Date d'inscription : 19/05/2012 Age : 27 Localisation : Indescriptible paroxysme subliminal de l'être intuitif du surmoi, accompagné d'un état de jouissance propre à la consommation massive de dérivés du surréalisme. En gros, je suis un menhir du Sahara, quoi.
Sujet: Re: L'usine à crackships Mar 18 Sep - 18:55
Date d'inscription : 25/05/2012 Age : 30 Localisation : Ici et là
Sujet: Re: L'usine à crackships Mar 18 Sep - 21:20
Je propose ma deuxième crackship après c'est fini pour moi si elle est pas retenue : Psy (chanteur de Gangam style ) avec rainbow-dash. Sinon je vais essayer de me lancer dans l’écriture pour la prochaine proposition mais je ne garantie rien.
Date d'inscription : 06/12/2011 Age : 32 Localisation : Montpellier ~:hap:~
Sujet: Re: L'usine à crackships Sam 22 Sep - 11:18
FINIT ! BWAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
Il doit encore y'avoir des fautes mais rien à foutre, je suis un trou r3b3l de la société
Spoiler:
Plusieurs années se sont écoulées depuis que Luna s'est retrouvée amoureuse de Sacha (au grand damne d'Ondine qui n'avait vraiment pas de boobs, même Pierre ne voulait pas d'elle, ha ha ! Sombre conne ! ). Elle était heureuse, elle avait même réussi à faire des bébés avec lui (hybride et hideux, certes, mais ça reste tout de même des bébés, enfin je crois, de toute façon, aucun n'as tenu plus d'un jour, c'est la crise et le placenta est très nutritif). Malheureusement, Luna est immortelle, contrairement à Sacha, c'est ainsi que ce dernier mourut lors d'une attaque de Ratata sauvage de niveau 2 (quand tous tes pokémons sont K.O, c'est fou ce que tu deviens vulnérable, en même temps il faut être con pour ne pas avoir un rappel ou deux dans son sac qui peut contenir trouzmilles pokéboules, 199 potions et un vélo entier, y'a de la marge quoi, foutu radin !).
Luna se sentait terriblement seule. Pour oublier son désespoir, elle se plongeait dans l'alcool, dans la drogue et dans la luxure. Pauvre d'elle. Il ne restait plus grand-chose de la princesse d'autrefois, fière, somptueuse et surtout, très sûre d'elle. Elle n'est maintenant plus qu'une pauvre épave errant de ci de là à la recherche de la moindre bouteille pouvant contenir de l'alcool. Elle finit par ce faire attraper par la policière de Bourg Palette (elle n'avait pas de pokémons et était donc bloquée dans la zone de départ, triste vie), qui était la sœur jum… tri… l'énième clone de la policière de Pokémon (la série). Elle écopa d'une peine de 1 000 ans de prison et elle déclara lors de son verdict : "SAPERLIPOPETTE ! VOUS ETES DONC TOUS DE MECHES ICI ?!".
Les années passèrent, la frustration sexuelle de Luna se faisait de plus en plus grande. 16 ans, 2 mois, 3 jours, 4 heures, 21 secondes et 429 millisecondes après son incarcération, elle décida de s'échapper (oui, elle a mit tout ce temps à se décider). Elle puisa dans toutes ses forces, toute son énergie restante, tous ses espoirs de retrouver la liberté, la lumière du jour, les poneys qui courent sous les rayons chaleureux de notre bon vieil astre solaire, les sourires de ses derniers, pour créer un immense pouvoir magique qui lui permettra de rentrer chez elle, le monde d'Equestria.
Elle était en sueur, elle faisait de son possible pour s'appliquer car, malgré le fait qu'elle soit une princesse et que sa magie soit surpuissante sa race, elle n'avait jamais réalisée un tel sort auparavant. Des larmes coulaient de son visage, elle était désespérée car elle se sentait beaucoup trop faible pour réaliser un sort d'une telle envergure. C'est alors qu'elle se souvenue qu'elle possédait une chose unique, une chose qui était convoitée par tout le monde, tous les êtres vivants (même les arbres), une chose dont la puissance extraordinaire pouvait faire bouger les nuages et faire trembler le sol terrestre : le D4RK P0WER ! C'est donc avec un dernier "Merde, j'ai oublié ça, ce que je peux être conne" qu'elle se téléporta loin de la prison.
Pendant ce temps-là, dans la maison de notre très cher ami Joueur du Grenier… "SEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEB ! Mais tu fais quoi là ? Allez, grouille toi, on va être en retard à la Japan Expo de 2013 !" JdG sortait tout juste de son très célèbre lieu de tournage : son salon. "Mais c'est dans un an !" remarqua – finement – Seb, l'acolyte de JdG.
C'est alors qu'un immense bruit se fit entendre dans la maison. Il semblait provenir du salon d'où venait tout juste de sortir JdG. "Oh bordel ! C'était quoi ça ?" se demanda-t-il. "Je sais pas !", rétorqua Seb, "Putain il faut qu'on aille voir ! Prends ton masque de CanardMan, on pourrait en avoir besoin." JdG prit son masque, marque de sa célébrité. "Allons-y", s'exclama-t-il.
Et il ouvrit la porte de son salon.
Un poney se tenait en plein milieu du canapé, pas un simple poney : une alicorne. Et pas n'importe quelle alicorne : Luna ! "BORDEL SEB ! C'EST QUOI CE TRUC ?!", hurla de stupeur JdG. "JE SAIS PAS MOI !", répondit Seb," UN CHEVAL ! EUH… NON ! UN PONEY ! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !" "JE VOUS ORDONNE DE VOUS CALMEZ !", clama Luna, "OU SUIS-JE ?" "Chez… chez moi", assura JdG "Et euh… je pourrais… savoir ce que vous êtes ?" "JE SUIS LUNA ! PRINCESSE LUNA ! DIRIGEANTE D'EQUESTRIA ! JE VOUS ORDONNE DE M'OBEIR !" "Aaaaah, oui madame", déclarèrent en cœur les deux testeurs. "Euh… madame" commença JdG," Je pourrais savoir ce que vous faite là, siouplait ?". "Et bien j'ai effectué un sort qui a apparemment mal tourné, je devais m'échapper de la prison et j'étais pourtant sûre de mon coup, zut de flute !" "Pourquoi vous étiez en prison ?"
C'est alors que toute la répartie, légendaire, de Luna rentra en action. Elle devait trouver une excuse, une bonne pour ne pas attirer sur elle les soupçons de ses nouveaux camarades. Elle remarqua la pile de jeux du JdG.
"J'étais devenu alcoolique après avoir jouée à … euh… Tintin au Tibet !"
"Sombre conne", s'était-elle dite dans son cerveau de poney (et pas d'humain).
Un silence s'installa. Le temps s'écoulait et il devenait de plus en plus en plus en plus pesant (je me suis répété, je sais). A force, il finit par devenir encore plus lourd que ta mère (!).
"Ah mais c'est génial !", finit par dire JdG,"Une gameuse ! Dit, dit, t'as déjà joué au dernier ElderScroll ?" "Eh bien, pendant mon temps au château, j'ai effectivement joué à ce jeu, très bien ma fois, et je rajouterais même qu'il est bien meilleur sur PC car les utilisateurs de consoles sont de vrai fags, LAULE !".
Et c'est ainsi que débuta l'amitié entre Luna et JdG. Pendant les mois qui suivirent, ils apprirent à se connaître mieux, à jouer ensemble, à s'entre-poutrer la gueule à coup de "PUTAIN JE SUIS TROP FORT(E) ! BORDEL ! WOOHOOT !". Luna ne pouvait pourtant pas apparaître dans les vidéos du JdG car elle se risquerait à devenir la cible du FBI chinois délocalisé en Russie (la crise…). Elle devait donc rester très discrète, car un poney qui parle, ce n'est pas très fréquent (NON ? VRAIMENT ?), cela ne l'empêchait pas d'adorer vivre avec JdG et Seb.
Un jour, cette dernière avait finit par comprendre qu'elle était amoureuse de JdG (Seb est moche, c'est la vie). Elle décida de lui avouer toute la vérité, rien que la vérité, je le jure sur la tête de ma mère.
"JdG, j'ai… j'ai quelque chose à t'avouer." Bégaya Luna. "Ne me dis pas que… que c'est toi qui a finit la boite de Pringless ?", s'inquiéta JdG. "Non ! Enfin si, mais ce n'est pas de ça dont je voudrais te parler…" Elle avait la gorge sèche. "Je crois que… je … je t'aime.", elle était à peine audible, pourtant JdG avait parfaitement tout entendu. Luna regardait ce dernier avec des yeux tout pleins d'espoir comme ils savent bien faire dans les mangas pour grogn… fille.
L'atmosphère devenait pesant, il le devenait de plus en plus jusqu'à atteindre le poids de ta... Ah non merde, j'l'ai déjà faite celle là.
"KAWAI !", hurla JdG au bout de quelques longues minutes.
Et ils s'embrassèrent longuement et comme je n'ai, actuellement, pas fait une seul crackship sans relation sexuelle entre les protagonistes, il s'ensuivit donc une longue nuit de bouchage de trou. Seb, quant à lui, ne pouvait que regarder, impuissant (ou pas), la scène.
Fondu en vert pastèque (pastèques que n'a pas Ondine ! LAULE ! Grosse conne !).
Date d'inscription : 03/05/2012 Age : 33 Localisation : Loire (42)
Sujet: Re: L'usine à crackships Sam 22 Sep - 11:42
DjChapica a écrit:
FINIT ! BWAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
Il doit encore y'avoir des fautes mais rien à foutre, je suis un trou r3b3l de la société
Spoiler:
Plusieurs années se sont écoulées depuis que Luna s'est retrouvée amoureuse de Sacha (au grand damne d'Ondine qui n'avait vraiment pas de boobs, même Pierre ne voulait pas d'elle, ha ha ! Sombre conne ! ). Elle était heureuse, elle avait même réussi à faire des bébés avec lui (hybride et hideux, certes, mais ça reste tout de même des bébés, enfin je crois, de toute façon, aucun n'as tenu plus d'un jour, c'est la crise et le placenta est très nutritif). Malheureusement, Luna est immortelle, contrairement à Sacha, c'est ainsi que ce dernier mourut lors d'une attaque de Ratata sauvage de niveau 2 (quand tous tes pokémons sont K.O, c'est fou ce que tu deviens vulnérable, en même temps il faut être con pour ne pas avoir un rappel ou deux dans son sac qui peut contenir trouzmilles pokéboules, 199 potions et un vélo entier, y'a de la marge quoi, foutu radin !).
Luna se sentait terriblement seule. Pour oublier son désespoir, elle se plongeait dans l'alcool, dans la drogue et dans la luxure. Pauvre d'elle. Il ne restait plus grand-chose de la princesse d'autrefois, fière, somptueuse et surtout, très sûre d'elle. Elle n'est maintenant plus qu'une pauvre épave errant de ci de là à la recherche de la moindre bouteille pouvant contenir de l'alcool. Elle finit par ce faire attraper par la policière de Bourg Palette (elle n'avait pas de pokémons et était donc bloquée dans la zone de départ, triste vie), qui était la sœur jum… tri… l'énième clone de la policière de Pokémon (la série). Elle écopa d'une peine de 1 000 ans de prison et elle déclara lors de son verdict : "SAPERLIPOPETTE ! VOUS ETES DONC TOUS DE MECHES ICI ?!".
Les années passèrent, la frustration sexuelle de Luna se faisait de plus en plus grande. 16 ans, 2 mois, 3 jours, 4 heures, 21 secondes et 429 millisecondes après son incarcération, elle décida de s'échapper (oui, elle a mit tout ce temps à se décider). Elle puisa dans toutes ses forces, toute son énergie restante, tous ses espoirs de retrouver la liberté, la lumière du jour, les poneys qui courent sous les rayons chaleureux de notre bon vieil astre solaire, les sourires de ses derniers, pour créer un immense pouvoir magique qui lui permettra de rentrer chez elle, le monde d'Equestria.
Elle était en sueur, elle faisait de son possible pour s'appliquer car, malgré le fait qu'elle soit une princesse et que sa magie soit surpuissante sa race, elle n'avait jamais réalisée un tel sort auparavant. Des larmes coulaient de son visage, elle était désespérée car elle se sentait beaucoup trop faible pour réaliser un sort d'une telle envergure. C'est alors qu'elle se souvenue qu'elle possédait une chose unique, une chose qui était convoitée par tout le monde, tous les êtres vivants (même les arbres), une chose dont la puissance extraordinaire pouvait faire bouger les nuages et faire trembler le sol terrestre : le D4RK P0WER ! C'est donc avec un dernier "Merde, j'ai oublié ça, ce que je peux être conne" qu'elle se téléporta loin de la prison.
Pendant ce temps-là, dans la maison de notre très cher ami Joueur du Grenier… "SEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEB ! Mais tu fais quoi là ? Allez, grouille toi, on va être en retard à la Japan Expo de 2013 !" JdG sortait tout juste de son très célèbre lieu de tournage : son salon. "Mais c'est dans un an !" remarqua – finement – Seb, l'acolyte de JdG.
C'est alors qu'un immense bruit se fit entendre dans la maison. Il semblait provenir du salon d'où venait tout juste de sortir JdG. "Oh bordel ! C'était quoi ça ?" se demanda-t-il. "Je sais pas !", rétorqua Seb, "Putain il faut qu'on aille voir ! Prends ton masque de CanardMan, on pourrait en avoir besoin." JdG prit son masque, marque de sa célébrité. "Allons-y", s'exclama-t-il.
Et il ouvrit la porte de son salon.
Un poney se tenait en plein milieu du canapé, pas un simple poney : une alicorne. Et pas n'importe quelle alicorne : Luna ! "BORDEL SEB ! C'EST QUOI CE TRUC ?!", hurla de stupeur JdG. "JE SAIS PAS MOI !", répondit Seb," UN CHEVAL ! EUH… NON ! UN PONEY ! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !" "JE VOUS ORDONNE DE VOUS CALMEZ !", clama Luna, "OU SUIS-JE ?" "Chez… chez moi", assura JdG "Et euh… je pourrais… savoir ce que vous êtes ?" "JE SUIS LUNA ! PRINCESSE LUNA ! DIRIGEANTE D'EQUESTRIA ! JE VOUS ORDONNE DE M'OBEIR !" "Aaaaah, oui madame", déclarèrent en cœur les deux testeurs. "Euh… madame" commença JdG," Je pourrais savoir ce que vous faite là, siouplait ?". "Et bien j'ai effectué un sort qui a apparemment mal tourné, je devais m'échapper de la prison et j'étais pourtant sûre de mon coup, zut de flute !" "Pourquoi vous étiez en prison ?"
C'est alors que toute la répartie, légendaire, de Luna rentra en action. Elle devait trouver une excuse, une bonne pour ne pas attirer sur elle les soupçons de ses nouveaux camarades. Elle remarqua la pile de jeux du JdG.
"J'étais devenu alcoolique après avoir jouée à … euh… Tintin au Tibet !"
"Sombre conne", s'était-elle dite dans son cerveau de poney (et pas d'humain).
Un silence s'installa. Le temps s'écoulait et il devenait de plus en plus en plus en plus pesant (je me suis répété, je sais). A force, il finit par devenir encore plus lourd que ta mère (!).
"Ah mais c'est génial !", finit par dire JdG,"Une gameuse ! Dit, dit, t'as déjà joué au dernier ElderScroll ?" "Eh bien, pendant mon temps au château, j'ai effectivement joué à ce jeu, très bien ma fois, et je rajouterais même qu'il est bien meilleur sur PC car les utilisateurs de consoles sont de vrai fags, LAULE !".
Et c'est ainsi que débuta l'amitié entre Luna et JdG. Pendant les mois qui suivirent, ils apprirent à se connaître mieux, à jouer ensemble, à s'entre-poutrer la gueule à coup de "PUTAIN JE SUIS TROP FORT(E) ! BORDEL ! WOOHOOT !". Luna ne pouvait pourtant pas apparaître dans les vidéos du JdG car elle se risquerait à devenir la cible du FBI chinois délocalisé en Russie (la crise…). Elle devait donc rester très discrète, car un poney qui parle, ce n'est pas très fréquent (NON ? VRAIMENT ?), cela ne l'empêchait pas d'adorer vivre avec JdG et Seb.
Un jour, cette dernière avait finit par comprendre qu'elle était amoureuse de JdG (Seb est moche, c'est la vie). Elle décida de lui avouer toute la vérité, rien que la vérité, je le jure sur la tête de ma mère.
"JdG, j'ai… j'ai quelque chose à t'avouer." Bégaya Luna. "Ne me dis pas que… que c'est toi qui a finit la boite de Pringless ?", s'inquiéta JdG. "Non ! Enfin si, mais ce n'est pas de ça dont je voudrais te parler…" Elle avait la gorge sèche. "Je crois que… je … je t'aime.", elle était à peine audible, pourtant JdG avait parfaitement tout entendu. Luna regardait ce dernier avec des yeux tout pleins d'espoir comme ils savent bien faire dans les mangas pour grogn… fille.
L'atmosphère devenait pesant, il le devenait de plus en plus jusqu'à atteindre le poids de ta... Ah non merde, j'l'ai déjà faite celle là.
"KAWAI !", hurla JdG au bout de quelques longues minutes.
Et ils s'embrassèrent longuement et comme je n'ai, actuellement, pas fait une seul crackship sans relation sexuelle entre les protagonistes, il s'ensuivit donc une longue nuit de bouchage de trou. Seb, quant à lui, ne pouvait que regarder, impuissant (ou pas), la scène.
Fondu en vert pastèque (pastèques que n'a pas Ondine ! LAULE ! Grosse conne !).
Sujet: Re: L'usine à crackships Sam 22 Sep - 12:25
Citation :
"SEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEB ! Mais tu fais quoi là ? Allez, grouille toi, on va être en retard à la Japan Expo de 2013 !" JdG sortait tout juste de son très célèbre lieu de tournage : son salon. "Mais c'est dans un an !" remarqua – finement – Seb, l'acolyte de JdG.
Haha, c'est exactement comme ça que j'imagine les discutions chez eux.
Date d'inscription : 19/05/2012 Age : 27 Localisation : Indescriptible paroxysme subliminal de l'être intuitif du surmoi, accompagné d'un état de jouissance propre à la consommation massive de dérivés du surréalisme. En gros, je suis un menhir du Sahara, quoi.
Sujet: Re: L'usine à crackships Sam 22 Sep - 12:44
DjChapica a écrit:
FINIT ! BWAAAAAAAAAAAAAAAAAAH
Il doit encore y'avoir des fautes mais rien à foutre, je suis un trou r3b3l de la société
Spoiler:
Plusieurs années se sont écoulées depuis que Luna s'est retrouvée amoureuse de Sacha (au grand damne d'Ondine qui n'avait vraiment pas de boobs, même Pierre ne voulait pas d'elle, ha ha ! Sombre conne ! ). Elle était heureuse, elle avait même réussi à faire des bébés avec lui (hybride et hideux, certes, mais ça reste tout de même des bébés, enfin je crois, de toute façon, aucun n'as tenu plus d'un jour, c'est la crise et le placenta est très nutritif). Malheureusement, Luna est immortelle, contrairement à Sacha, c'est ainsi que ce dernier mourut lors d'une attaque de Ratata sauvage de niveau 2 (quand tous tes pokémons sont K.O, c'est fou ce que tu deviens vulnérable, en même temps il faut être con pour ne pas avoir un rappel ou deux dans son sac qui peut contenir trouzmilles pokéboules, 199 potions et un vélo entier, y'a de la marge quoi, foutu radin !).
Luna se sentait terriblement seule. Pour oublier son désespoir, elle se plongeait dans l'alcool, dans la drogue et dans la luxure. Pauvre d'elle. Il ne restait plus grand-chose de la princesse d'autrefois, fière, somptueuse et surtout, très sûre d'elle. Elle n'est maintenant plus qu'une pauvre épave errant de ci de là à la recherche de la moindre bouteille pouvant contenir de l'alcool. Elle finit par ce faire attraper par la policière de Bourg Palette (elle n'avait pas de pokémons et était donc bloquée dans la zone de départ, triste vie), qui était la sœur jum… tri… l'énième clone de la policière de Pokémon (la série). Elle écopa d'une peine de 1 000 ans de prison et elle déclara lors de son verdict : "SAPERLIPOPETTE ! VOUS ETES DONC TOUS DE MECHES ICI ?!".
Les années passèrent, la frustration sexuelle de Luna se faisait de plus en plus grande. 16 ans, 2 mois, 3 jours, 4 heures, 21 secondes et 429 millisecondes après son incarcération, elle décida de s'échapper (oui, elle a mit tout ce temps à se décider). Elle puisa dans toutes ses forces, toute son énergie restante, tous ses espoirs de retrouver la liberté, la lumière du jour, les poneys qui courent sous les rayons chaleureux de notre bon vieil astre solaire, les sourires de ses derniers, pour créer un immense pouvoir magique qui lui permettra de rentrer chez elle, le monde d'Equestria.
Elle était en sueur, elle faisait de son possible pour s'appliquer car, malgré le fait qu'elle soit une princesse et que sa magie soit surpuissante sa race, elle n'avait jamais réalisée un tel sort auparavant. Des larmes coulaient de son visage, elle était désespérée car elle se sentait beaucoup trop faible pour réaliser un sort d'une telle envergure. C'est alors qu'elle se souvenue qu'elle possédait une chose unique, une chose qui était convoitée par tout le monde, tous les êtres vivants (même les arbres), une chose dont la puissance extraordinaire pouvait faire bouger les nuages et faire trembler le sol terrestre : le D4RK P0WER ! C'est donc avec un dernier "Merde, j'ai oublié ça, ce que je peux être conne" qu'elle se téléporta loin de la prison.
Pendant ce temps-là, dans la maison de notre très cher ami Joueur du Grenier… "SEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEB ! Mais tu fais quoi là ? Allez, grouille toi, on va être en retard à la Japan Expo de 2013 !" JdG sortait tout juste de son très célèbre lieu de tournage : son salon. "Mais c'est dans un an !" remarqua – finement – Seb, l'acolyte de JdG.
C'est alors qu'un immense bruit se fit entendre dans la maison. Il semblait provenir du salon d'où venait tout juste de sortir JdG. "Oh bordel ! C'était quoi ça ?" se demanda-t-il. "Je sais pas !", rétorqua Seb, "Putain il faut qu'on aille voir ! Prends ton masque de CanardMan, on pourrait en avoir besoin." JdG prit son masque, marque de sa célébrité. "Allons-y", s'exclama-t-il.
Et il ouvrit la porte de son salon.
Un poney se tenait en plein milieu du canapé, pas un simple poney : une alicorne. Et pas n'importe quelle alicorne : Luna ! "BORDEL SEB ! C'EST QUOI CE TRUC ?!", hurla de stupeur JdG. "JE SAIS PAS MOI !", répondit Seb," UN CHEVAL ! EUH… NON ! UN PONEY ! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !" "JE VOUS ORDONNE DE VOUS CALMEZ !", clama Luna, "OU SUIS-JE ?" "Chez… chez moi", assura JdG "Et euh… je pourrais… savoir ce que vous êtes ?" "JE SUIS LUNA ! PRINCESSE LUNA ! DIRIGEANTE D'EQUESTRIA ! JE VOUS ORDONNE DE M'OBEIR !" "Aaaaah, oui madame", déclarèrent en cœur les deux testeurs. "Euh… madame" commença JdG," Je pourrais savoir ce que vous faite là, siouplait ?". "Et bien j'ai effectué un sort qui a apparemment mal tourné, je devais m'échapper de la prison et j'étais pourtant sûre de mon coup, zut de flute !" "Pourquoi vous étiez en prison ?"
C'est alors que toute la répartie, légendaire, de Luna rentra en action. Elle devait trouver une excuse, une bonne pour ne pas attirer sur elle les soupçons de ses nouveaux camarades. Elle remarqua la pile de jeux du JdG.
"J'étais devenu alcoolique après avoir jouée à … euh… Tintin au Tibet !"
"Sombre conne", s'était-elle dite dans son cerveau de poney (et pas d'humain).
Un silence s'installa. Le temps s'écoulait et il devenait de plus en plus en plus en plus pesant (je me suis répété, je sais). A force, il finit par devenir encore plus lourd que ta mère (!).
"Ah mais c'est génial !", finit par dire JdG,"Une gameuse ! Dit, dit, t'as déjà joué au dernier ElderScroll ?" "Eh bien, pendant mon temps au château, j'ai effectivement joué à ce jeu, très bien ma fois, et je rajouterais même qu'il est bien meilleur sur PC car les utilisateurs de consoles sont de vrai fags, LAULE !".
Et c'est ainsi que débuta l'amitié entre Luna et JdG. Pendant les mois qui suivirent, ils apprirent à se connaître mieux, à jouer ensemble, à s'entre-poutrer la gueule à coup de "PUTAIN JE SUIS TROP FORT(E) ! BORDEL ! WOOHOOT !". Luna ne pouvait pourtant pas apparaître dans les vidéos du JdG car elle se risquerait à devenir la cible du FBI chinois délocalisé en Russie (la crise…). Elle devait donc rester très discrète, car un poney qui parle, ce n'est pas très fréquent (NON ? VRAIMENT ?), cela ne l'empêchait pas d'adorer vivre avec JdG et Seb.
Un jour, cette dernière avait finit par comprendre qu'elle était amoureuse de JdG (Seb est moche, c'est la vie). Elle décida de lui avouer toute la vérité, rien que la vérité, je le jure sur la tête de ma mère.
"JdG, j'ai… j'ai quelque chose à t'avouer." Bégaya Luna. "Ne me dis pas que… que c'est toi qui a finit la boite de Pringless ?", s'inquiéta JdG. "Non ! Enfin si, mais ce n'est pas de ça dont je voudrais te parler…" Elle avait la gorge sèche. "Je crois que… je … je t'aime.", elle était à peine audible, pourtant JdG avait parfaitement tout entendu. Luna regardait ce dernier avec des yeux tout pleins d'espoir comme ils savent bien faire dans les mangas pour grogn… fille.
L'atmosphère devenait pesant, il le devenait de plus en plus jusqu'à atteindre le poids de ta... Ah non merde, j'l'ai déjà faite celle là.
"KAWAI !", hurla JdG au bout de quelques longues minutes.
Et ils s'embrassèrent longuement et comme je n'ai, actuellement, pas fait une seul crackship sans relation sexuelle entre les protagonistes, il s'ensuivit donc une longue nuit de bouchage de trou. Seb, quant à lui, ne pouvait que regarder, impuissant (ou pas), la scène.
Fondu en vert pastèque (pastèques que n'a pas Ondine ! LAULE ! Grosse conne !).
Excellent, j'ai failli m'etouffer avec mon thé en lisant ça (pauvre Ondine)
Spoiler:
Elle écopa d'une peine de 1 000 ans de prison et elle déclara lors de son verdict : "SAPERLIPOPETTE ! VOUS ETES DONC TOUS DE MECHES ICI ?!"."Personne n'est parfait".
Date d'inscription : 03/05/2012 Age : 33 Localisation : Loire (42)
Sujet: Re: L'usine à crackships Dim 23 Sep - 19:15
Et voila la crackship Rainbow Dash/ PSY de Gangnam Style. En Corée du Nord, un trou du cul crie sur des personnes alors qu'en Corée du Sud une personne crie sur des trous du cul, voici son histoire
Spoiler:
Rainbow Dash n'en pouvait plus. Trop de travail, supporter les Cutie Mark Crusaders, être considérée trop manestream parce qu'il y a trop de gens qui sont fans d'elle et la catchphrase 20% cooler qui avait déjà commencée à être dépassée. Elle décida d'aller chez Twilight pour lui demander un service.
« JE VEUX DES VACANCES ! » criait-elle en dévalisant toute la bibliothèque que Spike venait de finir de ranger. Entre trois esquives de bouquins et un coin de couverture dans l’œil, Twilight lui proposa un sort de téléportation aléatoire. « Ah parfait ! s'exclama Rainbow Dash d'une satisfaction des plus totales. -Tu est vraiment sûre ? On n'a jamais retrouvé les dernières personnes qui ont utilisé ce sort. -Si vous les avez jamais retrouvées, ça veut dire aussi qu'elles ont jamais revu vos tronches. Ça me convient parfaitement ! » Le pégase bleu commença à lire la formule quand soudain se fit aspirer dans un vortex.
Elle apparut soudainement sur une plage. Aucun poney à l'horizon à part ces curieux êtres qui marchent sur leur deux pattes arrière, plus communément appelés « humains ». En un éclair, elle se posa sur le sable, mit sa tête bleue dans ses pattes puis évacua le stress bercée par le bruit de la mer en fermant les yeux. Mais le réveil fut un peu brutal... « HEEEEEEYYYYYY, SEXY LADYYYYY ! Éructa de derrière elle un étrange personnage vêtu d'une tenue de soirée. -Ma tête est ici, face de citron ! rétorqua Rainbow Dash d'un air blasé et agacé. -당신의 엉덩이, 처녀를 원하는 -Je comprends rien à ce que tu me dis mais j'aime bien ton langage. » Soudain le personnage se mit à exécuter une drôle de danse, une sorte de jeu de jambes latéral un coup vers la gauche puis vers la droite en gardant les mains sur les hanches. Le pégase bleu riait en voyant cette danse assez pittoresque. Voyant sa réaction, le danseur sortit sa carte puis la donna à Rainbow Dash. « Tu t'appelles PSY et as la chambre 326 de l’hôtel la-bas ? Vu ton jeu de jambes et ton mouvement de bassin je sens qu'il y a moyen que ce soit athlétique. -명절 엉덩이 -Tu à l'air d'être un grand romantique à t'entendre parler en plus. » Rainbow Dash est en vacances, elle fait ce qu'elle veut et vous emmerde.
La nuit, le pégase en vacances vient taper à la porte 326. Les deux s'installèrent dans le salon, lui avait son costume avec lunettes de soleil et nœud papillon tandis qu'elle n'avait rien fait (vacances j'ai dit). Cinq bonnes minutes se sont passées sans entendre un mot de nos deux protagonistes lorsque soudain Rainbow Dash balança son verre de champagne puis cria : « TU SAIS POURQUOI ON EST LA ! BAISSES-MOI CE PANTALON TOUT DE SUITE ! ». PSY fit de même avec son verre, attrapa violemment la pégase en chaleur puis la coucha sur la table et enfin d'un geste magistral prit du recul et baissa le pantalon : « -Cette histoire sur les asiatiques n'est pas si fausse en fait... dit Rainbow Dash d'un air légèrement déçu en regardant son entrejambes. -작지만 강력한 répondit PSY avec assurance. » Pris dans l'action, il tenta une danse latérale mais malheureusement pour lui se prit les pieds dans son pantalon baissé, chute puis se tape la tempe sur le coin de la table. Il gisait inanimé dans son sang tandis que son invitée était complètement hilare suite à l'action.
C'est alors que son nœud papillon faisait une lueur étrange, il se mit à tourner comme un ventilateur puis explosa. Le corps de PSY brillait lui aussi et se mit à léviter, se redressa puis d'une voix divine cria : « OPPPPPPAAAAAAAANNNNNN GAAANNNNNGGGGNAAAMMMM STYYYYYYYLLLE ! », la fameuse musique se fit entendre plein pot puis il atterrit fermement sur ses pieds. Il semblait encore plus surchargé que Pinkie Pie sous héroïne, s'approcha de Rainbow Dash d'une démarche quasi mécanique et c'était parti. Coup de rein a gauche, a droite, a gauche, a droite : « Heu ça c'est mes oreilles... -똥 -Si t'enlevais tes lunettes de soleil en intérieur ça serait mieux aussi. » Mais il ne pouvait malheureusement pas, le Gangnam Style perdrait de son effet sinon. Il retourna la pégase couchée puis vous connaissez la suite : -On l’attrape avec la main gauche puis lève le bras droit en faisant le cowboy avec son lasso. -On l’attrape avec les deux mains comme sur un cheval au galop. -On se tourne légèrement puis on met des coups de bassin de façon lascive. Entraînez vous avec un/une partenaire si vous voulez, de préférence en mettant la musique.
Le moment fut vigoureux, tellement vigoureux que ça s'est terminé par un grand Sonic Rainboom. Les murs étaient tous recouverts arc-en-ciel après.
Les semaines ont passé, les vacances sont finies pour Rainbow Dash. Elle est retournée à Ponyville par je ne sais quel moyen scénaristique puis fut la première personne à introduire le Gangnam Style à Equestria.
Tout le monde s'en foutait.
FIN
Je reconnais que je suis un petit peu amusé avec Google Traduction.
Dernière édition par CooliPoney le Dim 23 Sep - 20:34, édité 2 fois
Sujet: Re: L'usine à crackships Dim 23 Sep - 19:29
C'est mal écrit, absolument pas fin, tu t'est permis d'écrire des saloperies en coréen et tu t'est même pas foulé pour rendre le tout un peut cohérent....
Date d'inscription : 19/05/2012 Age : 27 Localisation : Indescriptible paroxysme subliminal de l'être intuitif du surmoi, accompagné d'un état de jouissance propre à la consommation massive de dérivés du surréalisme. En gros, je suis un menhir du Sahara, quoi.
Sujet: Re: L'usine à crackships Dim 23 Sep - 20:07
Spoiler:
"Tu veux ton c*l, vierge" "Ass Feast" "petit mais puissant" "m*rde"
Date d'inscription : 06/12/2011 Age : 32 Localisation : Montpellier ~:hap:~
Sujet: Re: L'usine à crackships Dim 23 Sep - 22:38
Oui alors, vu que j'étais plein d’imagination dans ma tête, j'ai fait Raptor Jesus / Rarity, requête d'Un_chanteur_de_plus.
1 829 mots
Je tiens à préciser avant de poster la mienne que c'était pas mal du tout, CooliPoney
Bref, passons aux caca intersidéral qu'est ma fic :
Spoiler:
CAMEMBERT ! Oui, ceci est une façon très particulière de commencer une fic, mais vous allez comprendre pourquoi ce mot, "camembert", est une véritable clé de l'union de Rarity et de Raptor Jésus (que tout le monde sait qu'il existe).
Notre histoire débute donc lors d'une belle nuit étoilée, non loin de Ponyville. Nous retrouvons notre plus élégante ponette (QUOI ? TU VAS RECOMMENCER A ME FAIRE CHIER AVEC CA ? VA CHIER !) à la crinière mauve et à la robe blanche : Rarity. Elle s'en allait voir sa mère-grand (ouais, grand-mère, c'est trop mainstream) qui habitait de l'autre côté de L'Everfree Forest. Elle avait avec un petit panier comprenant pleins de victuailles qui permettrons à la petite vieille de s'en sortir pendant l'hiver prochain (putain, non seulement ça sert à rien, mais en plus il faut s'occuper d'eux… Saloperie de vieux). Pendant sa promenade, elle aimait vaguer de ci, de là pour pouvoir admirer les bôtés de la nature. En effet, rappelons-le, Rarity est une dessinatrice de mode et elle profite toujours de la moindre occasion pour chourer d'acquérir le moindre objet qui peut lui sembler utile pour ses créations. C'est ainsi que, lorsqu'elle fouilla de trop près un bosquet toufu (vive le verlan), elle tomba museau à museau avec un grand méchant loup (pas bo).
"Kikoo, toi.", s'esclaffa le loup. "OMG WTF ?", hurla Rarity. "Ola, du calme ma grande. Je ne suis qu'un simple loup, et j'ai faim. Dis-moi ma pouliche, que transporte tu dans ce panier ?" "Et bien… Je transporte de la nourriture pour ma grand-mère, cette pauvre jument qui se fait bien vieille adore recevoir de la visite, en particulier la mienne. Vous savez, j'aime ma grand-mère, elle est gentille et douce, elle n'a jamais été méchante avec moi, surtout lors de ma première fois, c'était un moment magique, j'en ai encore des frissons rien que d'y penser, et…" "Ouais euh, je comprends pas", coupa le loup," enfin le plus important c'est que tu sois une bonne gamine et que tu m'indique où c'est qu'elle habite, ta vieille." "Mais vous êtes grossier !", protesta Rarity, "Jamais je ne vous indiquerais où se trouve mon aïeule !" "Ah ouais ?", rétorqua le loup," Et ben c'est ce qu'on va voir !"
Le loup bondit sur Rarity mais celle si, ayant de bon reflexes, fit un rouler-bouler sur la droite avant de donner un "RARITY HIGH KICK NO JUTSUUUUUUUUUU" au loup. Ce dernier se prit un coup critique dans sa sale tronche de moche.
"Alors, petit con, on ose essayer de dealer avec moi ?" Demanda, dans toute sa grâce, Rarity. "Ah bordel de merde, j'ai maaaaaaaaaaaaaaaaaal", gémit le loup," putain ça va quoi, je vais pas te bouffer, ni ta grand-mère, je suis juste un agent d'EDE." "EDE ?", interrogea Rarity "Oui, Electricité d'Equestria." "De… de l'électricité, c'est quoi ça ?", s'inquiéta la ponette (suicide toi). "Juste ! Donne-moi JUSTE l'emplacement où vit ta grand-mère, veut-tu ?" "Euh oui… Ok… J'imagine que c'est euh… bon ?"
C'est ainsi que notre élégante amie indiqua sur une carte du loup l'endroit où vivait la vieille peau.
"Mwahahahahahahaha ! OH OH OH OH OH OH OH OH ! AH AH AH ! EH EH ! OH OH ! UH UH ! :rire: ! ", s'égosilla d'amusement le loup. "Euh... Pourrais-je… savoir pourquoi vous riez comme ça ?", questionna Rarity. "Hein ? Ah euh… Non rien, je pensais à une blague sur les juifs." "Oh, je peux l'entendre, très cher ?" "Eh bien non, parce que je suis en retard et que euh… JE DOIS FAIRE COULER UN BRONZE !" "Couler un … bronze ?" "OUI ! POSER UNE MINE, PARACHUTER UN IMMIGRE MAGHREBIN, SUCRER SON CAFE, DEPOSE DES AMIS A LA PISCINE, DEMOULER UN CAKE !" "Je n'ai toujours pas compris." "OOOOOH ! CHIER QUOI ! MERDE BORDEL ! C'est pas possible d'être aussi con ! JE ME CASSE !"
(Vous noterez que j'ai effectivement eu une extrême envie de faire popo avant d'écrire ce passage, l'ironie du sort, hein ?)
C'est sûr ces dernière paroles que le loup repartit en courant dans la direction de la génitrice-gigantesque de Rarity (les synonymes, c'est rigolo).
"Eh bien, quel goujat ! Humpf !", rouspéta Rarity.
C'est ainsi que notre amie continua sa route dans la fôret d'EverFree Forest. Elle continuait donc à s'aventurer de ci de là à la recherche du moindre objet à voler prendre pour pouvoir compléter sa collection estivale "ApOaL". La forêt était relativement calme, les insectes nocturnes batifolaient un peu partout, les oiseaux dormaient, les lapins aussi, tout comme les monstres monstrueux qui peuvent te tuer en 10 secondes, montre en main. En fait, seul les bruits d'expulsions intestinales du loup venaient perturber la tranquillité de la nuit.
Notre héroïne finit par arriver devant la maison de sa chère et tendre mamie. Cette maison était très grande, car mamie avait beaucoup d'argent, en vérité, la retraite en Equestria est très très bonne. Elle faisait 3 étages de haut, avait un jacuzzi, une piscine et un jardin de trouzmille hectares. Conclusion : Faites votre retraite en Equestria, vous ne le regretterez pas (Lawl, ça rime).
"Coucou mamie", parla Rarity devant la porte d'entrée de la demeure, "c'est moi, ta petite fille qui t'aime fort fort avec pleins de petits cœurs, mwa mwa, bsx MDR XD!" ("mwa" étant l’onomatopée d"un bisou, puisque je vous le dis, parole de troll ) "Oh, mais entre donc, ma chérie", rétorqua la grand-mère, "tire sur la chevillette, et la bistouquette bobinette s'ouvrireura !" "Owé ! Trop bien ! Merci mamie !", s'exclama de joie Rarity.
Elle tira de toutes ses forces et de façon très sensuelle sur la chevillette, elle poussait des petits cris d'halètements et bavait abondamment sur elle-même, jusqu'à tirer suffisamment fort sur la chose pour pouvoir ouvrir la porte.
"Ma chère, il va falloir arrêter ce genre de chose lorsque tu fais le moindre effort physique.", c'était elle dit dans sa tête de poney (et pas de tricératops).
Elle s'essuya et rentra dans la maison.
"Je suis rentrée ! Mamie ! Où es-tu ?", interrogea dans le vide Rarity. "Je suis en haut, ma chérie.", répondit la vieille, "Vient donc me retrouver." "D'accord."
C'est ainsi que Rarity traversa la maison pour retrouver sa chère et tendre mamie. La maison était plongée dans l'obscurité, Rarity manqua plusieurs fois de trébucher sur un meuble.
"Mamie !", cria Rarity, "Pourquoi ta maison est plongée dans le noir ?" "C'est pour me protéger des coups de soleil, ma chérie.", répondit la vieille.
Rarity continuait sa route, et finit par atterrir devant un escalier de bois, relativement pentu. "Mamie !", hurla de nouveau Rarity, "Pourquoi que t'as des escaliers aussi pentu ?" "C'est pour me faire les mollets, ma chérie.", expliqua la mère-grand.
Elle grimpa les escaliers, non sans difficulté.
"MAMIE ! MERDE !", ragea Rarity , "Pourquoi t'es pas venue me voir ?" "Parce que je suis tombée des escaliers la dernière fois que j'ai voulu me faire les mollets, ma chérie.", ricana la vieille salope. "Et, merde, saloperie de vieille peau", chuchota Rarity à elle-même.
Elle finit par arriver devant la porte où se trouvait son aïeule (putain de mot, sans déconner, c'est bon le pour scrabble, ça).
"Mamie !", dit Rarity (Ah merde, ça va, hein ? Je suis à cours de synonyme, tagle fait pas chier), " Pourquoi que t'as pas ouvert la porte pour moi, bordel !?" "Parce que j'ai oublié, ma chérie, LAULE !", ria de plus belle la petite vieille (cette rime de bg)
Elle ouvrit la porte et… constata avec horreur une énorme marre de sang dans la pièce !
"OMG MAMIE !", s'exclama Rarity, " Il s'est passé quoi ici ?!" "Eh bien je suis morte bouffé par le loup", répondit calmement la décédée. "Mais comment tu fais pour parler si t'es morte ?" "Eh bien en fait, il a une explication très logique. Tout d'abord…" "A TA GUEULE BORDEL !", interrompu le loup, "Reste morte !"
Ce dernier sauta sur la vieille et lui bouffa le visage. Rarity, qui avait assisté à la scène s'enfuit de la chambre et tenta de regagner l'entré.
"JE VAIS TE BOUFFER TOI AUSSI !", hurla le loup. "KOMMENT SA VA TRO PA ARRIVER ! LOL !", rétorqua Rarity.
Cette dernière ouvrit la porte d'entrée et découvrit une personne qui se tenait juste devant, Raptor Jesus.
"RWAR ! RWARCEPTER VOTWRAR SEIGNWRAR !", beugla-t-il. "OMG MONSIEUR ! Je vais trop me faire manger par le loup si vous ne me sauvez pas !", chiala Rarity. (c'est pas très féminin, ça). "Rawr rawr !", concéda Raptor Jesus.
Ce dernier rentra dans la demeure et fit face au loup.
"Putain, c'est quoi cette merde ?", se demanda la bête duveteuse. "Rawr prière !", hurla Raptor Jesus en sa direction.
Ce dernier bondit sur le loup et le goba tout cru (la viande crut, c'est plein de fer).
"Burp", éructa-t-il de satisfaction. "Omg ! Vous êtes trop mon sauveur !", s'empressa Rarity, "Que puis-je faire pour vous ?"
Raptor Jesus regardait le panier de notre héroïne (non, pas la drogue bordel, c'est illégal).
"Oh ? Vous avez faim ?", demanda-t-elle. "RAWR", acquiesça notre nouveau compagnon à la tête écailleuse. "D'accord, attendez."
Notre jeune ponette (t'as cru que j'en avais finis, hein ? Eh ben nan ) chercha dans son panier et déballa l'entièreté de son contenu.
"Alors, nous avons : un paquet de chips, de la sardine à l'huile, un godemiché senior edition, un oiseau mort, quelques fleurs un peu foutues, et enfin, du CAMEMBERT." "RAWBERT !", beugla la bestiole sainte. "Oh, vous voulez du CAMEMBERT ? Eh bien, soit, vous m'avez sauvé la vie après tout."
Rarity pris le CAMEMBERT et le donna dans les mains de notre ami Raptor Jesus.
"Olala, vos mains sont douces.", remarqua-t-elle, "Très douce…"
Elle finit par se jeter sur Raptor Jesus et elle l'embrassa. Il s'avère en effet que le CAMEMBERT était aphrodisiaque et faisait tomber amoureux deux personnes aussi facilement que l'on peut voler une sucette à un gosse (mais c'est dégueulasse de faire ça, on sait pas où à trainée sa sucette).
Et donc, s'ensuivit (évidement) une nuit de cochonnerie cochonne. Le lendemain, Rarity s'était réveillé en compagnie de notre ami mais avec une patte en moins (ah ben, c'est que c'est carnivore cette bestiole-là), mais c'est pas grave parce que Raptor Jesus est un véritable warrior de la vie et fit réapparaître la patte de Rarity. Cette dernière, reconnaissante Raptor Jesus d'avoir une fois de plus sauvé sa vie (cette conne ne lui boudera pas le fait d'avoir tout de même perdu une patte), décida de lui refaire l'amour encore. S'ensuivit un cercle vicieux qui dura jusqu'à la fin des temps.
Notez que, au courant de la scène hard sex porn big tits boobs anal, plusieurs autres poney se sont joint aux euh… réjouissances. (restons polit, bordel). Une vrai bande de chacaux, vous dis-je. (dédicace à tous mes amis grammar nazi \/)
ZE ENDEU !
Fondu en vert fluo avec pleins de petites paillettes. (Paillettes que n'as pas Ondine ! LAULE ! Ah merde, elle est triste maintenant, continue de sucer bordel ! Pfff, sale conne.)
Dernière édition par DjChapica le Sam 4 Mai - 7:08, édité 3 fois
Date d'inscription : 10/05/2012 Age : 29 Localisation : Quelque part, dans l'immensité d'equestria
Sujet: Re: L'usine à crackships Lun 24 Sep - 7:48
DjChapica a écrit:
Oui alors, vu que j'étais plein d’imagination dans ma tête, j'ai fait Raptor Jesus / Rarity, requête d'Un_chanteur_de_plus.
1 829 mots
Je tiens à préciser avant de poster la mienne que c'était pas mal du tout, CooliPoney
Bref, passons aux caca intersidéral qu'est ma fic :
Spoiler:
CAMEMBERT ! Oui, ceci est une façon très particulière de commencer une fic, mais vous allez comprendre pourquoi ce mot, "camembert", est une véritable clé de l'union de Rarity et de Raptor Jésus (que tout le monde sait qu'il existe).
Notre histoire débute donc lors d'une belle nuit étoilée, non loin de Ponyville. Nous retrouvons notre plus élégante ponette (QUOI ? TU VAS RECOMMENCER A ME FAIRE CHIER AVEC CA ? VA CHIER !) à la crinière mauve et à la robe blanche : Rarity. Elle s'en allait voir sa mère-grand (ouais, grand-mère, c'est trop mainstream) qui habitait de l'autre côté de L'Everfree Forest. Elle avait avec un petit panier comprenant pleins de victuailles qui permettrons à la petite vieille de sent sortir pendant l'hiver prochain (putain, non seulement ça sert à rien, mais en plus il faut s'occuper d'eux… Saloperie de vieux). Pendant sa promenade, elle aimait vaguer de ci, de là pour pouvoir admirer les bôtés de la nature. En effet, rappelons-le, Rarity est une dessinatrice de mode et elle profite toujours de la moindre occasion pour chourer d'acquérir le moindre objet qui peut lui sembler utile pour ses créations. C'est ainsi que, lorsqu'elle fouilla de trop près un bosquet toufu (vive le verlan), elle tomba museau à museau avec un grand méchant loup (pas bo).
"Kikoo, toi.", s'esclaffa le loup. "OMG WTF ?", hurla Rarity. "Ola, du calme ma grande. Je ne suis qu'un simple loup, et j'ai faim. Dis-moi ma pouliche, que transporte tu dans ce panier ?" "Et bien… Je transporte de la nourriture pour ma grand-mère, cette pauvre jument qui se fait bien vieille adore recevoir de la visite, en particulier la mienne. Vous savez, j'aime ma grand-mère, elle est gentille et douce, elle n'a jamais été méchante avec moi, surtout lors de ma première fois, c'était un moment magique, j'en ai encore des frissons rien que d'y penser, et…" "Ouais euh, je comprends pas", coupa le loup," enfin le plus important c'est que tu sois une bonne gamine et que tu m'indique où c'est qu'elle habite, ta vieille." "Mais vous êtes grossier !", protesta Rarity, "Jamais je ne vous indiquerais où se trouve mon aïeule !" "Ah ouais ?", rétorqua le loup," Et ben c'est ce qu'on va voir !"
Le loup bondit sur Rarity mais celle si, ayant de bon reflexes, fit un rouler-bouler sur la droite avant de donner un "RARITY HIGH KICK NO JUTSUUUUUUUUUU" au loup. Ce dernier se prit un coup critique dans sa sale tronche de moche.
"Alors, petit con, on ose essayer de dealer avec moi ?" Demanda, dans toute sa grâce, Rarity. "Ah bordel de merde, j'ai maaaaaaaaaaaaaaaaaal", gémit le loup," putain ça va quoi, je vais pas te bouffer, ni ta grand-mère, je suis juste un agent d'EPF." "EDE ?", interrogea Rarity "Oui, Electricité d'Equestria." "De… de l'électricité, c'est quoi ça ?", s'inquiéta la ponette (suicide toi). "Juste ! Donne-moi JUSTE l'emplacement où vit ta grand-mère, veut-tu ?" "Euh oui… Ok… J'imagine que c'est euh… bon ?"
C'est ainsi que notre élégante amie indiqua sur une carte du loup l'endroit où vivait la vieille peau.
"Mwahahahahahahaha ! OH OH OH OH OH OH OH OH ! AH AH AH ! EH EH ! OH OH ! UH UH ! :rire: ! ", s'égosilla d'amusement le loup. "Euh... Pourrais-je… savoir pourquoi vous riez comme ça ?", questionna Rarity. "Hein ? Ah euh… Non rien, je pensais à une blague sur les juifs." "Oh, je peux l'entendre, très cher ?" "Eh bien non, parce que je suis en retard et que euh… JE DOIS FAIRE COULER UN BRONZE !" "Couler un … bronze ?" "OUI ! POSER UNE MINE, PARACHUTER UN IMMIGRE MAGHREBIN, SUCRER SON CAFE, DEPOSE DES AMIS A LA PISCINE, DEMOULER UN CAKE !" "Je n'ai toujours pas compris." "OOOOOH ! CHIER QUOI ! MERDE BORDEL ! C'est pas possible d'être aussi con ! JE ME CASSE !"
(Vous noterez que j'ai effectivement eu une extrême envie de faire popo avant d'écrire ce passage, l'ironie du sort, hein ?)
C'est sûr ces dernière paroles que le loup repartit en courant dans la direction de la génitrice-gigantesque de Rarity (les synonymes, c'est rigolo).
"Eh bien, quel goujat ! Humpf !", rouspéta Rarity.
C'est ainsi que notre amie continua sa route dans la fôret d'EverFree Forest. Elle continuait donc à s'aventurer de ci de là à la recherche du moindre objet à voler prendre pour pouvoir compléter sa collection estivale "ApOaL". La forêt était relativement calme, les insectes nocturnes batifolaient un peu partout, les oiseaux dormaient, les lapins aussi, tout comme les monstres monstrueux qui peuvent te tuer en 10 secondes, montre en main. En fait, seul les bruits d'expulsions intestinales du loup venaient perturber la tranquillité de la nuit.
Notre héroïne finit par arriver devant la maison de sa chère et tendre mamie. Cette maison était très grande, car mamie avait beaucoup d'argent, en vérité, la retraite en Equestria est très très bonne. Elle faisait 3 étages de haut, avait un jacuzzi, une piscine et un jardin de trouzmille hectares. Conclusion : Faites votre retraite en Equestria, vous ne le regretterez pas (Lawl, ça rime).
"Coucou mamie", parla Rarity devant la porte d'entrée de la demeure, "c'est moi, ta petite fille qui t'aime fort fort avec pleins de petits cœurs, mwa mwa, bsx MDR XD!" ("mwa" étant l’onomatopée d"un bisou, puisque je vous le dis, parole de troll ) "Oh, mais entre donc, ma chérie", rétorqua la grand-mère, "tire sur la chevillette, et la bistouquette bobinette s'ouvrireura !" "Owé ! Trop bien ! Merci mamie !", s'exclama de joie Rarity.
Elle tira de toutes ses forces et de façon très sensuelle sur la chevillette, elle poussait des petits cris d'halètements et bavait abondamment sur elle-même, jusqu'à tirer suffisamment fort sur la chose pour pouvoir ouvrir la porte.
"Ma chère, il va falloir arrêter ce genre de chose lorsque tu fais le moindre effort physique.", c'était elle dit dans sa tête de poney (et pas de tricératops).
Elle s'essuya et rentra dans la maison.
"Je suis rentrée ! Mamie ! Où es-tu ?", interrogea dans le vide Rarity. "Je suis en haut, ma chérie.", répondit la vieille, "Vient donc me retrouver." "D'accord."
C'est ainsi que Rarity traversa la maison pour retrouver sa chère et tendre mamie. La maison était plongée dans l'obscurité, Rarity manqua plusieurs fois de trébucher sur un meuble.
"Mamie !", cria Rarity, "Pourquoi ta maison est plongée dans le noir ?" "C'est pour me protéger des coups de soleil, ma chérie.", répondit la vieille.
Rarity continuait sa route, et finit par atterrir devant un escalier de bois, relativement pentu. "Mamie !", hurla de nouveau Rarity, "Pourquoi que t'as des escaliers aussi pentu ?" "C'est pour me faire les mollets, ma chérie.", expliqua la mère-grand.
Elle grimpa les escaliers, non sans difficulté.
"MAMIE ! MERDE !", ragea Rarity , "Pourquoi t'es pas venue me voir ?" "Parce que je suis tombée des escaliers la dernière fois que j'ai voulu me faire les mollets, ma chérie.", ricana la vieille salope. "Et, merde, saloperie de vieille peau", chuchota Rarity à elle-même.
Elle finit par arriver devant la porte où se trouvait son aïeule (putain de mot, sans déconner, c'est bon le pour scrabble, ça).
"Mamie !", dit Rarity (Ah merde, ça va, hein ? Je suis à cours de synonyme, tagle fait pas chier), " Pourquoi que t'as pas ouvert la porte pour moi, bordel !?" "Parce que j'ai oublié, ma chérie, LAULE !", ria de plus belle la petite vieille (cette rime de bg)
Elle ouvrit la porte et… constata avec horreur une énorme marre de sang dans la pièce !
"OMG MAMIE !", s'exclama Rarity, " Il s'est passé quoi ici ?!" "Eh bien je suis morte bouffé par le loup", répondit calmement la décédée. "Mais comment tu fais pour parler si t'es morte ?" "Eh bien en fait, il a une explication très logique. Tout d'abord…" "A TA GUEULE BORDEL !", interrompu le loup, "Reste morte !"
Ce dernier sauta sur la vieille et lui bouffa le visage. Rarity, qui avait assisté à la scène s'enfuit de la chambre et tenta de regagner l'entré.
"JE VAIS TE BOUFFER TOI AUSSI !", hurla le loup. "KOMMENT SA VA TRO PA ARRIVER ! LOL !", rétorqua Rarity.
Cette dernière ouvrit la porte d'entrée et découvrit une personne qui se tenait juste devant, Raptor Jesus.
"RWAR ! RWARCEPTER VOTWRAR SEIGNWRAR !", beugla-t-il. "OMG MONSIEUR ! Je vais trop me faire manger par le loup si vous ne me sauvez pas !", chiala Rarity. (c'est pas très féminin, ça). "Rawr rawr !", concéda Raptor Jesus.
Ce dernier rentra dans la demeure et fit face au loup.
"Putain, c'est quoi cette merde ?", se demanda la bête duveteuse. "Rawr prière !", hurla Raptor Jesus en sa direction.
Ce dernier bondit sur le loup et le goba tout cru (la viande crut, c'est plein de fer).
"Burp", éructa-t-il de satisfaction. "Omg ! Vous êtes trop mon sauveur !", s'empressa Rarity, "Que puis-je faire pour vous ?"
Raptor Jesus regardait le panier de notre héroïne (non, pas la drogue bordel, c'est illégal).
"Oh ? Vous avez faim ?", demanda-t-elle. "RAWR", acquiesça notre nouveau compagnon à la tête écailleuse. "D'accord, attendez."
Notre jeune ponette (t'as cru que j'en avais finis, hein ? Eh ben nan ) chercha dans son panier et déballa l'entièreté de son contenu.
"Alors, nous avons : un paquet de chips, de la sardine à l'huile, un godemiché senior edition, un oiseau mort, quelques fleurs un peu foutues, et enfin, du CAMEMBERT." "RAWBERT !", beugla la bestiole sainte. "Oh, vous voulez du CAMEMBERT ? Eh bien, soit, vous m'avez sauvé la vie après tout."
Rarity pris le CAMEMBERT et le donna dans les mains de notre ami Raptor Jesus.
"Olala, vos mains sont douces.", remarqua-t-elle, "Très douce…"
Elle finit par se jeter sur Raptor Jesus et elle l'embrassa. Il s'avère en effet que le CAMEMBERT était aphrodisiaque et faisait tomber amoureux deux personnes aussi facilement que l'on peut voler une sucette à un gosse (mais c'est dégueulasse de faire ça, on sait pas où à trainée sa sucette).
Et donc, s'ensuivit (évidement) une nuit de cochonnerie cochonne. Le lendemain, Rarity s'était réveillé en compagnie de notre amie mais avec une patte en moins (ah ben, c'est que c'est carnivore cette bestiole-là), mais c'est pas grave parce que Raptor Jesus est un véritable warrior de la vie et fit réapparaître la patte de Rarity. Cette dernière, reconnaissante Raptor Jesus d'avoir une fois de plus sauvé sa vie (cette conne ne lui boudera pas le fait d'avoir tout de même perdu une jambe), décida de lui refaire l'amour encore. S'ensuivit un cercle vicieux qui dura jusqu'à la fin des temps.
Notez que, au courant de la scène hard sex porn big tits boobs anal, plusieurs autres poney se sont joint aux euh… réjouissances. (restons polit, bordel). Une vrai bande de chacaux, vous dis-je. (dédicace à tous mes amis grammar nazi \/)
ZE ENDEU !
Fondu en vert fluo avec pleins de petites paillettes. (Paillettes que n'as pas Ondine ! LAULE ! Ah merde, elle est triste maintenant, continue de sucer bordel ! Pfff, sale conne.)
Date d'inscription : 03/05/2012 Age : 33 Localisation : Loire (42)
Sujet: Re: L'usine à crackships Lun 24 Sep - 12:08
DjChapica a écrit:
Je tiens à préciser avant de poster la mienne que c'était pas mal du tout, CooliPoney
J'attendais ton commentaire et ravi de savoir que ma chose t'aie plu. Je viens de lire ta dernière : Tu devrais faire dialoguiste dans le cinéma en fait.
Ravena Sophite ~ a écrit:
Spoiler:
"Tu veux ton c*l, vierge" "Ass Feast" "petit mais puissant" "m*rde"
La première phrase devait être normalement "Je veux ton c*l, jeune pucelle" mais jongler entre français=>coréen puis coréen=>francais c'est pas si évident
Norlf a écrit:
C'est mal écrit, absolument pas fin, tu t'est permis d'écrire des saloperies en coréen et tu t'est même pas foulé pour rendre le tout un peut cohérent....
...
Awesome.
Je trouve ce commentaire full of win, en est tu conscient ?
Pour ta demande Jack Sparrow/Applejack je suis pas si inspiré que ça en ce moment mais c'est ta proposition d'en faire un dessin qui me mettrait une certaine motivation
Et pour Zephron, je pensais pas du tout à ça en plus
A part ça, on manque de crackshippeurs par ici je trouve.
Sujet: Re: L'usine à crackships Lun 24 Sep - 20:12
CooliPoney a écrit:
Je trouve ce commentaire full of win, en est tu conscient ?
Pour ta demande Jack Sparrow/Applejack je suis pas si inspiré que ça en ce moment mais c'est ta proposition d'en faire un dessin qui me mettrait une certaine motivation
J'aime parfois prendre du temps pour sortir un bon commentaire. (Et j'aime quand on le remarque :p)
Mais que ton surcroit de motivation ne prenne pas le pas sur ton inspiration, de toute manière si je continue à m'améliorer avec mes quelques dessin je finirais par les afficher et proposer mon non-talent aux intéressés. Y'en auras.
Date d'inscription : 25/05/2012 Age : 30 Localisation : Ici et là
Sujet: Re: L'usine à crackships Lun 24 Sep - 21:40
Je viens d'avoir une punaise d'illumination, vu le nombre de gens qui commence à s'y mettre C'est juste une connerie qui atteindra jamais les sommet Vus qu'à un moment, il y aura plus d'idée on pourrai commencer à faire des crackship avec les membre du forum Ça serait marrant de vous voir vous défouler dessus
Sinon raven:
Spoiler:
T'es chiant !!! Je voulais le faire !! Mais bon t'a été plus rapide je te le laisse
Date d'inscription : 03/05/2012 Age : 33 Localisation : Loire (42)
Sujet: Re: L'usine à crackships Lun 24 Sep - 21:48
tisacco26 a écrit:
Je viens d'avoir une punaise d'illumination, vu le nombre de gens qui commence à s'y mettre C'est juste une connerie qui atteindra jamais les sommet Vus qu'à un moment, il y aura plus d'idée on pourrai commencer à faire des crackship avec les membre du forum Ça serait marrant de vous voir vous défouler dessus
J'ai peur que ça donne des crackships avec des références compréhensibles que par un très faible nombre de personnes. On ne connait pas tous les membres d'ici