My little Pony
Friendship is magic
Le 7 eme élément de l’harmonie

Chapitre 1 : Commencement de L’histoire
« Toutes les Histoire commence par il était une fois, pas la nôtre. Non la nôtre commencera par un jour ».
« Bon… Bien… c’est partie ».
Un jour, dans un palais de haute modestie, vivaient un roi et une reine sur un petit royaume. Les Pegasus licorne étaient très appréciés dans le pays pour la sécurité qui y règne et le bonheur qu’ils portent au peuple. Leur ancêtre était de même sang que ceux de la princesse Celestia à Equestria, il avait donc un petit lien de parenté mais sans plus. Ils avaient bâti leur royaume près d’un cours d’eau qui se trouver sur la montagne. Le village était juste en dessous prés de la cascade de la rivière. C’était un village commun comme on en trouve dans le monde entier, les champs de culture s’étendaient sur le flanc gauche du village et les rails de la gare partaient vers le coter droit du village. une bonne altitude, on pouvait admirer la gigantesque et vaste plaine et montagne qui faisait du paysage un monde chaud qu’on aime contempler pendant des heure en attendant le soleil se coucher pour ensuite se tourner vers les étoiles, le royaume était construit sous des nuages d’étoiles qui font autant de lumière que les lampadaires de la ville. Non loin du royaume, il y avait l’océan .Si on prend une carte actuelle, on ne voit pas le village, il est au-delà des terres perdues, les ancêtres du roi partirent en découverte de nouvelle terre mais ne pouvant plus faire demi-tour âpres avoir traversé l’océan, ils bâtirent alors leur royaume sur ces terres qu’on appelle maintenant le monde perdu. Un beau jour, la reine donnât naissance à un beau petit poulain de teinture bleue foncer et les cheveux de même couleur que celui de son père, ses yeux, la couleur de l’océan, sa crinière bleu noir avec une petite mèche bleu claire. Il avait le bout des sabots, blanc, de même couleur que son museau. Il semblait avoir un bel avenir de prince. C’est parent lui donnèrent le nom d’un des ancêtres du roi, Trasher.
À ses 6 ans, Trasher reçut la meilleure éducation qui peut y avoir, même si sa passion n’était pas pour les formules mathématiques ou autres matières principales, il aimait beaucoup les matières de culture générale sur les histoires du passé et des grands poneys, sur la géographie, la magie et l’astronomie. A Son adolescence, il eut les meilleures cours de vol du pays, et les meilleures cours de la pratique sur la magie, il étudia tous les domaines de la magie et c’est pratique, c’est restriction et…Celles qui sont interdites.
À sa maturité, Trasher était devenu un bel étalon qui faisait ravir les juments du royaume. Mais il n’était pas à la conquête d’amour, mais à la conquête d’un destin qu’il avait longtemps rêvée. Trasher ne se voyait pas gouverner un royaume mais plutôt à en explorer d’autre et non pas sous l’apparence d’un roi, mais sous l’apparence d’un simple poney.
Le jour de la réunion du royaume, une coutume qui se fait 1 fois tous les mois au château pour parler des problèmes du royaume, réunie tous les habitants et laisse placent à des longs débat, on parle des plantations de culture, des améliorations à apporter du commerce de la politique etc. Trasher n’était pas intéressé par les droits d’un roi mais y savait qu’un jour, il devra prendre place au trône et lui aussi devrait débattre sur des sujets de survie du royaume.
Le soir, au coucher du soleil, Trasher, assied sur le balcon de sa chambre contempla le paysage et s’imagina partir loin de cette vie entre quatre murs. Sa mère entra dans la chambre, s’approcha de la fenêtre, entra sur le balcon puis dit :
-alors Trasher, tu as l’air perdu dans tes penser ?
-Je ne m'imaginais loin de là, plus loin que les montagnes. Il se tourna vers elle et dit : -Mère ?
-Oui ?
-Il ne vous est jamais arrivé de vouloir partir d’ici, loin de la vie au château, partir découvrir de nouveau monde.
Sa mère se tut pendant un instant, puis prit une légère respiration et dit :
-quand je n’étais qu’une adolescente, je voulus partir de la place du trône que l’on m’avait réservé, quitter le trône et un acte de trahison envers la couronne, mais sa m’importer peu, je pris des provisions et je suis parti en quête d’aventure, je voulus découvrir le monde perdu alors j’ai pris un bateau pour me rendre a Cervidas et à partir de la je suis partie découvrir le nouveau monde .Plusieurs jours plus tard , ,j’avais découvert un petit village et un château je me suis arrêté et j’ai rencontré ton père, nous sommes tombé amoureux et nous avons bâti notre royaume.
Trasher écouta l’histoire. Sa mère se tourna vers lui et dit :
-on n’est tout maitre de son destin, il suffit juste de choisir qu’elle soit le chemin que tu entreprendras.
Trasher garda la tête loin à l’horizon, sa mère prit la porte et quitta la chambre en le laissant dans se penser. Une nostalgie lui monta aux yeux et la phrase que sa mère venait de lui dire lui repassa devant lui :
-maitre de mon destin.

Cha pitre 2 : Le destin

Le lendemain après-midi, une réunion des gouverneurs du pays se rejoignirent au royaume pour parler de politique, Trasher ne pouvait plus attendre, il devait parler de son rêve à son père. Il entra doucement dans la salle lors de la pause et s’approcha de lui, puis dit :
-père, J’ai à vous parler.
-Plus Tard Fils ! Je suis en pleine réunion
-Mais père !
-On en parlera à la réunion du royaume tout à l’heure.
Décourager, Trasher fit demi-tour et sortit de la salle, il devait attendre encore quelques heures. Il décida d’aller se promener au village, c’était mardi, le jour du marché, beaucoup de marchand venant du monde entier passe par ici pour vendre deux trois bricoles. Dans la rue tout le monde saluer Trasher d’un coup de chapeau .Il fit halte devant une diseuse de bonne aventure, pourquoi ne pas se relaxer un peu se dit-il, il entra dans la petite tente violette foncé, il vit des amulettes, des artefacts et des objets de magie astrale et protectrice, devant lui se trouver une vieille jument, elle avait dépassé l’âge d’or à coup sûr. Elle vit Trasher entrer et dit Mais voilà le bel étalon du royaume. Que puis-je pour vos jeunes hommes ?
-J’aimerais que vous me lisier mon avenir.
La diseuse fit un geste pour dire un Trasher de venir s’asseoir sur les coussins qui se trouver autour d’une table basse, sur elle se trouvait une bille ronde transparente, on pouvait distinguent voir à la fumer violette à l’intérieur. Trasher s’assied et la vielle fit des gestes de patte autour de la boule en racontent des choses incompréhensibles. Puis elle dit :
-Hoooo, je vois ... je vois une ville, une ville qui est très loin d’ici.
Trasher non surpris balança un regard de pitié sur la boule et sur la diseuse mais il resta muet pour pouvoir la laisser continuer.
-Je vois ... je vous vois vous…accompagner d'autres poneys.
Trasher était perplexe mais resta dans le silence.
-Je vois le bonheur sur votre visage, et celle des autres.
Quand soudains, la table se mit à trembler et des objets poser sur les étagères se mirent à tomber au sol, la diseuse semblée être aspirés par la bille, ses yeux devenus blancs commencer à inquiéter Trasher , puis elle reprit :
-je vois, la ville en feu, les poneys sont paniqués, je vois le chaos, je vois la peur, je vous vois vous et des autres poneys faire face à un monstre de feu, un combat brutal entre une armure d’or et le monstre…je vois……
Il ne savait pas si c’était une blague ou si c’était vrai mais il commence à avoir vraiment peur.
-JE VOIS ……JE VOIS. Le ton de sa voix se mit à augmenter. Puis soudain… plus rien.
Il n’y avait plus de tremblement, plus d’objet se cassant au sol, plus la vielle en trance. Elle leva la tète, Trasher dit :
-quoi, vous avez-vous quoi !?
-Je vous ai vu mort.
Une violente sensation traversa Trasher, le mal au niveau du ventre et les nœuds dans la gorge le rendirent paralyser non pas par la peur, mais par l’appréhendassent, il se leva et se mit à fuir la tente dans un moment de panique, il se mit à courir vers le château comme s'ilvoulait s’abriter d’un malheur. Il vola jusqu'à son balcon rentra dans sa chambre et boucla la porte. Puis il recula, les nœuds dans sa gorge remonter, dès l’arme se mirent à couler le long de ses joues il dit avec autant de mal que de douleur:
je…je... Je vais mourir ?!