme de ses gestes et postures féminines sans user d'aucun artifice. Grande pour son époque sans être géante, ses formes se dessinent sous ses habits et son armure sans être vulgaires ; au contraire sculptés par ses années d'entraînements. Sa chevelure cascade sur ses épaules jusqu'au creux de ses reins et brille d'un reflet argenté. On peut remarquer deux mèches ceinturées par des rubans noirs de chaque côté de son visage aux traits fins malgré un nez quelque peu pointu. Ses habits sont un mélange de noir et de blanc, son haut est une tunique dont les épaules sont laissées à nues tandis que deux plissures de soie recouvrent son décolleté. Kathlyn est aussi vêtue d'une sombre jupe courte plissée, d'une ceinture de cuir fine de la même teinte que la jupe et de chaussettes hautes. Enfin, ses pas gracieux et discrets au possible sont trahis par des bottines qu'elle porte la plupart du temps. La détentrice de l'armure de paon est aussi dotée d'une voix douce et suave souvent utilisée pour agrémenter le vent de quelques notes et paroles chantées.
Son armure, originellement dessinée pour appartenir à un homme a été légèrement retravaillée pour convenir à sa personne ; Ainsi, on pourra remarquer que ses épaulières sont légèrement bombées et non plates tandis que le plastron, naturellement, a été retouché afin de pouvoir accueillir sa poitrine. Généralement Kathlyn ne vêt pas son armure pour garder l'anonymat le plus longtemps possible.

Peu de temps après son arriver. C’était aux tours de l'amiral Théodora de l'Hippocampe. Théodora donne l'impression d'être à peine une adolescente, ce qui choque fréquemment lorsqu'elle annonce son âge. La générale a une longue chevelure violacée et des yeux d'un ton similaire. Un coquet tatouage dessine sa peau. Il est vrai qu'il est rare de la voir parader dans son étincelante armure de l'hippocampe, Théodora n'aime pas sortir cette grâce de Poseidon juste pour s'affirmer. Non, elle est habillée d'une armure rappelant facilement les gladiateurs romains dont le coloris n'est autre que le mauve.

Deux impressions peuvent naître en vous : si vous êtes un allié, vous pouvez ressentir une grande tendresse émanant de cette Dame. Si, au contraire, vous êtes hostiles, vous serez généralement soumis à une forme de mal aise : cette femme qui se dresse devant vous semble si ... douce, comment peut-elle se battre ?

À moins que vous ne l'aperceviez pendant l'une de ses régulières quintent de toux : la jeune femme a en effet une apparence chétive et rien en elle ne peut le contredire. Atteinte d'une maladie cardiaque, elle se crispe souvent, toussotant du sang, qu'elle se contente simplement d'essuyer. Cela fait partie de son quotidien, Théodora est parfaitement consciente que sa mission, la protection du navire, sera des plus éphémère : la femme à l'apparence puérile s'éteindra certainement prochainement, mais ses vœux sont clairs, elle protégera Mjöllnir (le nom du vaisseau) et ce  jusqu'au bout. Ce détail, cette maladie risque d'attendrir les soldat qui connaissent la détermination sans faille de leur amirale. Par contre, elle est souvent sous-estimée par ses ennemis qui voient en cette maladie une faiblesse sans nom. Évidemment, c'est une erreur : si l'armure  de l'hippocampe est en sa possession, ce n'est ni par le fruit du hasard, ni par le manque de soldat de qualité …

Le troisième amiral qui arriva n'était autre que Frozia, Cardinale de la Famine.  Avec son petit 1m64 et ses quelque 58 kilos, on ne peut pas parler de Frozia comme étant une montagne de muscles imposant le respect par sa seule présence. Bien au contraire, on a tendance à la sous-estimer à cause de sa frêle carrure. C'est cependant là une erreur fatale, car ce petit corps ne contient aucune trace de graisse et ses muscles une fois en action sont bien plus meurtriers que ceux de n'importe quelle brute épaisse. Bien faite de ses formes et possédant un glabre doux et bruni par le soleil, la jeune femme attirerait sans doutes le regard de ses messieurs s'il n'y avait son visage. Car oui, avant de s'intéresser au corps de la demoiselle, le regard des observateurs se pose avant tout sur son minois. Frozia est avant toute chose borgne: son œil gauche fut percé lors d'un combat et une large cicatrice barre la partie gauche de son visage au niveau de son sourcil. En conséquence, elle porte un bandage, un bandeau ou un cache-œil en permanence pour masquer la cavité à présent vide de son orbite ainsi que les séquelles de cette blessure. Autre détail : la jeune fille porte un gant à la main droite pour ne pas trop se faire remarquer. En effet, avec trois doigts brûles et noircis, on passe difficilement inaperçue. Ajoutez à cela que le faciès Frozia est souvent tordu en un rictus carnassier et avide, et vous comprendrez la frayeur et le sursaut de répulsion de certains lorsqu'ils la croisent au détour d’une rue. Pour le reste, son œil droit est d'un rouge rubis brillant en permanence d'un éclat vif et exalté que les mauvaises langues pourraient appeler "démoniaque" ; et ses cheveux qu'elle porte longs, et qui devrait plutôt porter le nom de crinière, au vue des soins sommaires qu’elle y apporte, sont quant à eux d'une couleur sombre, proche de l'améthyste, deux couleurs sortant de l'ordinaire, au même titre que la jeune fille.
Pour un mot comme en cent, la beauté de Frozia est, une beauté altérée par la violence et la folie de son esprit, destinée uniquement à tromper et se jouer de ceux qui se risquent à l’approcher. Elle est un démon dans un corps de femme, et si vous en doutez la suite, aura tôt fait de vous en convaincre.

Car soyons clairs: dire que Frozia est une psychopathe serait un euphémisme.
La jeune fille est considérée comme étant complètement folle, et plus encore si cela est possible. Cette réputation n'est malheureusement pas usurpée... La guerrière est devenue experte dans le sang et les massacres, et la torture est son passe-temps favori. Elle est capable de plonger ses mains dans les tripes encore chaudes de ses proies tout en riant aux éclats. Les cris de ces malheureux n'ont par ailleurs jamais fait naître autre chose sur son visage qu'un sourire dément se délectant des souffrances de ses victimes. Un vieil homme a un jour dit après avoir croisé son regard que son œil unique "dévorait le monde, mais ne reflétait rien.". La citation a tellement plu à la jeune femme qu'elle a laissé la vie sauve au vieil homme, chose extrêmement rare pour elle. C'est vous dire si son esprit est dérangé.
Mais ne la jugeons pas trop durement. Certes, Frozia n'a aucune considération pour la vie de ceux qu'elles ne considèrent pas comme les "siens", mais elle n'est pas pour autant dépourvue de cœur. Elle est... à part, dirons-nous. La jeune fille indomptable évolue en dehors des règles des sociétés, du monde, et du bon sens en général. Si tant est qu’elle se retrouve sous les ordres de quelqu’un, elle serait sûrement incapable de parfaitement suivre ses commandements sans faire d’écarts en suivant sa propre volonté. La chose s’étend jusqu’à ses contacts avec autrui, quelle que soit son origine : aucune retenue dans ses paroles ne peut être décelée, et il faut préciser que le langage de Frozia est souvent vulgaire. Mais n'allez pas non plus jusqu'à croire que la jeune femme serait prête à trahir ses alliés à n’importe quelle occasion. Pour peu qu’on parvienne à se faire une place dans son esprit dérangé, on pourrait sûrement avoir un minimum d’influence sur cet être malade qu’aucun principe ne saurait décrire. Étrangement, elle obéit a notre maître tel un chien fidèle ( J’espère qu'elle ne lira jamais ça!)

La quatrième amirale est  Alwine, Guerrière de Munin, de l'étoile de Psi. blancs et sa peau au teint blafard en est des preuves marquantes. L'iris de ses yeux semble anaturelle, comme remplacée d'émeraude. Mais ce regard vous perce, vous scrute : Alwine semble vous étudier en permanence. Ce simple regard peut perturber le plus valeureux des guerriers car cette femme ne semble pas agressive, ni méchante mais elle a le don de vous mettre mal à l'aise. Qui que vous soyez, ces deux émeraudes vous regardent de haut, comme si vous étiez incapable de « comprendre ». Il y a un narcissisme naturelle qui se dégage de cette noble.

Malgré le froid constant des froides contrées, Alwine préfère porter de fins et riches tissus plutôt que des fourrures peu esthétiques. Son titre traduit un effet naturel : malgré sa taille moyenne, tout ses muscles sont saillants et développés. Il ne faudrait pas la voir comme une femme chétive, même si son pouvoir ne réside pas dans sa force physique ...

Une autre manière de la voir serait en armure, celle de Munin. Il est rare de la voir ainsi car plus souvent, seuls ses oreilles traînent près de vous... Rarement découverte, vous ne deviendrez qu'une gêne si vous la surprenez. Son regard semblant toujours vous voir comme un insecte, elle engagera le combat avec une fureur déployée : ne tentez pas de lui parler car si elle combat, pour elle, vous êtes déjà mort.


La cinquième amirale n'était autre que Derpy,  Cette pégase avait connu  l'enfer. Elle avait perdu  sa fille, exécutée par Celestia juste pour son plaisir personnel.     Elle c'était joint à nous et vis qer par vengeance.

Ce fut au tour du sixième amiral d'arriver.  Rune, Guerrier  de Lambda. Malgré son sourire timide, et ses yeux d'émeraudes amusés, le blondinet ne vous paraîtra gentil et inoffensif que pour un temps seulement. Mais attachons-nous pour l'heure à ne détailler le jeune homme que sous son aspect le plus doux. C'est-à-dire, celui d'un garçon de dix-huit ans élevé pour délivrer des messages, ayant reçu l'éducation de la guerre et du commerce, et ayant baigné dans le sang depuis un âge que d'aucun ne qualifie trop jeune dans le monde moderne. Mais ici, dans la plaine glacée du nord, la mort rode à chaque instant et éduquer le jeune Rune à faire face à celle-ci fût sans doute ce qui lui sauva la vie.

Rune est cependant plus chétif que la moyenne des garçons de son âge -ce qui lui causa bien des problèmes dans sa jeunesse- mais n'a rien à envier aux autres en matière de réactivité. On peut d'ailleurs le décrire comme un jeune homme agile et rapide. Et pourtant si discret que l'on pourrait oublier son existence. Car ce garçon n'aime pas attirer l'attention sur lui. Quitte à choisir, il préférera la fuite que le combat. Et quant obtenir ce qu'il désire, il le fera par des moyens détournés, en manipulant son entourage par exemple. C'était inscrit dans sa nature profonde, cette propension à semer la discorde autour de lui. Mais cela ne veut pas dire qu'il y arrive avec brio. Les résultats sont là, mais pour le moment il doit encore approfondir cet aspect de lui-même avant de retenter ce genre de choses à l'avenir.

Car pour l'heure, Rune ne sait pas grand-chose du combat dans lequel son armure l'a entraîne. Ni du monde qui l'entoure. Facilement émerveillé, il regardera bien des choses avec des yeux d'enfants -dont il a l'apparence du haut de son mètre soixante-cinq- et succombera facilement aux pièges du monde romain, ou barbare, suivant sur lequel il tombera le premier.
Mais gare à ne pas réveiller ce qui sommeille en lui...

D'une manipulation anodine, vous pourriez passer à bien plus sombre et dangereux encore. Même si cela lui prendra du temps, Rune -ou Ratatosk comme il se nomme lui-même depuis qu'il est en symbiose avec son armure- fera ce qu'il faudra pour voir les gens s'entretuer sous son regard rougeoyant de colère. En effet, vous ne risquez pas de le voir se battre lui-même. Espérons que cela n'arrivera de toute façon pas, vu le déchaînement qu'il risquerait d'y mettre. Au moins, on pourra voir en lui un protecteur singulier, mais efficace des intérêts de Wÿrd et des Guerriers. Disons juste, que toutes les méthodes se valent, mais que certaines ne peuvent être mises qu'au seul crédit des Hommes et de leurs esprits tortueux. C'est lorsque les fils du destin se tordent et se contorsionnent que Rune se sent le plus vivant. Et aussi lorsqu'il grignote des choses sur les branches d'un arbre, mais ça très peu de personnes ont l'occasion de le voir. Il est à noter qu'il considère Derpy comme sa mère.


Le Septième amiral arriva dans les secondes qui suivent.  Kryo de l'Orque

On ne peut pas dire de Kryo qu'il en impose au premier contact. Semblable à tous les garçons de son âge, voire même plus petit que la normale, il ne se distingue que par la blanche chevelure encadrant son visage. Tout dans son apparence rappelle le calme et le froid d'un solstice d'hiver. Son nom, qui en grec y fait directement allusion, pourrait vouloir dire que c'était déjà le cas à sa naissance à moins que ce ne soit que pur coïncidence. Si sa soeur n'est plus si loin de l'âge adulte il garde pour sa part les traits ronds de l'enfance, en harmonie avec un caractère très candide sous certains aspects. Plutôt mignon, son apparence le rendait populaire auprès des filles de son âge avant qu'il ne soit arraché à ses racines et traité comme un monstre pour ne pas être comme tout le monde. Si l'on ne peut pas dire qu'il l'ait particulièrement bien vécu pour le moment il n'en a aujourd'hui plus cure et demeure sociable même s'il n'est pas dans ses habitudes d'aller spontanément vers les gens.
Un fait notable est qu'il ne se sépare jamais de l'écharpe qu'il porte autour du cou et semble y tenir comme à la prunelle de ses yeux, ce qui ne se remarque pas tant en général puisqu'il s'habille chaudement en toutes circonstances. Sans doute, une précaution vis-à-vis de ses pouvoirs. Parfois idéaliste à outrance il n'en garde pas moins la tête sur les épaules et se présente donc comme un garçon plutôt débrouillard pour son âge. On peut imaginer que ses troubles de la personnalité ne sont pas inconnus à cette instable maturité. Il est à vrai dire difficile de s'en faire une idée concrète car il s'avère assez timide, ce qui se traduit par un manque flagrant de confiance en lui et une recherche constante du perfectionnement. Du moins, ça, c'est en ce qui concerne sa vraie personnalité. Dès qu'il y a du cosmos dans l'air, il change du tout au tout et devient mystérieusement plus agressif et menaçant. Transcendé par sa propre force il s'emplit de morgue et de suffisance mais sa brusque montée en puissance justifie au moins en partie ce changement radical.
Quand survient ce phénomène, ses cheveux se hérissent alors sur son crâne et ses yeux habituellement d'une couleur froide se mettent à flamboyer – ce qui toutefois n'affecte aucunement la nature de ses arcanes. Impulsif et malicieux, il est alors tout en contraste avec son état normal et le signe le plus évident de cette transition brutale est certainement le rictus goguenard qui prend place sur ses lèvres lorsqu'il passe de l'un à l'autre. Il est seul à savoir quelles sont les raisons de cette bipolarité : même sa soeur ne saurait qu'affirmer que son cosmos en est l'élément déclencheur, sans plus de précisions. Fort de son mètre cinquante-sept, il ne pèse pas plus d'une bonne quarantaine de kilogrammes et est donc facilement sous-estimé, ce qui l'arrange : l'habit ne fait pas le moine et beaucoup devraient apprendre à s'en méfier davantage.


 Et enfin, celui qui  était presque arrivé en retard,  le dernier des amiraux. Ephtal, Prophète de d'Wÿrd & Cardinal de la Mort Comment décrire efficacement un homme tel qu'Ephtal ? Et bien, la tâche n'est pas nécessairement aisée. Autant commencer par le début, par ce qui est le plus frappant et le moins discutable. Autant se lancer par décrire le physique du cardinal de la mort par le plus simple constat de l’œil. Le guerrier est assez grand et massif, développant une musculature impressionnante qui est le fruit de bien des années d'entraînement au cours de sa « première vie ». Bâti pour être une machine de guerre et détruire les hommes, telle est l'impression qui peut émaner de son physique imposant. De longs cheveux d'un brun sombre tirant vers le noir encadrent un masque représentant la mort et couvrant presque intégralement son visage à l'exception de ses yeux d'un bleu clair et étincelant ainsi que ses joues scarifiées depuis l'enfance.

Il n'habille que très rarement son torse, laissant alors voir en plus de son buste puissant ses diverses balafres ainsi que ses tatouages tribaux qu'il porte sur les épaules. Ses biceps sont eux entouré d'une bande de tissu rougeâtre et il n'est pas rare qu'il porte autour du cou une large étoffe sombre retombant mollement sur ses clavicules. Ephtal se vêt également d'un pantalon noir large et tant bouffant qu'il en rappellerait presque les toges de la profonde antiquité, retenu par une massive ceinture aux formes gothiques d'un bleu nuit profond arborant en bordure des décorations osseuses faisant écho à son masque de crâne. Aux pieds, ce sont des caligae qu'Ephtal porte, ces sandales typiques des soldats romains, dont le tissu qui permet de les nouer s'assortit à son pantalon large. Pour terminer, des gants bleu sombre lui remontant presque jusqu'aux coudes.

Si sa Cuirasse est portée, il apparaît alors en armure d'un blanc cassé et nacré aux formes anguleuses. De chacune de ses protections d'épaule partent deux cornes relativement longues et vaguement vrillées, et son casque est surmonté de huit appendices – quatre grands et quatre plus petits – recourbés évoquant de manière plus ou moins claire une couronne. À son poignet gauche, deux courtes lames de faucille se trouvant à l'opposé l'une de l'autre, et donnant ensemble l'impression d'y voir un arc. La partie de la Cuirasse s'affectant à sa monture possède la même couleur et le même type de forme, comptant également un masque de crâne pour le cheval qu'il montera.

Pour en terminer, parlant des impressions qu'il peut laisser... De son être semble se dégager une aura puissante et glaciale, renforcée par la lueur de ses yeux qui ne manque pas de s'intensifier lorsqu'il fait appel à son cosmos. Ephtal a pourtant un caractère emporté et sanguin, colérique et enflammé. Ce n'est pas pour rien s'il a été choisi comme le Cardinal de la mort, celui qui représente la Guerre, la Brutalité, le Carnage et la Destruction. Il incarne ces valeurs à merveille et ça ne manque pas de se voir...


Une fois  que tous les amiraux furent arrivés dans la salle. Wÿrd ordonna d'une voix forte et ferme.

«Nous allons attaquer un autre Equestria. Je vous prie de vous placer en position et de procéder comme les dernières fois.  Sur ce, vous pouvez faire ce que vous voulez jusqu'aux signal»

 Sur ce, je  demande à vous chers lecteurs de choisir avec quel amiral, vous voulez  entendre la suite de cette histoire.