Comme promis dans ma présentation ceci est donc la première partie du tout premier chapitre de Shining Wave VS The Equestria, une fic en cours de publication qui est de ma propre création. Je la publie principalement en anglais sur mon Deviant Art. Mais je posterais bien plus vite ici que sur DA. Normal, travail de traduction en moins!  
De plus chaque partie sera généralement accompagnée d'un art comme celui-ci.


C'est le même ami qui ma fait découvrir l'univers MLP et le forum French Brony (Si vous avez lu ma présentation). Il est lui aussi sur Deviant Art.
Bon, ce post est déjà suffisamment long, je pense qu'il est temps de passé à ma Fic.
N'hésitez pas à me donner vos avis, ressentis et si vous avez deux trois questions qui vous viennent à les poser!
Bonne lecture les gars.  

Synopsis de l'histoire:

J'aime vraiment pas Ponyville. Enfin, pour être tout à fait clair, le terme de bourgade pétée sans importance ne me semble vraiment pas usurpé.
C'est la campagne, il n'y a pas de bars, il n'y a pas la fibre, c'est juste à coté d'une forêt flippante où logent timberwolfs, oursa major et basilics ainsi que d'autres saloperies en tout genre, les locaux laissent paraît-il une pauvre zèbre vivre dans cet enfer car ils ont trop peur d'elle, et le premier lycée est à trente bornes du centre-ville. Encore heureux que je peux voler...
Mes parents auraient voulu me punir pour avoir laissé ma grand-mère au soleil en été, ils n'auraient pas eu à s'y prendre autrement.
Super, il y a de l'ambiance, ça chante ça danse partout de temps en temps et l'air pure de la campagne va m'aider à m'oxygéner le cerveau avant l'université. En plus y a une bibliothèque vraiment complète ! Merci maman.
Je me rappelle encore exactement ce qu'elle m'avait sorti pour justifier de m'envoyer sur Ponyville.

"-La vie en ville ne fait pas que du bien aux jeunes comme toi, ton père et moi on fait surtout cela pour ton épanouissement personnel mon chéri."

Qu'elle disait, avec son grand sourire de mère protectrice qui sait exactement ce qu'il faut pour son enfant. On le connaît tous ce sourire. Vous savez ? Le genre de sourire qui donne l'impression que vous êtes une princesse de fable qui fait chanter les oiseaux avec un petit orchestre philharmonique pour les accompagner sur un fond de grand rayon de soleil et de forêt à papillon en guimauve.
Bien évidement je ne m'étais pas laissé dégonfler, ni par se discours, ni par ce sourire qui sentait le bonbon et les fleurs des bois rose, et m'étais tout de même défendu. Car déjà à l'époque, je n'avais pas énormément envie de quitter la ville pour la campagne. Lui répondant alors.

"-Oui, mais c'est Ponyville, c'est pas comme si c'était un centre culturel national ! Puis tous mes amis sont ici, j'aurais l'air de quoi à passer mes épreuves là-bas plutôt qu'à Canterlot ?"

À vrai dire, j'étais même vraiment surpris que mes parents m'aient dégotté un lycée dans cette bourgade. De l'idée que j'en avais à l'époque, c'était plus un gros village où était concentrée la principale part de paysans et de petits artisans d'Equestria qu'une réelle ville dynamique. D'ailleurs je n'ai pas vraiment changé d'idée là dessus depuis.
Bien sûr à cela mes parents ont essayé de me vendre le produit en me déblatérant tout les avantages et en carguant déloge cette ville qui ne doit même pas dépasser le millier habitants. Ou alors si c'est le cas, très difficilement.




Pour la seconde et dernière fois, je signale que l'on édite jamais un message de la modération. ~ Wegge.



Oui, ce message non plus.

EDIT : Toutes les fautes du premier chapitre ont été corrigées

Je m'y atèle immédiatement, désoler pour toutes ces fautes. Je tacherais d'être beaucoup plus vigilant la prochaine fois.
Et merci de ta correction si approfondie! C'est vraiment sympa!

Hey tout le monde! Voici la suite de ma fanfic. J'espère, malgré les quelques erreurs que j'avais pu commettre avec le début de celle-ci, (que je me suis empressée de corriger) qu'elle aura réussi à titiller votre curiosité.
J'ai essayé d'écouter les quelques conseils qui mon était précédemment donné et de veiller à ce qu'une orthographe propre ainsi que des textes plus longs soit maintenant  publiés!

J'espère que la suite vous plaira et je vous souhaite une bonne lecture!


"-Oh tu ne devrais pas être aussi méprisant mon chéri, tu serais surpris par ce que réserve ces genre de petite communes pittoresques qui font tout le charme d'Equestria."

Répliqua ma mère toujours souriante et collant ses mains l'une à l'autre au niveau de son visage, penchant la tête de l'autre côté. Sa longue crinière bleue encadrant son visage radieux. Au terme « pittoresque » je ne pouvais d'ailleurs pas m'empêcher de penser que c'était le terme gentil qu'utilisaient les gens de la ville pour parler des pauvres et des culs-terreux. Enfin...

"-Tu sais en plus Ponyville possède une très grande bibliothèque. Je suis sure que dans le cadre de tes études ça te sera d'une très grande aide. Alors qu'ici à Canterlot, seuls ceux qui sont accrédités à pénétrer dans la citadelle peuvent espérer avoir accès à la bibliothèque royale."

Continua ma mère toujours autant souriante avant d'être rejointe par mon père qui se tenait juste sur la gauche de ma mère. Comme à son habitude, il se la jouait vieux de la vielle. Habituellement ce petit numéro ça le rend plutôt cool il faut bien l'avouer. Mais dans le contexte de justifier le fait que je quitte le domicile familial plus tôt que prévu pour que mes parents jouissent d'une vie sans enfants à charge de manière prématurée, ça le rendait un peu moins cool à mes yeux bizarrement.

"-Écoute Shining, il me semble que jusque là nous n'avons pas été trop durs avec toi. Il y a beaucoup de jeunes pégases qui auraient voulu grandir et être éduqués à Canterlot comme toi tu sais ?...
-Alors pourquoi vous me laissez pas terminer mes études ici ?!?"

Je l'interrompis au milieu de sa phrase en agitant les bras l'air incompréhensif, et  lui couper la parole ça ne lui plaisait pas vraiment, je le savais. Il fronça alors les sourcils et reprit l'air plus grave.

"-Alors, c'est pour cela que nous avons décidés ta mère et moi de te sortir un peu de ton quotidien habituel. Afin de te montrer que la vie ne se résume pas qu'aux différentes rues de Canterlot ou de toutes les autres grandes villes d'Equestria."

L'objectif aurait donc été de me faire voir du pays ! Mon œil, tout d'abord par ce que, Ponyville, il y a peut être plus exotique comme destination et puis surtout, comme je vous l'ai dit précédemment, c'était plus une justification foireuse pour me faire quitter le domicile familial plus vite que mes études allaient. Mais qu'étant donné que j'étais toujours trop jeune pour m'auto-gérer, donc trop jeune pour qu'ils me foutent totalement à la rue et qu'ils avaient la flemme de me payer un appart en ville, ils ont donc pris aux moins cher et décidé de m'acheter un appartement à Ponyville. Puis aussi dernière raison qui concernait plus mon père et que j'ai tout de suite vue, la main sur le flanc de ma mère n'étant pas du genre discrète, ça allait leur laisser bien plus d'intimité et de temps « rien que tous les deux ».

Ne me sentant en capacité de faire changer de position mes parents j'avais donc accepté. Me consolant à l'époque en me disant que vu la réputation que les gens de Ponyville se tapaient en général à Canterlot, et après deux trois renseignements que j'avais pu glaner sur ce coin de terre faisant face à la cité blanche, mes examens devraient se dérouler là-bas sans que j'ai à faire de gros efforts au niveau intellectuel et surtout au niveau du travail personnel . Monumentale erreur. Car la plupart des professeurs du lycée de Ponyville, pour ne pas dire tous, étaient originaires de grandes villes et de grandes écoles afin d'offrir une éducation et un enseignement qui redynamiserait le coin. Et vu certains engins que j'ai pu voir sur place, croyez moi qu'ils ont du travail. Alors un flemmard comme je me suis montré pendant ma première et seconde année, les professeurs m'ont très vite eu moi et ma mèche bleue dans le collimateur. Oh et puis la bibliothèque dont ma mère me parlait, bibliothèque dont on à quasiment plus accès, car elle n'est plus qu'ouverte sur nos temps de travail, pas tellement pratique donc. Surtout que le lycée de Ponyville n'est pas vraiment à côté de son centre-ville comme je vous l'ai dit. Et c'est comme ça depuis 4 ans, depuis qu'elle est tenue par une fille qui à récemment été promue princesse, je crois, et qui dirige le coin. À dix-neuf ans. Arfh. Et on est censé vivre dans une société égalitaire ou le pistonnage n’as pas lieu d'être. Enfin. De toute manière leurs festivités et leurs manies à chanter à tout bout de chant mon toujours horripilé, et c'est aux environs de cette bibliothèque que j'ai le plus de « chance » d'y avoir droit. Bien que j'ai à chaque fois su y faire abstraction depuis que j'habite à Ponyville. Ma technique est simple, baisser la tête, mettre mon casque sur mes oreilles et foncer le plus vite possible vers mon objectif. Généralement, le lycée ou le petit pavillon où cela fait maintenant cinq ans que j'habite. Oui oui cinq ans... Car j'ai redoublé deux fois. Ma vie est super ! Quand je vous dis que c'était une grave erreur de penser que je pouvais rester à ne rien faire au fond de la classe du lycée de ce bled.

Enfin... Tout n'est pas à jeter dans ma vie. Oui, car pour l'instant vous êtes sans doute en train de vous dire que vous lisez simplement le skyblog d'un poney ado un peu déprimé qui déteste ses parents qui ne le comprennent pas ; Qui déteste la société qui ne le comprend pas et qui déteste les autres, car ceux-ci non plus ne le comprennent pas. Et qui en plus à très certainement une mèche, des piercings aux lèvres et aux arcades, s'habille en noir, se scarifie et écrit à l'encre rouge dans son journal intime pour dire à qu'elle point il est en colère contre la vie. Désolé de décevoir vos attentes, mais des émos je ne partage à la rigueur que le régime alimentaire. N&N's et Yap. Et parfois je quitte ce champ pour quelques excentricités comme des raviolis ou des pâtes, avec du fromage, beaucoup de fromage. Nan et puis je ne suis pas encore totalement associable tout de même, j'ai deux trois amis ici à Ponyville, ceux qui partent le moins en couille, qui ne sont pas nympho, qui ne son pas ultra timide ou qui ne sont pas juste con. Mais la plupart de mes proches sont surtout à Canterlot, là d'où je suis d'origine. La plupart d'entre eux je les retrouve en terrasse d'un café, par Spyke, pendant les vacances ou jours Férié, ou encore sur un jeu en ligne, S5 League. Je vous le recommande d'ailleurs. En bref, je garde le contact avec eux quand même. Sinon je me serais fracassé la tête contre les murs tout seul dans cette ville ! Et puis, Canterlot-Ponyville ce n'est pas non plus l'autre bout du monde, et quand on à une petite bourse comme moi qui prépare de très prochaines études c'est toujours agréable d'avoir un gâteau aux fruits faits maison de sa maman, même si c'est plus ou moins à cause d'elle qu'on est là ! Enfin, tout cela n'a pas d'importance. Car ce que je souhaite vous raconter là c'est plutôt une drôle d'histoire qui m'est arrivé il n'y a pas si longtemps. Je dirais que ça a commencé il y a quelques semaines...

EDIT : Toutes les fautes du deuxième chapitre ont été corrigées

Hey hey hey French Brony! Alors quoi de neuf?... Génial!
Je profite de mon dernier jour de vacances, avant un looooong moment, pour poster mon deuxième chapitre de Shining Wave VS The Equestria. L'action commence réellement à partir de maintenant! J'espère que ça vous plaira, autant que ça me plaît de faire cette fic! Et comme d'habitude, si vous avez un truc à dire, faite un commentaire!  

Maintenant si vous voulez bien m'excuser, je dois aller pleurer sur mes heures de grasse matinée révolue...  
-Odbicie-  


Je venais tout juste de terminer mes examens. J'étais crevé de mon année. J'avais fait en sorte qu'après mes quatre précédentes années plus ou moins catastrophiques de me sortir les doigts du cul et plutôt commencer à me le bouger pour me barrer de cet enfer de ville tout droit sortit d'un dessin animé pour petite fille qui n'avait rien de très attractif pour les jeunes et pas grand-chose de prometteur. Une fois sorti de la salle d'examen, je n'avais juste envie que d'une chose. Rentrer chez moi pour décompresser. Surtout que j'étais seul à la sortie de mon épreuve finale. Il faut avouer que j'avais un léger problème de vue, rien de grave hein, je vois juste mal ce qui est petit et près, avec des lunettes ça va tout de suite mieux. Mais le souci était que les lunettes étaient maintenant interdites aux examens nationaux. Décision prise après qu'une élève ait apparemment enchantée ses lunettes il y a deux ou trois ans pour avoir le contenu complet des œuvres qu'elle devait étudier dans l'année. Tsk, tricher pour un examen Littéraire parce qu'on n'a pas étudié ses livres dans l'année. C'est tout de même triste vous ne trouvez pas ? Enfin, de ce fait, ne pouvant résoudre par mes propres moyens mon petit problème de vue, j'ai dû tout au long de l'année jouer des pieds et des mains pour avoir un aménagement le jour de mon examen. Et oui, que ce soit à Ponyville ou à Canterlot, l'éducation en Equestria c'est de la merde ! Donc, le jour fatidique je me suis retrouvé seul dans une salle prévue aux élèves bénéficiant d'aménagement avec des sujets agrandis et un temps d'épreuve plus long. Et bien sûr, un surveillant rien que pour moi qui passait le plus clair de sont temps à me rappeler mes droits, en m'appelant à chaque fois par « M. Wave » mon nom, et les sanctions encourues en cas de triche, comme si j'étais ici le principal suspect d'une affaire de séquestration d'enfants ou de vandalisme d'effigie royale. Sinon, parfois il se levait pour faire une ronde, voir ce que j'écrivais avant de replonger le museau dans son magazine people préféré. Un étalon avec le goût du travail bien fait, à n'en pas douter. À la fin de mon épreuve, ma dernière épreuve donc, j'étais seul à l'entrée du bâtiment. La plupart des élèves étant partis fêter cela aux bars de Canterlot avec le dernier train de Ponyville. Comme la majeure partit de mes amis. J'ai donc décidé étant fatigué de rentrer chez moi. Dix-huit heures trente, il faisait très chaud encore à ce moment de la journée.

Le pays connaissait une grosse canicule à cause de la grève des pégases syndiqués, ou aussi appelés PS, dans les plus grandes agglomérations. Pour tout vous dire, je sentais la chaleur des dalles sous mes pieds. Comme à son habitude, la fille rose qui sourit tout le temps était encore en train de chanter et danser sur les toits de la ville. Vous savez ? Pinkie Pie je crois, la mascotte de ce trou il me semble. Mais ça n'a pas d'importance, car j'ai réussi à rentrer chez moi en l'esquivant elle et ses amies toutes aussi dégénérées. Une fois la serrure déverrouillée et la porte ouverte, ce n'est pas sans une certaine joie que je pénétrai dans mon petit chez moi. Refermant la porte derrière moi, je jetai dans un coin de la pièce mon sac, qui de toute manière presque vide, car ne contenant que mon nécessaire pour écrire et quelques broullions de mes examens écrits. Donc pas franchement quoi que ce soit de fragile ou d'important demandant ma plus grande délicatesse. Seul chez moi je poussais alors un profond soupir en déclarant.
-Hé bah putain. C'est termine toutes ces conneries.
Après ce tendre moment de poésie, je me suis dirigé vers mon ordinateur nonchalamment. Étant donné que la plupart de mes amis étaient comme je l'est dit en train de faire la fête et qui plus est je n'avais aucune envie de me mettre la tête à l'envers ce soir là. Après un rapide regard sur les réseaux sociaux, qui, comme d'habitude me désespérait plus qu'autre chose, je me décida donc de me lancer directement sur une partit du jeu en ligne dont je vous parlait, S5 League. Je me suis donc réinstallé sur mon fauteuil, j'alluma ma lampe de bureau et me suis connecté pour me trouver un serveur puis un salon ouvert sur lequel je pourrais librement me détendre à coups de blaster et de katana. La partie que j'avais commencée se déroulait plutôt bien, faut avouer que je me débrouille pas trop mal dans le domaine. J'ai d'ailleurs eu l'occasion de participer à quelques tournois et a remporté quelques prix. Faudrait d'ailleurs que je pense à les nettoyer de toute cette poussière. Je ne vais pas vous faire le résumé du match, mais mon équipe était en tête et je n'y étais pas pour rien. Dans mon style, même au niveau pro, y en avait pas beaucoup qui m'égalait. Et quand j'arrivais sur un terrain je me faisais généralement vite remarquer, que ce soit par mes camarades ou mes adversaires. Appeler d'un côté « l'ami » et de l'autre plutôt « Putain de soigneur ! ». Les gens qui prennent le temps de soigner leurs camarades de partie, au lieu de fondre directement dans la bataille, étaient rare. Et le fait que, grâce ou à cause d'eux, tout dépend toujours de quel coté vous vous trouvez, la partie s'éternise avec un avantage pour le camp possédant le soigneur, rendant donc ma classe particulièrement « dangereuse » pour mes adversaires. Ce qui fait qu'elle finit généralement comme cible prioritaire. Mais c'est vrai qu'on ne gagne pas des trophées en recousant des bras casser virtuellement. Nan pour ça il faut aussi un peu de talent, un peu de précision, pour ça il faut aussi un flingue. Et que ce soit en longue, moyenne ou courte distance, je suis loin d'être le plus mauvais.

Enfin, c'est ce que je pensais. Car après quinze minutes de match scellant la première mi-temps, et l'habituelle fessé que j'avais l'habitude d'administrer à mes adversaires. Un nouveau joueur a rejoint le camp adverse. Et je n'ai jamais eu autant l'impression de me faire violer à ce point. C'était... Rageant. J'ai juste eu le temps de lire dans la conversation publique que le joueur Marama111496 avait dit « Je m'en charge » que j'ai vu une silhouette me fonçant droit dessus en sautant de mur en mur, sprintant et bondissant comme si chaque obstacle, chaque aspérité, chaque surface existante sur cette carte n'étaient qu'un moyen quelconque pour se déplacer le plus rapidement possible partout sur le terrain. Ses déplacements étaient si fluides, précis et rapides qu'on aurait dit qu'aucun endroit ne lui était inaccessible. Ça, c'est la partie que je respecte. Ensuite, il y a eu la partie ou j'ai rageais. Une mort, deux morts, trois, quatre. Cinq morts ! La dernière fois que je m'étais autant fait tuer en si peu de temps sur ce jeu, c'était quand j'apprenais encore à me servir des touches de mon clavier ! Et le pire c'est que ce n'était pas de l'acharnement à proprement parler, c'était simplement de la mise en hors-service de moi et mon personnage. En effet, si je restais au point de renaissance de mon équipe, je n'avais rien à craindre de lui. Mais sitôt que j'entreprenais de soigner un coéquipier ou de tuer un adversaire, j'avais l'un comme l'autre à peine le temps de le mettre en joue que se fichu Marama était derrière moi.

"-Putain ! Mais couvrez moi bande de tas d'merde !"

Je m'égosillais contre ma propre équipe. Mais tous ceux qui se trouvait entre moi et le point de départ de ce professionnel étaient eux aussi réduit en charpie en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.

J'ai bien sûr essayé toutes mes techniques, toutes les compétences, toutes les astuces qui étaient en mon pouvoir et en ma connaissance pour renverser la situation de nouveau à mon avantage ! Mais rien à faire, au final j'ai juste fini par calculer le temps qu'il fallait à ce satané joueur combien de temps il lui fallait pour me repérer, me viser, me charger, m'attaquer, me tuer et repartir autre part sur la carte pour aider ses compagnons. Et j'ai encore ce temps dans la tête. Deux secondes, et quatre centième. Il ne lui fallait que deux secondes et quatre centième pour briser ma légende. Bon, ne pensais pas que je sois non plus trop mauvais joueur. Même si au début je l'ai traité de tous les noms et lui ai souhaité toute les formes de copulation anale existante et surtout les plus douloureuses, j'ai tout de même voulu reconnaître ma défaite auprès de lui. Après avoir dit une nouvelle série d'obscénité à mon écran quand j'ai vu les résultats et que ce joueur m'avait tué soixante-douze fois en quinze minutes pour aucune mort de son côté. C'est donc tout naturellement qu'après ce match aussi long que laborieux, je lui est envoyé par conversation privée.

"-Je demande ma revanche ! Un VS un. Pas de magouille, armement réglo sans personne pour venir nous déranger ! Okay ? "

Et que croyez-vous que ce mystérieux Marama m'est répondu ?

"-Tg, tu me fais perdre mon temps noob."

Et cela, avant de me bloquer à toute forme d'autres communications avec lui. Je ne vous cache pas que je me sentais mal, abattu et pris d'un profond sentiment de solitude je n'ai pus dire que ces quelques mots.

"-S... Salaud... Ho le salaud... Moi ?... Noob ?... Mais... J'vais juste te niquer !..."

Et c'est alors que les joueurs quittaient un à un le salon de jeu, que je restais les yeux fixés sur mon écran et le tableau des scores, qu'une seule idée, une seule, ne me venait. Si je ne pouvais pas battre Marama, j'allais tout faire pour lui nuire !

Première chose :
Renvoie ton relecteur, "blaze".
Parce que oser affirmer que toutes les fautes des chapitres ont été corrigées alors qu'il reste encore des ENORMITES dans le texte, c'est vraiment insolent.
Si tu fais en même temps la version anglaise, j'imagine même pas le carnage.

Deuxième chose :
A plusieurs reprises, ton personnage emploie des expressions utilisant les termes "mains" ou "pieds" et même "doigts".
C'est un poney mutant ? Il a des mains à la place des sabots ? Ou alors ce sont des erreurs volontaires de ta part pour nous faire sourir ? Etrange, ça n'a pas marché avec moi.

Troisième chose :
La qualité de la fic en elle-même.
En fait, c'est même pas une fic ! En lisant ton texte, j'ai l'impression d'écouter un mec me raconter sa vie, sans style, c'est plat... Ce genre d'écriture a déjà été employé avec plus ou moins de succès, je parle de l'emploi abusif du langage courant et des familiarités au sein du récit, pour certaines oeuvres ça passe très bien quand l'auteur nous montre que derrière, il n'est pas un guignol et qu'il maîtrise son sujet. Pour toi, ça ne fonctionne pas, on a vraiment l'impression de lire un fanfiqueur débutant qui n'a pas envie de se fouler à chercher des belles tournures de phrases.

Bref, je relègue ta fic au rang des "fics très moyennes", rassure-toi c'est quand même au-dessus de la fic de Darkser ou de jocraft2s qui se trouvent quelques topics au-dessus de celui-là, mais tu as beaucoup à améliorer. Commence par les fautes. Ou par trouver un bon relecteur.