Toi roi déchu
Toi roi perdu
Tu reposes dans nos esprits pour l’éternité
Mais ne compte pas sur nous  pour te garder aimé
Car ton règne ne fut que pleurs et monstruosité
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Tu avais soif de pouvoir et de contrôle
Ce qui t’a permis de monter sur le trône
Pour assouvir ta faim et montrer aux autres
Ton vrai visage, la folie entre autres
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Dans un monde où la magie est divine
Toi tu t’en sers pour commettre bien des crimes
Ton peuple souffre, mais tu n’en as que faire
Car la pitié, l’amour et la compassion
T'ont quitté, toi le roi démon
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Ta garde armée de lances et d’épées
Te protège et pourtant à bien regarder
Leurs visages sans expressions et sans vie
Ne sont plus que pantins au service de la folie
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La population vit sans entrain et sans passion
Enchainée, maltraitée et gardée sous pression
Leurs visages eux ne reflètent plus rien
Car leur destin pour eux est sans lendemains
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Récolter des cristaux et bien des richesses
Se fait à coups de fouet prodiguant le stress
Poulains, étalons, juments, personne n’est épargné
Lorsqu’il s’agit de servir Sa Majesté
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Poneys de cristal vous n’étiez pas de taille
L'amour et le bonheur se lient dans vos âmes
Toute résistance est pour vous nue
Qui pourrait venir et sauver cette cause perdue ?
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Pendant que votre roi lui se délecte de vos travaux
Vous, vous traînez un lourd fardeau
Les chaines et les boulets sont vos seules possessions
Qui font perdre votre force et votre raison
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Certains ont osé se soulever
Mais pour eux le destin est déjà tracé
Décapités et étendus sur la place publique
Par les dieux ! Qui pourra nous sauver de cette brute tyrannique ?!
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Les jours sombres passent sans discontinuer
Les maisons, les rues et le château, cette monstruosité
De noirceur, de peur et de piques acérés
Voilà de quoi il est constitué
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De ténèbres et d’éclairs voilà pour eux
Ayant remplacé la Lune, le Soleil et le ciel bleu
Personne ne peut le pourfendre et pourtant
Un tonnerre de lumière, est-ce l’instant ?
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Un trou béant laissant passer
Deux alicornes toutes d’armures habillées
Regardant autour d’elles le désastre
De ce peuple à l’agonie, par tous les astres !
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Se fixant maintenant vers le château
Cherchant la cause de ce fléau
Sur une terrasse ce misérable est vu
Le roi sombre, lui, déjà d’armure est vêtu
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Il les regarde en souriant
Seules deux juments pour un immense combattant ?
Lâchant un rire à glacer le sang
Que peuvent-elles espérer faire à ce dieu vivant ?
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Les juments s’approchent, le combat les attend
Le peuple rivé sur ces deux prétendants
Le roi gloussant, lui et son armée armes levées
Dans cette journée, tout peut changer
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Que commence le combat pour la liberté

    
         
Peu de princesses ont ce privilège
De contrôler les astres solaire et lunaire
Du même sang, sœurs, mais de caractère
Payant de leur différence, au cours d’une guerre
L’une d’elles devait comprendre sa colère
Avant de chanter de nouveau de concert
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Celestia jument adorée
De ton peuple et de ta protégée
L’astre solaire tu dois commander
Afin que règne cette chaleur tant aimée
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Princesse majestueuse tu abordes
À ce que tout soit fait dans le calme et l’ordre
Ton règne tu l’espères dans la paix
Même si certains ne parlent qu’avec leur armée
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Silhouette blanche et élancée
Ta crinière, elle, rayonnante de beauté
Marque de beauté, soleil représenté
Voix douce et claire mais qui cache le poids de la royauté
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Ainée de ta sœur Luna tu lui accordes
La protection et l’affection afin qu’aucune discorde
Ne vienne semer à nouveau, le doute et le désordre
Qui a fait tant de peine et de miséricorde
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Luna jument de la nuit
Toi qui rythme nos rêves sans un bruit
L’astre lunaire,lui, t’obéis
Dans la clarté des étoiles qui nous éblouit
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Ta crinière reflète l’univers
Ton esprit pour nous n’est que mystère
La lune, ta marque, sur un sombre pelage la complète
Mais dans ton cœur, une partie de ton âme reste imparfaite
-
Ta sœur Celestia
Qui a toujours été là pour toi
De jour le peuple l’aime de vive voix
Tandis que toi, le silence de la nuit te noie
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Voilà surement pour ça
Qu’il y a mille ans de cela
Ta joie de vivre a fait place
À cette haine qui t'a conduit au désastre
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Luna fit place à Séléniaque
Son esprit tourmenté, fit d’elle un être démoniaque
Maudissant le jour, la nuit sera éternelle
Afin que tous puissent voir, qu’elle n’a pas son pareil
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Celestia meurtrie de douleur, la regarda
Son cœur déchiré, ne peut imaginer cela
Combattre sa sœur ? Elle ne put s'y résoudre
Quoique l’autre, elle, ne veuille qu’en découdre
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L’une veut la voir souffrir, l’autre veut la voir guérir
Les mots ne servent à rien et ne font que sourire
Le démon dans son esprit qui l’a déjà consumé
Ne laissant qu’un corps maudit, refusant d’écouter
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La sœur ainée, ne cessa de se maudire
De ne pas réussir, à la faire revenir
Il reste une solution pour qu’aucune ne trépasse
De ce chaos insensé qui les dépasse
-
Les éléments d’harmonie, par leur pouvoir
Couplés à sa magie, est son seul espoir
Elle demanda pardon et le silence se fit
La bannissant ainsi vers l’astre de la nuit
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Sa Majesté abattue, pleurant ses larmes
Alors que le peuple, lui, lâcha les armes
L’astre de la nuit fit place à celui du jour
En espérant de tout son cœur la revoir un jour
-
Mille ans ont passé, cela fut une éternité
Celestia, Princesse du jour et malgré elle celle de la nuitée
Ne put s’empêcher chaque journée d’espérer
Que la lune lui rende sa sœur aimée et pardonnée
-
Sur l’astre gris, Séléniaque la diabolique
Regorgeant de haine sur sa lune en orbite
Comptant les jours de la souveraine
Que la prophétie lui permette, de s’extirper de sa prison lointaine
-
Le jour fatidique arriva et le chaos régna
Le jour fit place à la nuit annonçant un trépas
Sa victoire pour elle est déjà tracée, mis à part un détail
Six juments, convaincues du contraire, lui donnèrent  bien du mal
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Armée de la magie de l’amitié, elle fut de taille
À  rendre à la jument son apparence normale
Séléniaque fit place à Luna, qui malgré ses actions
Fut accueillie par sa sœur avec son pardon
-
Ainsi les deux sœurs
Où était née pour l’une de la rancœur
Purent reprendre leur règne de souveraines
Dans leur cœur et leur âme sans peine
-
L’une princesse solaire, l’autre princesse lunaire

Toi le dieu du chaos et du désordre
Tu apparais dans ce monde où règnent paix et ordre
Pour y semer querelle et souffrance
Qui sont pour toi douce mélodie à ta toute-puissance
-
Chimères, tu es et tu le resteras
Malgré ton pouvoir et tes claquements de doigts
Morceaux éparpillés sur un corps représenté
Voilà de quoi est fait cette sombre entité
-
Tête de cheval sur corps de dragon
Qui font frémir juments et étalons
Corne de chèvre et bois de cerf
Qui font pâlir et font se taire
-
Tes belles paroles ne sont que de trop
Sur ta langue de serpent, tes dents et tes crocs
Griffes d’aigle et pattes de lion
Pour que suscitent peur et admiration
-
Jambe de chèvre et de lézard
Qui attire bien des regards
Tes ailes de chiroptère et de pégase
Ne sont qu’annonceurs de mauvais présages
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La science et la physique sont aux abois
Lorsqu'apparaissent tes nuages de barbe à papa et ta pluie de chocolat
Les arbres et les maisons ne connaissent plus la gravité
Non, car toi tu préfères les voir léviter
-
Ton cœur de pierre ne bat que pour voir brisé
Tout sentiment d’amour et d’amitié
Ta folie et tes incessantes transformations
Rendent ce monde sans envie et sans passions
-
Sur ton trône tu te réjouis
De voir ainsi tant de vie finir en vrille
Tu ricanes, tu te moques mais mesure bien tes paroles
Car il pourrait t’arriver bien des bricoles
-
En effet et cela à deux reprises
Par plusieurs juments qui te méprisent
Par la magie des éléments
De pierre fut transformé ton corps de démant
-
Que cela te serve de leçon
Même si cela n’est pas la meilleure des solutions
En allié tu pourrais devenir
Même si certaines redoutent le pire
-
Pourtant l’une ose y croire
Pour elle, il reste un espoir
De changer cette âme de félon
En fidèle allié et noble compagnon
-
Draconequus ta vie n’est pas toute tracée
À toi de le vouloir pour qu’elle soit changée
Afin que se modifie ta destinée
Pour que tu connaisses enfin l'amitié

Toi qui es prisonnière de cette lune
As-tu toujours ce sentiment d’amertume ?
Bannie, chassée, exilée, soufflée
Oui, dans tes yeux, la rage ne t’a pas quittée
-
Mais de ce poison qui coule dans tes veines
N’as-tu jamais pensé à endiguer cette haine ?
Tu souffres bien trop de cette blessure
Arrête-la avant qu’elle ne gagne à coup sur
-
De ta prison, l’infinie de l’univers défile sous tes yeux
Les étoiles, comètes, galaxies ont pourtant bien changées, eux
Tu marches dans la poussière grise qui t’accommode tant
Quelle est cette durée ? Un an? Un siècle? Cinq cents ans?
-
Chaque seconde tu y penses
Chaque minute à frapper cette terre
Chaque heure ta colère resurgit
Chaque mois ton démon grandit
Chaque année à penser te venger
Chaque siècle fait naitre cette ivresse
-
Pourquoi tant d’acharnement, d’obstination ?
Il serait grand temps de faire des concessions
Laisser derrière ces vieux sentiments de haine et de tourment
Afin que la paix et l’entente restent maitresses comme avant
-
Que tout cela disparaisse des mémoires et des pensées
Que ton peuple, que ta…sœur puisse te retrouver
Ta sœur… tu y penses n’est-ce pas ?
Oui, suis-je bête, tu ne penses qu'à celà
-
Je peux le voir sur ton visage, dans tes yeux, dans ton esprit
Et malgré tous les mots que j’ai sorti, tu n’as toujours pas compris ?
Elle, la rancœur, la colère n’a jamais souillé ses souvenirs, ses pensées
Ton regard paraît s’interroger, veux-tu en savoir plus sur ta sœur ainée ?
-
Tu cherches à te venger mais cela et déjà fait
Physiquement tu es ici, mais ton esprit sur Equestria est resté
Et passent les jours où elle reste tourmentée
D’avoir eu le malheur de bannir sa petite sœur tant aimée
-
Oui, j’ai pu la voir en parler
Et de son visage, que des larmes j’ai vu couler
Te mentir ? Non jamais je ne pourrais le faire
Elle n’est plus la même et ne rayonne plus de la même lumière
-
Chaque seconde à se morfondre
Chaque minute à y repenser
Chaque heure à dépérir
Chaque mois à se languir
Chaque année à espérer
Chaque siècle où cela s’arrête
-
Tu vois, ta vengeance, cela fait bien longtemps qu’elle perdure
Pas de la manière que tu espérais, mais celle-ci est bien plus dure
Me trompé-je ou ton regard à changé ? Une lueur d’espoir j’espère avoir allumé
Car mon temps ici est compté et je me dois de te quitter
-
Oh ! Un dernier message avant de partir
Nightmare Moon tu te fais appeler, mais cela ne peut te définir
Sache que pour ceux qui y croit comme moi, tu resteras
Princesse Luna

Par-delà les brumes et la houle nous regardons à l’Est
Venant de tout horizons, navires et barges arrivent sans cesse
Contre vents et marées nous nous sommes rassemblés
Contre un adversaire pour qui toute compassion l’a quitté
-
En ce jour se joue l’avenir de la liberté
Et tous sommes fiers de pouvoir y participer
Pour beaucoup la souffrance et la mort les attend
Mais pour rien au monde nous voudrions rater cet instant
-
En face notre ennemi ne se doute pas d’un assaut
Pendant que nous prenons part dans nos vaisseaux
Nos cœurs battants, l’adrénaline nous pousse vers l’avant
Laissant la peur et les pleurs sur les ponts des navires tremblants
-
Un déluge de flammes et de tonnerre sortant des bouches des canons
Annonçant ainsi le début de cette mission, en avant compagnons !
La côte et ses plages sont la seule cible de nos alliés
Puisse la puissance des armes de nos bâtiments les malmener
-
La traversée dans ses barges n’est pas des plus aisée
Dans ce lieu étroit et balloté nous sommes une cinquantaine entassés
Les vagues déferlent autant que les tirs qui fusent de toutes parts
Notre courage et nos corps sont mis à rude épreuve, cela se voit dans les regards
-
En cet instant, juste quelques minutes avant ce débarquement
Beaucoup se réfugient dans leurs souvenirs revoyant leurs amies et parents
Cela leur donnera la force d’avancer lorsque nous foulerons ce sol sournois
Lorsque les portes s’ouvriront, par le courage et l’obstination, la victoire nous reviendra de droit !
-
L’embarcation s’immobilise, elle ne peut pas plus s’approcher
Les obus pleuvent de tous côtés, les tirs s’intensifient, vite il faut s’échapper !
Les portes s’ouvrent et certains malheureux se font faucher, vite la plage et ses couverts sont notre seule chance !
Certains sautent de la barge tombant dans une eau glacée, luttant contre les vagues avec résistance !
-
De tous côtés, des navires de débarquement arrivent déposant nos troupes
Notre ennemi bien retranché ne se laisse pas intimider par tous ces groupes
Par des bunkers fortifiés il croit encore à sa supériorité
En ce 6 de ce mois, prouvons à tous sa décadence et sa défaite tant méritée !
-
Pour les princesses et Equestria rien ne nous arrêtera !

Par les princesses ces astres sont commandés
Par leurs pouvoirs et leurs forces elles les font se lever
Geste banal, ordinaire, répété et pourtant
Par ces deux éléments, l’équilibre de ce monde en dépend
-
Le jour, né de l’une d’elle, toute vie s’éveille, s’émerveille
Que l’on soit de tout horizon, l’aurore de ces mille couleurs nous réveille
D’un long sommeil et ces rayons bienfaiteurs nous font sortir de ce cocon de douceur
Qui permet aux poneys de tout rang, de commencer avec cœur leur journée de labeur
-
La froideur de la nuit et ces brumes fantomatiques
Laisse place à cette douce chaleur et cette lumière charismatique
Évaporant ainsi la rosée des champs et des plaines
Comme pour assécher douleurs et peines
-
De Canterlot à Dodge City
Des Monts de Cristal à la sombre Everfree
De Los Pegasus à Filly Delphia
Aucun endroit d’Equestria ne peut rater cela
-
Au zénith il laisse parler sa toute puissance
Au risque de blesser ce monde d’une chaleur intense
Mais il lui faut bien lui pardonner ces moments d’ivresse
Car malgré ces quelques défauts, il reste un ami fort de tendresse
-
Mais tout cela ne peut durer et à chaque jour suffit sa peine
Peu à peu, et par la grande sagesse de sa souveraine
Se laisse conduire vers sa fin qui n’est pour lui que préambule
Lorsque vint avec la plus grande quiétude le crépuscule
-
La princesse de la nuitée par son pouvoir fait naître
Sa majesté lunaire apparaissant dans la voûte étoilée comme seul maître
Cette beauté inaccessible n’a d’égal dans cet univers glacé
Laissant échapper cette douce lueur relaxante et inégalée
-
Cet astre gris réchauffe les âmes et éclair nos chemins
Pour que naissent et perdure cette joie pour tout nos lendemains
Une amie très chère pour qui se confier ne demande aucune gène
Silencieuse et sereine, elle est l’un des plus puissants remèdes
-
De Cloudsdale à Apple loosa
De Vanhoover aux chutes Neighagra
De Baltimare à Ponyville
Tu éclaires ce monde si fragile
-
Corps célestes où naissent les marées
Démontrant la puissance à n’en pas oublier
Son tempérament docile, neutre est immobile
Cache en son antre bien plus que poussière et roche fragile
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Mais comme son frère, son règne ne dure guère
Le matin approchant peut faire naître des pensées amères
Vite oubliées car elle renaîtra d’ici peu de ses cendres
Pour une nouvelle nuit de douceur avenante

La plage et ses mystères sont des lieux privilégiés

La fraicheur, la quiétude de cette eau clair est purifiée

Ces vagues sereines aux reflets d’or et de diamants

Paradis sur terre que sont les mers et les océans

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Ces étendues mystérieux d’un bleu profond

Cache bien des trésors et abimes sans fond

Mythes, légendes et mondes oubliés

Voilà de quoi est constituée cette étendue salée

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De nombreux explorateurs ont bravé ces eaux

Sur des navires de toutes tailles ils se sont mis à flots

Affrontant tant de menaces et mille intempéries

Pour découvrir terres inexplorés cachant richesses et trésors enfouis

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Beaucoup de sabots ont foulé ces mondes reculés

Mais bon nombre ont succombé avant d’avoir pu les contempler

Ces héros anonymes par leur détermination et leur courage sans faille

De gloire et de richesse seront couverts de par leur retour triomphal

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Aujourd’hui et demain nous en reparlerons

De ceux ayant bravé tant de dangers et de créatures sans nom

À travers les récits et les histoires racontés

Afin qu’ils ne soient jamais oubliés