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| [fantasy] L'épopée de Starswill le barbu + Nightmare Night | |
| Auteur | Message |
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#Sabots-Vortex Brony squatteur
Date d'inscription : 14/03/2012 Age : 35 Localisation : Clermont-Ferrand (ou Brou ou Saran, selon la période)
| Sujet: [fantasy] L'épopée de Starswill le barbu + Nightmare Night Lun 19 Mar - 21:12 | |
| Alors j'ai vérifié vite fait, apparemment, personne n'a encore fait de fanfic sur ce personnage. C'est une histoire qui me trotte dans la tête et qui s'est formé aux gré des interprétations des éléments historiques d'Equestria: il est possible que beaucoup retrouvent des éléments qu'ils ont supposés sur le canon de la série. Je précise que je l'ai écrite quasiment d'une traite mais, normalement, il n'y a pas d'erreur. J'ai bien conscience que plus la série va avancer, plus cette fic risque de devenir obsolète ou contredite, autant la poster maintenant. Si toutefois, quelqu'un a déjà réalisé une fic sur lui, je vous prie d'accepter mes humbles excuses. - Spoiler:
L'odyssée de Starswill le barbu
Aventurier, si vous trouvez ce grimoire et que vous êtes en train de lire, c'est que vous êtes allée plus loin que bien des poneys. Je me trouvais là, à votre place, au moment d'écrire ce document. Non loin de là, vous devriez trouver ce que j'ai moi-même trouvé, au bout de mon périple. Mais lisez mon histoire et vous comprendrez. Je me nomme Starswil, dit Le Barbu, archimage du royaume Licorne. J'ignore combien de temps s'est passé entre l'écriture du grimoire et sa découverte par votre personne mais je penses, non sans fierté, que vous avez due entendre parler de moi. Je fut très tôt remarqué, peu après ma naissance, pour mes dons magiques. Mon père se retrouva ainsi avec 4 pattes de plus pendant 3 jours et je mit « accidentellement » le feu à la crinière d'un de mes camarades, une brute sans cervelle. Je devins disciple d'un des archimages du royaume, Stallion Mallet. Il était connu des autres magiciens pour son caractère...disons... « misanthrope »: de tout mon apprentissage, je ne l'ai jamais vu sourire ou dire une chose gentille, bien qu'il fut loin d'être une mauvaise personne. Tous les magiciens finissent par développer une petite excentricité. Pour ma part, depuis que mon premier jouet fut une clochette (arraché à une décoration publique), j'ai toujours collectionné les grelots et les clochettes de toute formes et de toute culture. D'ailleurs, ma réalisation pour être accepté comme disciple par Stallion Mallet fut une clochette que je réalisa avec de l'air froid et de la poussière de diamant. Mon maître fut époustouflé par mon travail – à sa manière, c'est à dire en grognant un « C'est pas trop mal... » un peu laconique.
Stallion Mallet, en tant qu'archimage, avait le devoir de faire fonctionner La Roue Céleste: cet immense dispositif, alliant l'horlogerie, l'astronomie et la sorcellerie, permet à nous, peuple Licorne, de faire apparaître le jour et la nuit. Ce dispositif nécessite l'intervention régulière d'au moins une dizaine de mages, parmi les plus puissants. Sans cette merveille, fruit du travail de plusieurs siècles, les jours et les nuits apparaîtraient arbitrairement. Les années passèrent et mon répertoire de sorts s'allongea de même que ma collection de clochettes.
Après plusieurs années, au moment, où ma barbe, à qui je doit mon surnom, commença à apparaître, mon maître s'éteignit une nuit dans son sommeil. Conformément à ces instructions, il fut enterré dans un bosquet non loin d'une ancienne propriété de la famille royale. Selon la loi des mages, je fut celui qui lui succéda, notamment dans sa charge de La Roue Céleste. Mais cette soudaine promotion n'a jamais vraiment compensé le vide que j'ai ressenti, de ne plus entendre les remarques acerbes et le caractère profondément cynique de mon maître.
Après avoir pris mes fonctions, je consultait les notes de mon défunt maître et m'aperçut d'une chose: nous avions grand besoin de pierres précieuses. La Roue Céleste dépend de la magie pour fonctionner mais pas seulement: les rouages doivent être régulièrement abreuvées de joyau réduits en poudre, pour éviter qu'il ne s'usent. Mais les mines étaient prises par les dragons, qui convoitaient également ces pierres, qui forment la base de leur alimentation et même de leur société. Il nous fallait trouver d'autres sources d'approvisionnements.
J'accueillis un beau jour, une licorne du nom de Clover qui devint ma disciple. Contrairement à la plupart de ses confrères, moi y compris, son esprit se tournait davantage vers les mécanismes magiques que sur la magie en elle-même. Elle ne tarda pas à être surnommée « l'ingénieuse » et devint confidente de la princesse Platinum. Enfin, je fit ma requête au roi: il me fallait trouver d'autres mines de pierres précieuses, il me fallait donc voyager. Et laisser ma place à La Roue Céleste vacante. Le roi mit beaucoup de temps à être convaincu mais il me laissa finalement partir. Avant de partir, je vins rendre hommage à mon maître. Le bosquet s'était beaucoup développé depuis son enterrement et la propriété en ruines était quasiment invisible parmi le lierre et le feuillage.
Ma première destination fut le territoire des poneys terrestres. Ce ne fut pas sur un coup de tête: les notes de mon maître faisaient référence à une mystérieuse plaque gravée menant à un trésor mythique. Je ne douta pas qu'il s'agissait en réalité d'une carte indiquant d'autres mines. Le premier jour de mon voyage, je m'aperçut que mon absence n'était pas sans effets: la journée avait été raccourcie d'une heure. J'arriva donc en l'espace de quelques jours au Pays des Champs, une sorte de village campagnard géant qui fesait office de capital. Les poneys terrestres s'occupaient principalement des récoltes et même leur ville la plus importante tenait plus de la ferme que du château fort. Mon arrivée ne passa pas inaperçue, je fut immédiatement la cible de regards curieux voire hostiles. Les poneys terrestres considèrent notre maîtrise des astres comme une forme de chantage car, en échange du soleil pour leurs cultures, nous recevons une partie de leurs récoltes. Les poneys terrestres étaient dirigés par un chancelier, élus parmi les patriarches. L'actuel était Puddinhead, un vieillard à moitié fou mais réélu régulièrement, avec parfois 99,9% des voix. Il n'était toutefois pas dépourvue de sens commun car il avait fait ériger une salles des archives, pour y stocker les documents de la ville. En retournant toute la salle, le classement des documents obéissant au principe de « On pose ça là et on verra bien », je mit enfin le sabot sur quelque chose d'intéressant. Cela ne fut pas sans mal car le document en question servait à caler une armoire, armoire qui me tomba dessus au moment où j'eus dégagé le livre. C'était le journal d'un des premiers fermiers de la ville. En retournant le terrain pour le rendre cultivable, il trouva une étrange plaque, d'une matière indéfinissable. Il en fit une lithographie avant de la donner à une herboriste de ces amies, qui s'intéressait aux légendes. La lithographie était pliée dans le livre: en la dépliant, je reconnut d'anciens symboles, rattachées à des périodes mythologiques. Plus que tout, dominant l'écriture ésotérique, se tenait la forme d'une créature étrange et merveilleuse: celle-ci ressemblait à un poney, de forme grande et fine, dont la tête était couronnée d'une longue corne et dont le dos était soutenu par d'immenses ailes. Je réussit à déchiffrer certains symboles: ceux-ci se rattachaient à des notions de « pouvoir magique », « astres » et « scellé ». Je n'avais pas trouvé de nouvelles mines mais j'avais peut-être trouvé quelque chose infiniment plus bénéfique. Je perdit une journée entière pour ranger la salle d'archives: en tant que lettré, je ne pouvais décemment pas laisser tous ces livres avec un classement aussi anarchiques. Je fit aussi quelques découvertes qui m'amusèrent un peu: la fameuse jurisprudence « Moi seul est autorisé à faire cela », signé par le chancelier Puddinghead, interdisant à tous les poneys terrestres, sauf le chancelier, de devenir chancelier. En me renseignant, j'appris que l'herboriste en question était partie vers le sud, avec d'autres poneys, voulant vivre loin de champs et plus prêts de la nature.
Je partit donc vers le sud. Le voyage fut éprouvant, le soleil devenant de plus en plus lourd au fur et à mesure de mon avancée. La plaine disparaissait pour devenir le désert. Je repris connaissance dans une tente. J'avais du m'évanouir et, coup de chance, quelqu'un m'avait porté secours. Une ponette terrestre vint m'aider à me relever. Celle-ci était recouverte de rayures noires (ou blanches, difficile à dire), comme tous les autres membres de sa communauté. Ceux-ci s'étaient établis il y a des années dans des oasis luxuriantes, dispersés un peu partout dans le désert. En sortant de la tente, je fut stupéfait de ce paradis de verdure, placé au milieu du désert, comme un joyau placé sur un tapis de graviers. Les zèbres, comme ils se firent appeler, maîtrisaient l'utilisation des plantes comme personne. Ils envoyaient leurs plus courageux guerriers dans les coins les plus reculés pour ramener tel ou tel plante rare. Ils étaient dirigé par une guérisseuse, celle-ci servait également de mémoire vivante. Elle me raconta, lorsque je lui montra le dessin de la plaque, les légendes qui courraient depuis la nuit des temps sur des êtres faits de magie pure, capables de modeler la réalité selon leurs désirs, scellés dans un lieu hors du temps et de l'espace. Ce lieu, me dit-elle, était parfois décrit comme étant une tornade perpétuelle ou une grotte. Ce détail me rappela un vieux mythe pégase. Après plusieurs jours passés en leur compagnie, je partit vers la cité nuageuse des pégases.
Eolmycène, la cité imprenable, fut en vue en l'espace d'une semaine. Il suffisait d'un regard pour comprendre son surnom: juchée sur un amoncellement de nuages, on voyait plusieurs niveaux de murailles, surplombée par un palais à colonnes caché par des nuages orageux. Les pégases ont toujours été un peuple guerrier, le commandeur Hurricane, leur nouveau chef, avait poussé ce trait de caractère à son paroxysme. L'entrée de la cité était filtrée, comme si le fait l'altitude n'était pas une frontière suffisante. Je put accéder à la grande porte grâce à un de mes premiers sorts qui me firent pousser des ailes. Les gardes hésitèrent longuement à me laisser entrer, ils me dévisagèrent avec un regard inquisiteur. Je fus tour à tour amical, conciliant, suppliant et même pleurnichard. C'est quand je me mis à m'énerver en saisissant le soldat le plus proche par le col qu'ils me laissèrent entrer. Eolmycène, en tant que capitale, abrite le Cadran des saisons, une des reliques les plus sacrées des pégases: celle-ci décrit très précisément les dates des saisons et indique donc aux responsables de la météo, s'il fallait faire pleuvoir ou laisser passer le soleil. Les pégases, tout comme nous, perçoivent un tribut de la part des poneys terrestres qui, en retour, peuvent compter sur la météo pour leur agriculture. Les gardes avaient donc toutes leurs raisons d'être méfiants. Je prit donc la direction de la tour Alexander, une sorte de musée-bibliothèque, qui tranche agréablement avec les autres constructions aux rôles plus...belliqueux.
La tour était dirigée par un pégase aux yeux vairons du nom de Zéphyr. Bien plus accueillante que les autres citoyens, elle me laissa accéder aux documents et reliques sous sa garde. Au fil des mois que je passait à Eolmycène, je finit par tomber amoureux d'elle et mes phases de recherches furent bientôt entrecoupées de phases plus...romantiques. Une année entière s'était écoulée depuis mon départ du royaume des licornes. Je reçut une missive, cryptée (par habitude) de la part du roi: les dragons avaient fini par migrer et les mines étaient de nouveaux disponibles. Il me pria donc instamment de rentrer afin de reprendre mon poste. Mes recherches sur la mythologie me permit, avec l'aide de Zéphyr de retracer l'histoire d'Hermet, un héros qui voyagea jusqu'à un lieu nomme le Tartare pour prouver sa valeur. En recoupant avec tout ce que j'avais déjà trouvé, je put situer (approximativement) l'emplacement de ce lieu. L'emplacement d'un lieu mythique. Même sans cette histoire de plaque, n'importe qui aurait été au bord de l'excitation.
J'envoyai donc une missive à sa majesté, lui indiquant que je reviendrais dans quelque temps, mettant en avant un prétexte dont je n'arrive même plus à me rappeler. Je ne pouvais quand même pas lui dire que j'étais à la recherche d'un lieu mythologique. De toutes façon, je ne comptait pas rentrer immédiatement: Zéphyr attendait un heureuse événement. Je laissa à ma compagne ma cape de clochette, en guise de promesse de retour et je partit d'Eolmycène.
Le hasard m'amena lors de mon départ à entendre parler une dernière fois de mon mentor: le bosquet qui lui servait de tombeau avait poussé au point de devenir une immense forêt. Les poneys commençaient à craindre l'endroit, murmurant des histoires de malédictions et de monstres masquées par la canopée. Ils avaient fini par surnommer cet endroit la Forêt Désenchantée et je reconnus là toute la signature de mon maître: Stallion Mallet ne pouvait pas quitter ce monde sans y imprimer sa personnalité.
J'ai marché en suivant les indications plus ésotériques que réelles tirées de mes travaux et je me suis retrouvé devant le Tartare, ou du moins, sa porte. C'était une bouche de caverne, au pied d'une montagne. Les stalactites et les stalagmites de l'entrée faisait ressembler la porte à la gueule d'un immense monstre. J'eus l'impression que la réalité même se tordait dans le noir qui masquait les profondeurs de la grotte. Je fut sorti de ma rêverie par les aboiements d'un monstre qui apparut dans mon dos. Me retournant, je vis la forme hideuse, d'un chien démesurée pourvue de 3 têtes. Je reconnut Cerbère, le gardien mythique de ce lieu. Je ne suis pas vraiment un poney d'action mais on peut dire que la bagarre a été rude. Je parvins, m'aidant de mes sorts, à éviter un, deux, trois coups de mâchoires, à grimper sur le dos du gardien et à sauter juste à temps quand celui-ci fonça tête baissée dans la roche pour m'écraser. Cerbère s'assomma avec cet acte et je pus avoir le champs libre pour passer l'entrée.
L'entrée débouchait sur un tunnel, assez long. Bientôt, la lumière de l'entrée ne put éclairer le chemin et j'utilisais ma corne pour m'éclairer. Je débouchai bientôt, au détour d'un boyau à une immense caverne, si grande que je ne put en voir ni le fond ni la voûte. Là, dans cette salle titanesque, gravitait un maelström de formes et de couleurs. Celle-ci dégageait une lumière spectrale et tournait en un vortex vivant. Car il y avait de la vie à l'intérieur: je distinguait plusieurs formes dans ce tourbillon, des êtres d'énergies pure et dont l'existence même étaient vouées aux légendes. Je vis des spectres à tête équine galoper en poussant des hurlement des haines, les Wendigos. Je vis des chimères de contradiction et de paradoxes, des assemblages vivants de folie et d'illusion, les Dragonesqus. Mais surtout, là, au cœur du maelström, je vis ces formes dont la plaque avait tenté vainement de reproduire la beauté: ces ailes magnifiques, ces cornes puissantes, cet aura lumineuse, ces avatar vivants de l'harmonie.
Je suis resté des heures, peut être même des jours à contempler ce tableau surréaliste. C'est à cette place que j'ai rédigé ce grimoire, que vous êtes en train de lire. J'ai longuement réfléchit sur le moyen d'atteindre ces créatures. Ce vortex ne correspond pas à notre réalité. Peut être ces formes connaissaient mes attentions et n'étaient pas totalement impuissantes car j'eus bientôt en tête le sortilège destiné à ouvrir ce maelström. Ce sortilège n'est pas sans risque: je dois en effet quitter mon enveloppe corporelle, et il est impossible de dire précisément si un retour sera possible. J'ai terminé les préparatifs, les pentagrammes sont tracés, il ne reste plus qu'à lancer le sortilège. Mais j'ai pris mes précautions: ce grimoire vous a décrit tout le cheminement de ma pensée et j'ai joint les impératifs du rituel. Mes pensées vont à ma disciple Clover et à Zéphyr et notre enfant: sera t'il/elle licorne ou pégase? Je termine la rédaction de ce grimoire. Je me prépare à arpenter la plaine astrale de ce néant, rejoindre ce vortex de vie et permettre à ces êtres merveilleux de s'incarner en ce monde.
Edit Alister : Référencée
Dernière édition par Sabots-Vortex le Lun 26 Mar - 16:12, édité 2 fois |
| | | #sonic thomas Brony passionné
Date d'inscription : 06/02/2012 Age : 27 Localisation : dans mon coin du 77
| Sujet: Re: [fantasy] L'épopée de Starswill le barbu + Nightmare Night Lun 19 Mar - 21:37 | |
| Bien écrit, quand on aura fini l'equestrian on pourra écrire des livres de l'histroire d'Equestria . |
| | | #dinomax Floodeur compulsif
Date d'inscription : 15/08/2011 Age : 32 Localisation : un monde de poneys
| Sujet: Re: [fantasy] L'épopée de Starswill le barbu + Nightmare Night Mar 20 Mar - 17:46 | |
| Oh yeah, j'ai toujours voulu voir une histoire sur starswirl On sait très peu de chose sur lui alors qu'il à l'air d'être hyper important j'imagine qu'en ouvrant le vortex, il a relaché les wendigos et que c'est ce qui a causé les évènement de l'histoire qu'on connait good job |
| | | #Sabots-Vortex Brony squatteur
Date d'inscription : 14/03/2012 Age : 35 Localisation : Clermont-Ferrand (ou Brou ou Saran, selon la période)
| Sujet: Re: [fantasy] L'épopée de Starswill le barbu + Nightmare Night Mer 21 Mar - 18:31 | |
| - Citation :
- j'imagine qu'en ouvrant le vortex, il a relaché les wendigos et que c'est ce qui a causé les évènement de l'histoire qu'on connait
C'est la théorie que j'avance dans l'histoire: -Starswill franchit le vortex -Des wendigos s'échappe (évènements de l'épisode 11 saison 2) -Equestria est fondé par les 3 peuples poneys -Au moins un dragonesqu, Discorde, s'échappe et s'autoproclame souverain d'Equestria -Enfin, au moins deux alicornes, Luna et Celestia, s'échappe et supplantent Discorde - Citation :
- On sait très peu de chose sur lui alors qu'il à l'air d'être hyper important
Perso, il m'a toujours fait penser à Merlin l'enchanteur. Le fin de la fic est d'ailleurs inspiré de la fin de Merlin dans les légendes arthuriennes. - Citation :
- Bien écrit
- Citation :
- good job
Merci, merci!! Voici un autre texte TRES court, toujours dans le thème des éléments de background d'Equestria. Là encore, si j'ai plagié quelqu'un sans le savoir, merci de claquer mon vilain petit museau. Nightmare Night - Spoiler:
Nightmare Night
C'était la nuit de Nightmare Night. Tous les jeunes poneys, déguisés, allaient de maison en maison pour récupérer des sucreries. C'est au moment où les enfants se sont réunis pour comparer leurs trouvailles qu'ils la virent. C'était une licorne bleue nuit, déguisée en Pierrot. Un loup blanc masquait son visage et à son cou pendait un accordéon de facture raffinée. Leur curiosité piquée au vif, les enfants se rapprochèrent de l'étrange musicienne qui se mit à jouer.
Nightmare Night a commencé, Donnez-nous des bonbons à croquer. Venez à moi, poulains costumés, Cette nuit, nous allons chanter.
Je vais vous conter ce soir, Le récit de cette nuit noire, Voici l'histoire, L'histoire de Nightmare Night.
Oh, Nightmare Night, Oh, Nightmare Night, Porteuse de nuit, Passes ton chemin. Oh, Nightmare Night, Oh, Nightmare Night, Porteuse de nuit, Voilà ton festin.
Il y a des siècles, sous la voûte céleste, Le vol des astres dictées par deux princesses. L'une faisait paraître l'aurore puis l'astre solaire, L'autre faisait lever le crépuscule puis l'astre lunaire.
Oh, Nightmare Night, Oh, Nightmare Night, Porteuse de nuit, Passes ton chemin. Oh, Nightmare Night, Oh, Nightmare Night, Porteuse de nuit, Voilà ton festin.
Cet équilibre fragile, fut une nuit rompu, La princesse de la lune réclama son dû. Ses sujets ignoraient ses belles nuits, Son cœur devint amer et prise de jalousie.
La porteuse de jour vint lui faire la leçon Mais sa sœur avait déjà prise sa décision, Elle promit de noyer l'arrogant astre diurne Sous un froid linceul couleur nocturne.
Les enfants à la queue-leu-leu dansèrent avec la licorne-Pierrot: Oh, Nightmare Night, Oh, Nightmare Night, Porteuse de nuit, Passes ton chemin. Oh, Nightmare Night, Oh, Nightmare Night, Porteuse de nuit, Voilà ton festin.
La princesse du jour, armant ses pouvoirs, Libéra sa puissance sur la déesse du soir. Sa sœur hurla, criant trahison, Exilée du palais céleste pour punition.
Depuis sa prison lunaire, scellée pour 1000 ans, Son cœur se glaça, la haine l'envahissant. Elle devint cauchemar pour ses anciens sujets, Nightmare Moon, elle fut renommée.
La musicienne laissa les enfants chanter le refrain: Oh, Nightmare Night, Oh, Nightmare Night, Porteuse de nuit, Passes ton chemin. Oh, Nightmare Night, Oh, Nightmare Night, Porteuse de nuit, Voilà ton festin.
La musique s'arrêta, la licorne regarda les enfants avec un étrange regard. Une fois par an, je sors de ma prison, Une seule nuit, je frappes à vos maisons. Cherchant des délicieux enfants à gober, A emporter dans mon élan glacé. Maintenant, criez, hurlez d'effroi, Car Nightmare Moon c'est moi!
La musicienne retira son masque. Les enfants s'enfuirent en hurlant, la nuit résonna du rire démoniaque de Nightmare Moon.
Ps: j'ai également aéré le texte de Starswill afin qu'il fasses moins "morceau de parpaing".[i] |
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