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| [Poésie][Caligramme][Epistolaire] Poésies d'une étoile à ses amies | |
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#StarWild Petit nouveau
Date d'inscription : 29/12/2014 Age : 26 Localisation : Goldenmane's undergrownth(sous-bois de la forêt de la crinière d'or), Equestria francaise
| Sujet: [Poésie][Caligramme][Epistolaire] Poésies d'une étoile à ses amies Mer 25 Fév - 11:57 | |
| Cette fanfic est un recueil de poésies, contemporaine ou classique, que j'écrit entre deux chapitres de mes fanfics. Amateur de lyrisme, vous serez servit. Alors amusez vous à tourner et à retourner mes écrits, car une poésie cache plus qu'elle ne révèle. Rêvez, pleurez, riez, enfin bref, lisez!
Car vos sentiments sont ce que vous avez de plus vrai. Calligamme solaire : DO RE de MI lle couleurs FA ce à l’amer le SOL eil et sa divine chaleur LA rmoient de mille-et-une douleurs SI attristés que leur douce sœur se meure… DO mmage, il est trop tard, le crescendo est parachevé. Lettre à la lune ou au soleil: La Lune s’élève par-delà les montagnes, Tandis que mélancolique je témoigne Seul, ombre dans la nuit, de ce qu’est cet amour Qui brûle en moi, sous sa voûte de velours.
Aimer un astre est preuve de démence, Mais que puis-j ’y faire ? Depuis ma naissance Je rêve de ses yeux, je rêve de ses cieux. Je m’en vais la rejoindre parmi eux. Adieu !
A toi, qui veille de tes froids rayons d’argent ! Je te dédie ces mots. Ecoute-moi un instant ! Je n’avais jamais rien prononcé de plus vrai : Follement amoureux de toi je demeurerais.
Luna. Te rappelles-tu de cette promesse, Que nous nous étions fait durant notre jeunesse ? Mille ans plus tard, errant sous les saules pleureurs, Un cauchemar me retient, immonde rancœur
Ta sœur t’exilant sur la lune, sans une larme. Je te promets cependant de prendre les armes. Si la guerre ne suffit pas, j’ai toujours les mots, Et même mort, ils atteindront notre bourreau.
Car si toi et moi ne seront plus à l’aube, Nos vies détruites par l’ignorance d’une amie, Je laisse cette lettre à sa blanche robe Faisant regretter à Tia sa félonie
Etoile filante rejetée, Lune exilée, Seront dès lors réunit pour l’éternité S’il y avait une morale à donner, elle serait Que malgré les conflits, l’amour ne meurt jamais Mémoires : A toi lecteur qui critique ivre et sans vergogne mes vers Qui sans cesse ressasse ces sombres souvenirs Quand la nuit luit et lie les vies à ravir Comment suis-je sensé te le dire ! Pourquoi restes-tu là, à défaillir ? Car pendant ce temps tu laisse Tes mémoires S’effacer
Les lamentations de la Lune à son confident: La lune s'élevait parmi les constellations, Illuminant les cieux de ses rayons Pendant que quelqu'un fixait son visage sublime, Malheureux d'être coincé en dessous des cimes.
Ce pensif rêveur laissa son esprit s'envoler, Porter par le tintement des étoiles. Il restait là à chuchoter aux bêtes enragées, Tandis que les autres étaient en sécurité sous leurs voiles.
Il tenta de prendre son envol parmi les hiboux et la brume Se demandant : Qu'avait-il fait ? Pour être condamné à rester seul de coutume, Maudit par les autres de ressentir leur pleurs et ce qui les effraient.
Rempli de regret, ne pouvant se reposer, Ce brave poulain essaya avec foi de contester Les injures contre lesquels il s'efforçait de lutter. Il commença à ce sentir oppressé.
Néanmoins, même maintenant au milieu de la nuit, Quand de sombre souvenir planait au-dessus de lui, Il écoutait encore de la lune les pleurs Ainsi que son histoire au sujet de deux sœurs.
Tout le monde évitait les nuits de la plus jeune, Trop effrayés d'arpenter les sentiers sous sa lueur. Tout le monde sauf un qui trouvait le ciel nocturne fort beau, Qui juste pour elle chaque soir raccordait son piano.
Qui juste pour elle entonnait doucement d'entêtantes berceuses Vantant dans ses pleurs l’héritière d'argent malicieuse Puis la conjurant de lui laisser le choix De lui montrer ce qu'il pouvait faire pour elle au combat.
Car La plus jeune était en guerre contre l'aînée, Qui régnait en tyran dans un royaume corrompu Clamant haut et fort que le pouvoir était son dût Et dénigrant les lamentations de ses sujets.
C'est pourquoi dans le palais du Soleil brûlant, La fille de la lune se rebella, résistant Contre sa bien-aimée sœur, finalement. Car son inquiétude était le bien être des simples gens.
Le pianiste joua son rôle dans cette guerre Mais ne put empêcher le bannissement de la plus jeune sœur, Qui déchira son cœur en deux, ne sachant pour qui entre la Lunaire Et la Solaire sa loyauté était, son cœur étant pour les deux en chœur.
Cependant, les deux sœurs devinrent princesses de leurs propre royaume, Le même où elle c'était battu pour l'ordre et la liberté. Une le jour, l'autre la nuit, quand tout semblait s'effacer, Plutôt que rester ensemble , paume contre paume.
Inévitablement, la colère s'empara de la fille de la nuit, Qui commença à délirer, faisant réagir l'aînée, Qui devint plus clémente, mais ne pouvait plus sauver Sa bien aimée sœur, où les ténèbres avait pris contrôle de son esprit.
Ainsi la lune finit de narrer sa triste légende Expliqua ce qui se passa ensuite à son rêveur confident d'un air sombre. La plus jeune fut exilée dans son ombre, Et chaque nuit la lune entendait sa folie la reprendre
Car si la colère l'avait laisser sans défense, Pour mille ans sa traîtrise elle devra ressasser. Et se dire d'arrêter de se plaindre : les gens était dorénavant bien gouverner, Pourquoi devrait elle pleurer à propos de leur chance.
Elle compris alors que cette amour que l'on lui avait donner Ne pourra plus être aussi fort qu'avant : Jamais !
Le doux chevalier avait disparu... L'esprit de la plus jeune, seule, corrompu... L’aînée, plus douce, gouvernait son royaume... Le rêveur quand à lui, se réveilla sous les saules :
Qu'avait-il écrit ? Lac Étoilé Le lac miroitant les astres Argenté miroir de tranquillité Calme les flots déferlants, théâtre De l'océan houleux du glacier de mes pensées.
Cependant les étoiles Dansent à la surface sous les voiles, Les nuages passant devant la Lune Frappés dans leurs volutes par ses runes
Dans leur chorégraphie nébuleuses, De par les vagues et de par les temps, Malgré leurs images tremblotantes et hasardeuses Elle accompagnent les craquements de la glace de leurs chants.
De leur brillants éclats glacés Resurgit des abysses de ma mémoire des bris du reflet de tes yeux, de ta bonté. Ô grand combien j'aimerais te revoir.
A cause des fragments épars de mon esprit en train de divaguer, Je me demande si la vie n'est pas une farce, Dénaturé par cet artifice qu'est la société
Celle d'aujourd'hui m'a rejeté Car je suis le Verseaux, symbole de l'Âge d'Or, Et qu'il est peu aisé de me manipuler. Sûrement que comme les étoiles je me soucis peu du sort!
Je luit sous la Lune, mouvementé, Alors que par l'infortune, je suis condamné, A déformer son reflet, de part les flots. Ceux qui s'écoule de moi, argenté miroir d'eau
Dernière édition par StarWild le Dim 8 Mar - 15:02, édité 1 fois |
| | | #Koopermatt Brony passionné
Date d'inscription : 14/07/2014 Age : 24 Localisation : Oui
| Sujet: Re: [Poésie][Caligramme][Epistolaire] Poésies d'une étoile à ses amies Mer 25 Fév - 12:11 | |
| C'est...superbe. Vraiment. D'habitude je ne prends pas la peine de lire les fanfics,mais là je ne pouvais pas passer mon chemin. C'est à la limite du génie pour le premier. Je propose à ceux qui n'ont pas compris de bien relire. Le reste,très lyrique effectivement. Astucieux,beau,magique. Bravo. 10/10 |
| | | #StarWild Petit nouveau
Date d'inscription : 29/12/2014 Age : 26 Localisation : Goldenmane's undergrownth(sous-bois de la forêt de la crinière d'or), Equestria francaise
| Sujet: Sonnet et rondeau redoublé Jeu 2 Juil - 10:23 | |
| Lettre à l'Amitié:
Il est une licorne aux pouvoirs merveilleux, Qui grâce à ses ailes a répandu l'amitié, Montrant les vraies valeurs d'un monde qui se fait vieux, Tout comme moi, canasson un peu trop usé.
Je vous relais le flambeau, dédies ce sonnet, Vou êtes le jour nouveau, moi je disparaîs. Oh que je vénères cette dernière chance! Que j'ai de faire revivre vôtre enfance!
Twilight, tu nous as apporté bien des morales. Je les receuille ici dans un but oral Derniers présent que je peux faire à tes amis.
À toi, à Celestia, à Luna, à Cadance, Je vous doit mon monde, ma prise de conscience. C'est par cette aveu que se termine ma vie!
Eternal Symphonia ou le tour de nuit:
C'est une ronde infini, l'arabesque du temps Suspendant son court pour vous prendre sous son aile. Mais son prix est le soupir de tout les instants, Car dans votre mémoire les cadres se fêlent.
Vôtre coeur bat au rythme des doux violoncelles, Céleste accord calmant le flux de vôtre sang. C'est le rythme des astres brillant dans le ciel, C'est une ronde infini, l'arabesque du temps.
Les alicornes le sentent sans faux-semblant, Du temps qui court sont les stoïques sentinelles, Suivant le tempo, qui cesse en un battement, Suspendant sont court pour vous prendre sous son ailes.
Elles, vous pleurent quand vous trépassez tous autour d'elles, Impuissante face à la mort dans le vent, Echappant aux voiles cernant vos prunelles. Mais son prix est le soupir de tout les instants.
Celui qui vous assaille inexorablement Quand vous comprenez qu'il suffit d'une étincelle Pour embraser à jamais les photos d'antan, Car dans votre mémoire, les cadres se fêlent!
Ce soir, c'est le grand bal. Je rêvais de miel, Mais interdit sont nos hymens.En attendant, Mais souvenirs s'envolent haut dans le vaste ciel. Je demeure éveillée mélancoliquement. C'est une ronde infini.
Dernière édition par StarWild le Jeu 2 Juil - 10:28, édité 1 fois (Raison : Orthographe) |
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