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| Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] | |
| Auteur | Message |
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#raziel Frony
Date d'inscription : 27/12/2015 Age : 26 Localisation : cloudsdale
| Sujet: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Dim 25 Déc - 16:05 | |
| Canterlot, le joyau d'Équestria rayonnant à travers tout le royaume et même au delà a pourtant une facette sombre que certains aimeraient ne pas voir resurgirent. Découvrez l'histoire de Lowly Soul, un jeune terrestre né dans la cité ouvrière et son combat face au castes sociales de Canterlot. Voilà une nouvelle fiction qui je l'espère vous plaira. Bonne lecture. - Chapitre 1:
Canterlot, la plus belle et puissante cité du royaume d'Equestria, on y vient de l'empire de cristal voir même de Griffonstone pour certains afin de visiter où de s'installer dans la grande ville. La métropole abritant les deux souveraines d'Equestria est composée principalement de licornes, les autres espèces sont rares et bien souvent ce sont des personnages de marque, comme Gustave le Grand connut pour ses talents de pâtissier.
Mais la ville a une autre facette, les cités ouvrières. Celle-ci se trouve au flanc de la montagne dans l'angle mort du palais. Les ouvriers qui habitent ces lieux à la limite de l'hygiène que les cafards supportent à peine sont des poneys souvent terrestres, parfois des pégases bien qu'il trouvent plus souvent du travail à Cloudsdale.
Ces poneys méconnus de Canterlot travail dans les usine pour fabriquer de l'armement, de l'outillage et toutes sortes d'objets servant au quotidiens des autres Equestriens. Ils s'épuisent des heures à la tâche pour un salaire de misère, ils ont à peine de quoi subvenir aux besoins de leurs familles, qui logent dans le même appartement qu'eux où il ne devrait pouvoir y avoir que deux personnes, mais eux peuvent s'entasser jusqu'à cinq dans un appartement.
C'est dans ce monde que Lowly Soul est né, ce jeune poney étaient venu au monde au sein des ouvriers et dans ce petit monde les pleures d'une mère n'était jamais joyeux à la naissance de son enfant, tous ce qu'elle avait pu lui offrir pour sa naissance avait été la chaîne qui avait appartenu à son grand-père, celle-ci était faite de cuivre et d'étain, les deux matériaux qu'il utilisait dans son usine de fabrication de casserole.
Le bébé terrestre grandit dans un petit appartement, il était plutôt bien lotit car il n’étaient que trois dans le logement prévu pour deux.
À l’école tout les jeunes étaient comme lui enfants d’ouvriers le lieu d’étude était un bâtiment désaffecté sans eau ni chauffage, tout les enseignants qui dispensaient les cours était sans vie pour les titulaire et tout le contraire pour les autres qui étaient rapidement changés de place pour une meilleur école.
Les enfants en grandissant se rendaient vite compte de leur situation, la plupart partaient travailler à l’âge de quatorze ans pour soulager leurs parents financièrement, d’autres restaient à l’école car leurs parents avaient toujours l’espoir d’un meilleur futur, certains finissaient par mal tourner et devenaient des êtres malhonnêtes.
Lowly Soul faisait partit de la deuxième catégorie, tout en travaillant au mieux à l’école, il réussissait à aider son père dans les tâches quotidienne et à travailler dans un petit café en ville. Il était conscient qu’avoir trouvé un emploi en ville était déjà un miracle pour un poney de sa classe sociale et ne se plaignait pas de sa situation, la nuit il dormait sur un vieux canapé que son père et lui avaient récupérés à la décharge, puis remis en état pour en faire un lit, en fait tout ce qu’il possédait venait de la décharge, elle avait l’avantage d’être proche et les licornes de Canterlot était tellement hautaine qu’elle jetaient plein d’objet parfois neufs.
Alors qu'il avait dépassé sa quatorzième année le jeune terrestre entrait au lycée, celui-ci était bien-sûr le plus pauvre et délabré de tout Canterlot, il se trouvait dans la ville au nord un peu après la cité ouvrière son travaille à temps partiel l'avait aidé a payer les frais d'inscription et par chance un ami de son père travaillait dans l'imprimerie qui fabriquait les manuels scolaire alors il récupéra des exemplaires défectueux.
L'étalon avec l'âge et sa situation avait censément prit du muscle, ceux-ci était développés mais seulement selon les besoins de son corps teinté d’un vert émeraude, il n'y avait aucune fioriture, il en allait de même pour sa crinière brune qui glissait à mi-chemin sur son encolure et qui se stoppait juste au dessus de ses yeux violet.
Le terrestre rentrait encore usé des cours en passant la porte de l'appartement il se dirigea vers le fond de l'entrée et y déposa ses affaires sur son lit, il se changea sans perdre de temps et repartit vers la porte.
-Attends ! cria une terrestre au corps émeraude et à la crinière jaune.
-Oui… maman qui a-t-il ?
-Tu sais très bien ce qu'il y a tu allait encore partir sans manger.
-Mais je vais bien.
-Non, la dernière fois on à dut te laisser au lit pendant deux jours entier, je m'inquiète pour toi.
-Ne t'en fais pas.
-Prends au moins ça. dit la jument en lançant un sandwich à son fils.
-Merci maman, je rentrerai tard ce soir ne m'attendez pas pour dormir.
-D'accord bonne soirée.
-Bonne soirée.
Après cette discussion le poney se mit en marche vers le café en mangeant son casse croûte pain salade, un classique ça n'avait aucune vertu nutritive mais au moins ça remplissait un peu le ventre, comme d'habitude en entrant en ville il devait faire attention aux licornes qui le bousculaient comme des brutes faisant comme si ils ne le voyaient pas.
Le repas de ce soir avait été très peu nourrissant et Lowly devait faire preuve d'une grande concentration pour éviter tout contact avec une licorne car elle lui de commanderai forcement de payer quelque chose et de plus il ne pourrait pas supporter ne serais-ce que le frôlement d'un autre corps.
Il s'en sortait relativement bien, mais c'est en apercevant les portes du café qu'un problème apparu, son corps le lâcha, il l'avait littéralement abandonné au dernier moment et il ne savait pas pourquoi, jusqu'au moment où il s’aperçut qu'un corps touchait le sien, il n'eut pas le temps de voir le visage de la licorne en question que ses yeux se fermèrent d'épuisement.
*
Il faisait noir, Lowly Soul ne voyait rien et n’entendait qu’un fond sonore régulier offrant un bip pour berceuse.
Curieux de savoir où il se trouvait il entrouvrit ses yeux avec précaution, ce qui lui permis de voir la salle blanche ainsi qu’une masse sur sa gauche, celle-ci était encore indiscernable pour ses yeux. Il les ouvrit alors totalement et vit un corps qui était celui d’une licorne qui devait avoir son âge et dont le visage scintillait dans une teinte bleu pervenche sous sa crinière d’un jaune solaire en accord avec ses yeux de couleur identiques, il fut absorbé un temps avant de s’apercevoir qu’il était dans un hôpital, en regardant par la fenêtre il vit qu’il était dans le quartier chic de la ville, il soutira en vitesse les cordons qui étaient sur lui et fonça vers la fenêtre.
-Première étage c’est jouable.
-Bonjour, vous êtes enfin réveillé. Non parce que vous m’avez fait peur à vous effondrez comme ça.
-Oh non ! Je vous aie touchez, s’il vous plaît, c’était un accident pardonnez moi, je n’aie pas un sous soyez indulgente. supplia-t-il en ouvrant la fenêtre.
-Bien s… mais que faites vous, vous n’allez pas… . La jument n’eut pas le temps de finir sa phrase que l’étalon venait de sautez du premier étage de l’hôpital.
Elle s’y précipita affolée et vit Lowly Soul s’éloigner à grande vitesse de la maison de soin.
-Madame, où est votre ami ? demanda une infirmière qui entrait avec un repas.
-Je ne sais pas, il vient de partir au triple galop.
-Mais quel est cette chose ? s’interrogea la licorne médicale. Je vais le jeter.
La licorne se retourna et vit le collier du poney qu’elle avait amené.
-Non ! c’est à moi.
-À vous demoiselle ?
-Oui à moi, pourquoi ?
-Pour rien demoiselle Loudly Bosom.
La jument cacha l’objet dans sa sacoche de selle et partit chez elle dans la ville de Canterlot qui sombrait sous l’astre de Luna, tout en pensant qu’elle devait retrouver cet étalon pour lui rendre le collier qu’il avait oublié mais aussi car celui-ci l'intriguait, elle n'avait jamais vue quelqu'un sauter du premier étage pour courir comme si il venait de sauter au dessus d'une marche.
*
Lowly Soul était essoufflé, il venait de rentrer chez lui alors que la nuit était déjà bien avancée et ses parents dormaient dans la chambre. Il avança d’un pas prudent pour ne pas les réveiller il se posa doucement sur son lit en tentant mécaniquement d'enlever sa chaîne, son cœur s'affola lorsqu'il remarqua son absence. Le terrestre réfléchit un long moment en refaisant toute sa journée minute par minute, il la portait jusqu'à son évanouissement, mais où avait-elle pu passer, face à son manque d'information il laissa tomber l'affaire. Il tenait beaucoup à l'héritage de sa famille, mais avait des choses plus importantes à régler comme aller s’excuser de ne pas s'être pointé lors de son service au bar. Il entreprit de dormir même si tout ces problèmes le perturbaient.
Le réveil était difficile pour Lowly qui avait à peine fermé l’œil de la nuit, sa mère et son père prenaient déjà leurs petit-déjeuner en faisant le moins de bruit possible afin de ne pas réveiller leur fils. Le jeune poney se dégagea avec difficulté de son canapé lit et entra dans la cuisine, sa mère lui tendit un café qui était la seule chose capable de les réveiller le matin.
Après ce court premier repas, le jeune étalon et son père quittèrent la maison ensemble lui pour partir étudier et son parent pour travailler.
Le terrestre traversa toute la zone industrielle laissant son père lorsqu'il passèrent devant l'usine de tissus où il était employé, il continua seul rencontrant de ses anciens camarades de classes qui partaient vers leurs entreprises.
Il arriva en sortant de la zone industrielle dans les quartier pauvres où quelques poneys terrestre pégases et licornes vivaient ensemble, le lycée où étudiait l'étalon se trouvait dans ce quartier, l'établissement était un bâtiment qui tombait en ruine depuis déjà quelques années et était réputé pour être le pire de tout Canterlot seuls les terrestres les pégases et les plus pauvres des licornes y étudiaient, les cours étaient dispensés par des profs mou et las de se savoir au placard, les élèves pour la plupart étudiaient sans relâche afin de sortir de la misère, ce lieux bien que médiocre leurs offraient des portes de sorties à la vie de pauvreté qu'ils subissaient et même si c'était un travail pourri en ville, chacun savaient que ça valait mieux qu'une vie dans les usine.
Après son dernier cours qui était celui d'histoire, Lowly Soul commença à avancer dans la direction qui le ramenai chez lui. Une fois là-bas, il se changea mécaniquement pris à manger puis partit pour le café.
Il y arriva en moins de temps que le jour précédent mais un peux stresser pour son absence du jour précédent, il poussa la porte et se dirigea vers le comptoir où se trouvait un vieux poney licorne avec une barbe hirsute et grise comme sa crinière et sa queue, cela contrastait avec son corps jaune orangé.
-Bonjour monsieur.
-Bonjour, mais combien de fois vais-je te dire de m'appeler Scent Bean ça va bientôt faire quatre ans qu'on se connaît et quand tu dis monsieur je me sens vieux… enfin… plus vieux. reprit-il après avoir réfléchit. T'était où hier soir, j'ai du me débrouiller tout seul.
-Justement, je voulais m’excuser pour ça, j’étais sur le chemin et j'ai eu une perte de connaissance.
-Oh et comment ça va ? demanda inquiet la vieille licorne.
-Tout va bien.
-Tant mieux.
-Tu ne vas pas me virer ?
-Pourquoi ?
-Parce que j'ai loupé une soirée de travail.
-C'est la première fois et puis t'as pas fait exprès, je sais que je peux te faire confiance.
-Oh merci ! je vais me préparer. Reprit joyeusement Lowly en fonçant aux vestiaire
- chapitre 2:
Lowly Soul s'était réveillé de bonne humeur ce matin, il avait des notes respectable sa famille était heureuse et il n'avait pas perdu son travail. En somme une très belle journée même sous ce soleil particulièrement rude. La seul fausse note n'était qu'un petit détail, mais ce détail gênait beaucoup l'étalon, alors qu'il vivait déjà mal la perte de la chaîne de son grand-père, il s'était fait piquer à vif par la demande de sa mère.
Le matin même la jument lui avait demandé où était passé le précieux héritage familial, dans son stress il lui avait annoncé dans un ton très naturel qu'il avait oublié de la mettre et qu'il n'avait plu le temps, ce mensonge avait fonctionné, mais pour aujourd'hui seulement.
Comment allait-il faire demain, il se sentait mal rien que d'y penser.
Les cours bien qu’intéressant dans leurs domaines étaient gâchés par des professeurs toujours plus dépressifs et les quelques élèves qui s'appliquaient a lancer des boules de papiers dans le dos des enseignants, seul l'un d'entre eux était enjoué, c'était la licorne qui dispensait le cours d'histoire et il l'était uniquement parce qu'il était muté à Manehattan.
Que ce monde pouvait être déprimant parfois.
*
Loudly Bosom venait de finir son déjeuner et s'apprêtait à sortir en ville, elle partie dans sa chambre et avança vers son bureau en ouvrit un tiroir et en sortit l'objet de cuivre et d'étain que ce poney terrestre avait oublié dans la chambre d'hôpital.
Elle le cacha au fond de sa sacoche de selle et descendit au rez de chaussée où une licorne en costume lui ouvrit la porte en donnant une révérence lorsqu'elle passa le seuil.
-Bonne après-midi demoiselle.
-Bonne après-midi à toi aussi Black Butler.
La licorne s'éloigna du manoir des Loudly pour marcher en ville, sur ses côtés étaient placés les manoirs et les maisons de luxe des grandes licornes de Canterlot, le faste de ces lieux n'avait pas d'égale dans tout Equestria. La ville resplendissait, on voyaient sur les côtés les grandes boutiques de la cité qui s'étalaient avec les dernières nouveautés en devanture.
La jeune jument avançait à travers les rues en se demandant comment elle allait pouvoir retrouver ce terrestre qu'elle cherchait, elle allait d'abord partir vers l'endroit où elle l'avait bousculé.
À chaque pas les licornes la regardait avec un mélange d'admiration, de désir mais aussi de jalousie et de haine envers sa famille.
les Loudly avaient bâtit leur fortune sur les grandes mines d'argent et de cuivre des Ghastly Gorge alors que toutes les autres licornes s'acharnait sur de petit gisements dans la Unicorn Range.
Ces regards mettaient toujours Loudly Bosom mal à l'aise, comme à son habitude elle avait prit une vieille tunique muni d'un capuchon pour ne pas se faire remarquer, elle se dissimula dans une ruelle afin de pouvoir l'enfiler. Cette tenue elle la portait l'autre jour, cette fois-là elle était tellement discrète dans ces habits que quelqu'un l'avait bousculé de sorte à ce qu'elle percute ce pauvre poney.
Perdu dans ces pensées, elle ne s'était pas rendu compte qu'elle avait atteint sa destination, le lieu était plutôt calme, quelques poneys passaient dans les rues, mais à part ça pas l'ombre d'une piste.
Elle cherchait une solution dans sa tête, comment allait-elle faire, elle ne pouvait tous bonnement pas interpeller chaque poneys de passages pour leurs demander un renseignement.
La tête de Bosom fumait sous la réflexion, ce n'est que lorsqu'elle vit un pégase, ce qui attirait déjà l’œil, celui-ci entrait dans un vieux bâtiment par une porte qui laissait trôner une enseigne au-dessus d'elle, sur cette dernière on pouvait lire, Chez Bean la vrai senteur du café, alors qu'elle observait encore l'écriteau la jeune licorne eu une idées fabuleuse dans le pire des cas elle paierait une boisson de mauvaise qualité.
Les portes du café s'ouvrirent avec l'arrivée de la jeune licorne qui avait attiré tout les regard de ce lieux que seul les habitués pénétraient. Loudly Bosom était assez gênée par les regard qui s'accrochaient à elle, son corps s'approcha doucement du comptoir où elle rencontra une licorne mâle relativement âgée avec une barbe, elle s’apprêtait a parler avant que le maître des lieux ne la coupe.
-Bonjour, je suis désolé de vous demander ça mais… pourriez-vous retirer votre capuche s’il vous plaît.
Bosom mit du temps à remarquer son manque de manière, elle enveloppa sa capuche dans son aura jaune qui stagna un petit moment sous l'hésitation de celle qui la dirigeait.
Elle franchit finalement le cap et lorsque le tissu fut défait, sa crinière illumina même le recoin le plus sombre du café, chaque personnes étaient ébahis, la licorne encore plus gênée se décida à parler.
-Excusez-moi monsieur mais pourrais avoir un thé s'il vous plaît. demanda-t-elle dans une voie douce.
-Bien sûr, je vous apporte ça tout de suite. répondit le barbu encore sous le choc.
-Merci.
Les regards fixaient furtivement la jeune licorne. Cette dernière attendit au comptoir jusqu’à ce que le patron lui serve son thé, après quoi elle entama la conversation.
-Monsieur, puis-je vous prendre de votre temps ?
-Mais bien sûr, que ce passe-t-il ?
-Eh bien… voyez-vous je suis à la recherche de quelqu'un et je me suis dit que peut-être vous pourriez me porter appui dans ma quête.
-Tout est relatif, vous connaissez le nom de la personne concernée ?
-Non, en revanche je pourrai vous le décrire, il est d'un vert émeraude avec la crinière brune et les yeux violet.
-oh.
-vous le connaissez ? demanda-t-elle en espérant.
-Peut-être. annonça le gérant en se grattant la barbe. Et pourquoi le cherchez vous ?
-Eh bien, c'est compliqué mais j'ai quelque chose qui lui appartient et j'aimerai le lui rendre.
-Donnez moi le je lui rendrai.
-Certainement pas, je ne vous connais pas et qui me dit que vous le connaissez, vous pouvez très bien vous trompez de poney.
-Là, vous n'avez pas tort, si vous attendez ce soir à dix-neuf heure il sera là.
-Mais je ne peux pas, j'ai des horaires à respecter.
-Vous ne comptez quand même pas à ce que je vous donnes son adresse ?
-Eh bien… je n'ai pas d'autre choix.
Le silence se fit pendant un moment alors que les deux interlocuteurs s'observaient les yeux dans les yeux, la vieille licorne avait vécu longtemps déjà, assez en tout cas pour savoir jugé de la sincérité d'une personne à son regard, celui de cette petite était franc et ça lui suffisait.
-Bien, mais faites attention et n'en parler pas trop.
-C'est promis monsieur… , ah mince j'ai oublié de vous demander votre nom et de me présenter, je me nomme Loudly Bosom.
-Enchanté moi c'est Scent Bean. Dit-il en tendant un papier à la licorne.
-Vraiment merci monsieur Scent Bean.
-De rien, je te souhaite une bonne journée.
-À vous aussi au revoir.
-Au revoir.
Bosom tout en remettant sa capuche sortit du café en courant, elle ouvrit le papier où un plan était dessiné, elle commença donc à le suivre sans voir ce qui se tramait dans son dos.
La jument avançait un peu hésitante au travers des rues de plus en plus sombre et labyrinthique de la cité ouvrière dans laquelle elle venait d'entrée, se retournant avec comme seul sensation celle d'être suivie, ce sentiment ne l'avait pas quitté depuis sa sortit du café.
Elle suivait le plan mais il lui restait encore la moitié du chemin à faire, lorsqu'elle releva sa tête du morceau de papier, elle fit face à un étalon terrestre à peine plus âgé qu'elle et qui lui barrait la route.
-Boujour demoiselle puis-je vous aider ?
-Euh… non merci, je m'en sors très bien. reprit-elle alors que trois autres poneys bloquaient le passages.
-Aller on veut juste t'aider, suis nous on va t'amener où tu veux.
-Non je vous assure que je me débrouille très…
Avant que la jument ne termine sa phrase, l'un des membres du groupe la bâillonna tandis qu'un autre la tenait par les jambes, ils la maîtrisèrent assez aisément l'attrapant de toute part, ils se préparèrent à la déplacer quand une voie retentit.
-Fire Turner, Jewel Snack, Iron Sylph et Fun Burrow ! Comptez-vous faire quelques chose avec cette personne ?!
Les quatre caïds déglutirent presque simultanément au son de la voie.
-Flash Hammer. chuchota le chef de la bande effrayé rien quand donnant son nom.
-Oui, alors maintenant vous allez la relâcher et partirent en vous estimant heureux que je ne parle pas à vos parents de votre comportement. D'accord ?
Sans un mot les terrestres la libérèrent et fuirent en courant.
Loudly Bosom, elle, se demandait ce qui allait se passer car elle avait été délivré ,oui mais pour que ces gens aient eus peur il fallait bien que son sauveur soit mille fois plus dangereux.
-Est-ce que tout va bien demoiselle, veuillez excuser le comportement des jeunes de notre petite bourgade, à vrai dire, il n'ont pas beaucoup de choix ici et ça les mène souvent vers des chemins sombres.
-Ce n'est rien je vous assure.
Cette phrase sortit naturellement de la bouche de la licorne devant le regard attristé du terrestre imposant qui se dressait devant elle, malgré la corpulence du personnage, on pouvait discerner dans son regard une grande sympathie mêlé à de la tristesse.
-Mais, dites moi que fait une licorne comme vous dans la cité ouvrière. demanda-t-il.
-Eh bien en fait, je recherche quelqu'un.
-Dans quelle direction allez-vous ?
Loudly Bosom hésitait, elle savait que faire confiance à un inconnue était risqué, y compris si ce même inconnu l'avait sauvé, mais cela dit elle serai certainement plus en sécurité à ces côtés que seul.
-Je me dirige par là. dit-elle en pointant une rue de son sabot.
-Vous avez de la chance c'est mon chemin.
Les deux équidés avancèrent calmement dans les rues ne sachant pas quoi inventer pour briser le silence, la jeune licorne se décida à entamer la conversation.
-Et donc, vous travaillez ici ?
-Effectivement, je suis soudeur chez Chevalet.
-Ceux qui font des carrosses ?
-Oui.
-Vous faites vraiment de belle choses.
Le terrestre la regarda en souriant face à son innocence.
-En fait comment tu t'appelles ?
-Loudly Bosom.
-Et donc Loudly Bosom que viens-tu faire ici.
-Eh bien, je viens afin de retrouver quelqu'un.
-Ah bon vous connaissez un poney de ce quartier ?
-En fait, pas vraiment, en vérité je ne le connais pas du tout, mais lorsque je l'ai fait tomber et qu'il s'est évanouie, je l'ai emmener à l'hôpital. Puis il s'est jeté du premier étage avant de fuir dans la ville, mais il a oublié quelque chose à l'hôpital et je veux le lui ramener.
-C'est une action très noble de ta part.
-Merci. répondit-elle gênée.
-Ah, me voilà au bout du chemin.
-C'est la que vous habité, c'est très grand.
-haha haha. Le rire du poney eu du mal à se taire pour expliquer la situation à celle qui l'accompagnait. Ce… ce n'est pas une maison, ce sont des logement rien que dans ce bâtiment il y a cent logements.
-Cent ! Mais c'est minuscule ! S'écria la licorne indignée de voire de tels conditions de vies possible au sein même de la capitale d'Equestria.
-On s'y habitus, mais je manque à tout mes devoir voudrais-tu boire un café ou un thé chez moi, je pourrais te présenter ma famille, peut-être que l'un d’eux connaissent celui que tu cherches.
-Je ne voudrais pas vous gêner.
-Mais non voyons tu ne me gêne absolument pas.
-Pourquoi pas. reprit-elle en confiance avec ce poney qui l'avait aidé jusque là.
Les deux poneys montèrent quatre étages avant d'arriver devant une porte avec un quarante sept inscrit dessus, le terrestre ouvrit la porte.
-Et voilà bienvenue chez moi.
-Flash c'est toi ?
-Oui je suis rentré. annonça-t-il calmement.
-Oh, bonjour je me nomme Tin Rose, vous êtes ?
-Loudly Bosom.
-La bande de Fire Turner l'avait pris pour cible.
-Oh attends que j'en parle à…
-Non ce n'est pas la peine après tout il ne s'est rien passé de grave.
-Mais.
-Ma chérie tu sais bien que ce n'est pas de leurs fautes.
La jument soupira.
-Oui bon, ma petite tu veux quelque chose à boire.
-Euh je ne voudrais pas vous déranger plus longtemps surtout que je dois encore trouver quelqu'un.
-Tiens j'y pense. reprit Flash. Lowly tu pourrais venir s'il te plaît.
-Tout de suite papa. émit une voix du salon et qui se rapprochait. Que se passe-t-il ?
-Eh bien, j'aimerai que tu aides cette personne à trouver un poney du quartier.
Les deux jeunes poneys restèrent muet en se regardant fixement pendant un moment avant que le jeune étalon ne se reprenne.
-Bien sûr papa on y va tout de suite comme ça je pourrais finir mes devoir en rentrant. Annonça-t-il tout en tirant la jument par le sabot et en ferment la porte de l'appartement derrière lui.
-Chérie tu ne trouves pas que la scène était quelque peut… étrange. dit alors la jument.
-Mais non tu te fais des idées. Répondit Flash le regard fixe sur la porte.
- Chapitre 3:
Lowly Soul courait à travers la cité tenant la jument à bout de sabot pour ne pas la perdre, celle-ci s’époumonait à lui demander de s'arrêter alors qu'elle perdait son souffle. Après avoir passé quelques intersection l'étalon remarqua une petite ruelle qui serait l'endroit parfait, il l'entraîna dans le coin sombre qui était un cul-de-sac, puis il se mit à parler. -S'il vous plaît ne faites rien à ma famille. Supplia-t-il le ventre collé au sol. Mes parents n'ont rien à voir là dedans, de plus c'était un accident et si il faut payer je trouverai l'argent. La licorne ne pu s'empêcher de pouffer devant la scène. -Pourquoi vous rigolez ? -Eh bien parce que vous êtes vraiment amusant. La remarque qui sonnait fausse quand les autres la disaient avait l'air plus sincère en sortant de la bouche de cette licorne. -Relevez-vous je ne vais rien vous faire ni à vous ni à votre famille voyons. reprit-elle. -Ah bon ? mais pourquoi êtes-vous venu jusqu'ici ? Demanda le jeune poney surpris. -Parce que vous êtes parti tellement vite la dernière fois que vous avez oublié ça. Annonça-t-elle en sortant la chaîne de son sac et la plaçant au cou du terrestre. Il se passa au moins trente secondes avant que Lowly Soul ne ferme sa bouche béante et ne saute en pleure à l'encolure de la jument. -Merci… vraiment… merci, cet objet est très important pour moi vous pouvez pas vous rendre compte à quelle vous venez de m'aider. -Eh… eh bien, en fait je… peu peut-être me faire une idée. Dit-elle aussi rouge qu'une tomate sous l'étreinte du poney qu'elle venait d'aider. Lorsque celui-ci s'en rendit compte de son erreur, il se reprit en s'écartant rapidement de la jument. -Pardonnez-moi. -Non ce n'est rien. -Excusez-moi mais pourrais-je connaître le nom de la personne la plus bienfaitrice d'Equestria ? -Bien sûr je me nomme Loudly Bosom mais vous pouvez m'appeler Bosom. dit-elle avant de sourire et de reprendre. Quand à moi pourrais-je connaître le nom du poney le plus câlin d'Equestria. Le destinataire de la phrase rougit avant de répondre. -Lowly Soul mais on m'appelle Lowly, vous pourriez me tutoyer je me sentirai mieux je pense. -Je ne le fais que si tu fais de même de ton côté, Lowly. -Ça marche Bosom. Tu veux qu'on aille boire quelques chose, je connais quelqu'un qui tiens un café et ses boissons sont de loin les meilleurs. -Je croie que je le connais aussi, c'est Scent Bean non ? -Mais comment ? -C'est grâce à lui que je t'ai retrouvé, tu t'étais évanouie à deux pas du café alors. -Ah d'accord, mais ça n'empêche qu'on peut aller boire quelque chose ça te dis ? -À vrai dire son thé est sublime. -Va pour un thé. Les deux jeunes équidés avancèrent jusque dans la ville basse où se trouvait le café de Bean. Lowly entra suivit de Bosom et s'approcha du comptoir il observa son patron qui lui même le regardait avec un grand sourire. -Monsieur vo… . -Lowly on avait dit quoi. -Excuse-moi. Tu nous sers quelque chose. -Mais bien sûr, ce sera quoi ? -Pour moi comme d'habitude s'il te plaît. -Je vais prendre la même chose que lui. -Ok c'est parti. -Tu ne voulais pas un thé ? interrogea le terrestre. -J'ai dit qu'il était bon, mais maintenant je veux tester d'autres boissons et comme je ne connais pas la carte par cœur. Répondit-elle avec le sourire. -Et voilà, deux Lowly Chocolate. Loudly Bosom observa la boisson un moment, ne s'attendant certainement pas à ça, on pouvait voir une tasse remplie de chocolat chaud avec deux marshmallows flottant dessus venait s'ajouter à ça mélangée avec le cacao, une douce odeur de miel s'échappant des tréfonds du breuvage. -Tu me prenais pour un gros buveur de café invétéré c'est ça. -Non ce n'est pas ça, je remarque juste que la recette a l'air élaboré et le nom… . -En fait. débuta Scent Bean. C'est une recette que je ne sers quasiment jamais et comme le seul ou presque à me la demander et Lowly Soul. j'ai pris une partie de son nom. -Oh, donc tu aimes beaucoup le chocolat chaud. -Oui, mais changeons de sujet… . -Tu as raison changeons de sujet Lowly. Annonça une voie aux portes du café. -Ah ! S'écria Bosom en voyant les malfaiteurs de tout à l'heure entrer un par un dans la salle. -Fire Turner, que viens-tu faire ici tu n'a personne à aller embêter. -Oh Lowly sachent que je ne serais pas ici si ton père ne nous avait pas gêné tout à l'heure. Lowly Soul sirota tranquillement alors que les poneys se plaçaient autour du duo. -Lowly ça ira ou tu veux un coup de sabot ? -ça devrai le faire, garde juste un œil su Bosom. La licorne fut tirée derrière le comptoir en moins d'un demi-seconde. -Alors Fire Turner, tu t'es encore barré la queue entre les jambes. -Tu ferais mieux de pas te la péter je te rappelle que tu n'as pas le palmarès de ton père, tu n'es que le fils du marteau foudroyant. Tout le monde dans le café opérai un silence presque religieux alors que les de poneys s'observèrent. -Mais m'as tu déjà vu me battre. -Bien sûr que non ton père viens sortir le fiston du pétrin. -Tu vas vite apprendre que je ne compte pas sur mon père comme tu compte sur tes petits chiens chiens. La boutade déclencha la fureur de Fire Turner qui fonça sur Lowly Soul sans aucune retenue le frappant son encolure de plein fouet, la cible chuta sous le regard apeuré Bosom. -Vous n'allez pas les arrêter ? demanda-t-elle à Scent Bean. -Non. répondit froidement ce dernier. -Bien t'es content, maintenant à moi. reprit l'étalon qui venait de prendre un coup. Lowly Soul s'avança lentement vers son adversaire, quand il fut à porter ce dernier lui lança un coup de sabot dans le visage mais il ne toucha pas l'étalon qui esquiva en penchant légèrement la tête sur la droite puis assénant un uppercut par dessous le coup de Fire Turner à l'aide de son sabot gauche. -Mais pourquoi vous ne voulez pas les arrêter, ils vont se blesser. -Je ne les arrêterai pas car c'est leur combat, ici nous n'avons pas les même tradition que dans le ville haute, si je les stoppe il seront déshonoré et humilié. Ce combat à débuté et maintenant il doit se finir avec un vainqueur et un vaincu, celui qui perdra perdra la tête haute quoiqu'il se passe. Mais si je les arrêtes, ils auront tous les deux perdu le respect des autres. expliqua la vieille licorne. Loudly Bosom avait du mal à tout cerner, mais elle comprenait maintenant les enjeux de ce combat et le silence de l'assemblée prenait un sens beaucoup plus fort dorénavant, elle y vit en y regardant de plus près elle pu voir beaucoup d'étalons passer des pièces à un poney au centre des tables, cette coutume là elle existait partout, chacun pariait sur la victoire de l'un des deux combattants. Un bruit sourd la fit revenir au duel, Fire Turner venait de frapper Lowly Soul dans les côtes. Ce dernier avait l'air de faiblir un peu mais Fire Turner lui titubait littéralement alors que son adversaire ne lui avait infligé jusque là que deux coups, après l'uppercut l'étalon avait enchaîné avec un coup porté entre les jambe au niveau des côtes. Si Lowly pouvait lui remettre une frappe même minime il serait certainement hors circuit, les deux poneys entre-paraient leurs coups, sans laisser l'autre prendre l'avantage. Chacun regardaient le combat avec passion ne détournant le regard sous aucun prétexte. Les deux combattants s'épuisant sur la durée décidèrent d'en finir, dans une parfaite symétrie, ils se lancèrent une droite sur le visage puis s’effondrèrent, les spéctateurs observèrent la scène déçus, le poney centrale commençait à rendre les paris tandis que Loudly Bosom commença son avancée vers les étalons à terre avant de se faire arrêter par le sabot de Bean qui observait encore la scène. Un corps parmi les deux se mis à bouger deux pattes avant se frappèrent au sol pour aider le corps émeraude de Lowly Soul à se relever, toute l'assistance regarda le poney qui fut acclamé par ceux qui avait bien parier et qui allaient réclamer leurs gains. L'étalon s'avança doucement vers son adversaire, il lui pris la pattes avant gauche puis le tira vers le haut, ce qui lui permis de se remettre debout. Les deux terrestre inclinèrent leur têtes en face de l'autre après ce salut Fire Turner se tourna vers la porte puis partis titubant encore, il avait du mal mais refusait l'aide de ses camarades encore à ses côtés dans cette défaite. Le poney victorieux s'avança lentement vers le comptoir laissant un petit gémissement de douleur sortir de sa bouche lorsqu'il prit place sur un siège. Ce petit signal n'échappa pas à Bosom qui regardait avec inquiétude ses blessure. -Est-ce que ça va ? demanda-t-elle. -Oui tout va bien. répondit-il. -Ne me ment pas tu as reçu de gros coups. -Bon j'ai peut-être un peu mal mais ça va j'ai vu pire. -Tu es sûr ? -Mais oui. Vous savez les jeunes il se fait tard, vous devriez peut-être allez vous reposer. interrompit Scent Bean. -Ah mince, il faut que je rentre. reprit Bosom. -Je vais te raccompagner jusqu'en ville puis je reviendrai prendre mon service. -Pas la peine tu es dispensé de travail pour ce soir, tu t'es déjà beaucoup épuisé, vas te reposer. -Bon c'est vrai que ce soir se serai pas du luxe de dormir un peut plus. admit l'étalon. Bon Bosom on y va. -D'accord. Les deux poneys sortirent doucement du café et s’avancèrent dans les rues de la ville basse qui s'assombrissaient. Ils étaient côtes à côtes la licorne veillant à ce que son voisin ne tombe pas d'épuisement, les rues étaient plutôt calmes et le chemin fut rapide pour arriver à la sortit de la ville basse. Lowly se stoppa à ce point alors que la jument l'observait ne comprenant pas. -Est-ce que tout va bien ? -Oui tout va très bien, je pense juste qu'il est préférable que tu avance seul à partir de maintenant. -Pourquoi ? -Eh bien les licorne de ton rang ne devraient pas être vus avec un terrestre. -Je ne vois pas pourquoi. -Eh bien la société est ainsi faite, les licornes et les terrestre ne se côtoient presque jamais à Canterlot. -Mais Scent Bean est bien une licorne. -Oui mais les poneys qui habite à la ville basse sont une classe à part, ce sont ceux qui n'ont pas réussit en haut lieux et qui survivent ce qui fait qu'il ne se base pas sur la caste des licorne de la ville haute, tu es certainement la première licorne de ta classe sociale à t'être soucié d'un terrestre. -Eh bien tu sais quoi, cette norme sociale dont tu me parle, je m'en contre-fiche, alors maintenant tu veux bien venir avec moi. L'étalon hésitait et Bosom le tira vers elle pour le décider et Lowly la suivit, il n'était pas mécontent de la suivre cependant il sentait que ce genre de folie ne pouvait que leur attirés des ennuis, mais la joie ressortant de la jument à côté de lui l'empêchait de refuser quelque demande qu'elle soit, ils avancèrent donc dans la ville haute où les immeuble, les usines et les bicoques en ruines laissaient place à de magnifiques magasins de luxe, ainsi qu'à des maisons et des manoirs qui se faisaient de plus en plus présent au fur et à mesure que le duo avançait. Bosom s'arrêta devant un manoir gigantesque et se retourna vers Lowly. -Voilà. dit-elle. Voilà fut la seule réponse que l'étalon lui donna. -Dis-moi, demain tu seras au café ? -Oui comme tout les jours pourquoi. -Eh bien je reviendrais certainement, j'adore cet endroit les boissons y sont parfaite. -Ouais Bean fait bien son boulot c'est sûr, mais vers quelles heures tu viendras ? -Je sais pas vers dix-huit heures après mes cours. -D'accord de toutes façons je vais prendre mon service plus tôt demain, ça fait deux jour qu'il me libère alors… . -D'accord, on se revoit demain alors. -Oui à demain, bonne soirée. -À toi aussi. Les deux poneys se séparèrent Loudly Bosom rentrant chez elle accueillit par Black Butler tandis que Lowly Soul, l'esprit léger et lourd à la fois faisait face à un paradoxe qui le perturbait plus encore alors qu'il rentrait chez lui dans les rues illuminées de la capitale.
- chapitre 4:
Le réveil fut des plus calme pour Lowly qui sortait de son lit la chaîne au coup, il n'avait pas enlevé cette dernière le soir précédent de peur qu'elle disparaisse dans la nuit, il se leva en pleine forme en entrant dans la cuisine il vit sa mère tendre la main vers la cafetière et l'arrêta. Il s'empara de celle-ci et se servit une tasse en servant celle de ses parents par la même occasion. -Eh bien, tu es drôlement matinal aujourd’hui, que nous vaut cet honneur. demanda son père. -Oh mais je me sens simplement en forme c'est tout. répondit l’intéressé avec le sourire. -Tu n’es jamais en forme le matin, il s'est vraiment passé quelque chose, et tu ne nous a toujours pas dis ce qu'il t'était arrivé pour avoir tout ces coups. reprit sa mère. -mais rien tout va bien, d'ailleurs je vais être en retard. annonça-t-il en finissant rapidement son café. -Tu rigoles tu es en… L'étalon attrapa sa sacoche de selle dans l'entrée et s'en alla vers son lycée. -… avance. termina sa mère. Lowly marchait tranquillement dans les rues, d'humeur joyeuse il chantonnait un petit air sans même s'en rendre compte, puis il arriva devant son lycée et y pénétra. Quelques élèves étaient déjà présent dont Brand et Soft Iron, les deux étaient terrestre Brand était une jument dotée d’un corps rouge flamboyant et d’une crinière orangée, elle avait un tempérament aussi puissant et vif que les couleurs qu'elle arborait. Soft Iron lui, était un mâle gris avec une crinière noire, il était beaucoup plus calme et réservé que la jument. Ces deux poneys était les amis de Lowly depuis la première année de collège. Ils se parlaient toujours entre les cours et se voyaient au café de Bean. -Lowly ! cria Brand fidèle à elle-même. -Brand, Soft vous allez bien ? -Oui. répondit l'autre étalon. Et toi ? -Super. -On dirait pas t'as vu à quoi tu ressemble, il t'es arrivé quoi hier ? demanda la jument. -Oh ça, c'est trois fois rien une mésentente avec Fire Turner. -Ouais, mais c'est vrai que mis à part ça tu es d'une humeur rayonnante et je me demande ce qui te motive plus que d'habitude pour arriver à une heure pareille. -Rien je me sentais simplement en forme c'est tout. -Oui mais… La sonnerie retentissant dans la cour mis fin à la discussion et tous partirent pour une nouvelle journée d'étude. La journée était comme les autres, bien que Lowly montra un enthousiasme certain pour les matières dispensées. Lors de la dernière alarme de fin d'heure tout les poneys sortaient épuisés, pressés de rentrer chez eux. L'étalon et ses amis discutaient encore des travaux harassant qui venaient d'être effectués. -Le cour de géographie sur les griffons, leur empire et leurs flux commerciaux était incompréhensible. se plaignit Brand. -Si tu veux je te réexpliquerai demain avant le cour de physique. -Oh merci Lowly, je sais vraiment pas comment tu fais ça. -Comment je fais quoi ? -Eh bien, tu arrives à suivre les cours, être le premier dans la plupart des matières, à travailler chez toi et au café chaque soir. -Elle a raison c'est sur-équin ce que tu fais. -Si vous le dites, mince je vais être en retard à demain. dit-il en fonçant vers la ville basse.
*
Loudly Bosom après avoir parcourut les rues de la ville basse fut arrivée à sa destination, le café de Scent Bean, elle s'approcha de la porte et l'entrouvrit pour voir si Lowly était là. Ne le voyant pas, elle entra et se dirigea vers Bean qui servait un café long à un terrestre proche de la cinquantaine, lorsqu'elle arriva au comptoir la licorne fini son service tout en se plaçant face à sa nouvelle cliente en un mouvement. -Bonjour damoiselle que puis-je vous servir ? demanda le patron. -Eh bien, je ne connais pas toute votre carte, je vous fais confiance étonné moi. -Bien, Lowly viens ici et sert à cette jument un zebrale. -J'arrive. Le son provenait d'une porte grande ouverte avec de la lumière, elle semblait donner sur des escaliers descendants, ceux-ci devaient déboucher sur le sous-sol. Quelques secondes passèrent avant que l'ombre d'un poney n’apparaisse au seuil de la porte suivit du corps du terrestre qui portait un lourd sac remplit de fèves de café. Lorsqu'il vit la licorne à côté de Bean, l'étalon abandonna son sac dans le réservoir prévu à cet effet, commença prendre une pelletée de fèves et les plaça dans un moulin pour les moudre, il récupéra le résultat dans un tiroir au bas du moulin et déposa le grain moulu dans une cafetière, il y ajouta de l'eau et la plaça sur le feux pendant quelques minutes avant de la retirer et de s'avancer avec la cafetière jusqu'à la jument qui venait juste de remarquer que Scent Bean avait mit une tasse juste devant elle. Lorsque Lowly versa le breuvage dans son récipient la licorne sentit s'échapper un arôme incomparable qui envahissait son museau, elle ne put s'empêcher de prendre une première gorgée, celle-ci la transporta totalement, elle se sentait plus légère qu'une pégase en plein vol. Il lui fallut un long moment avant de se rendre compte qu'elle avait les yeux fermée et qu'elle n'ouvre ses paupières. -Délicieux. dit alors la jument devant les regards amusés des deux étalons. Quoi vous vous moquez de moi c'est ça ? -Non voyons. Répondit instantanément Lowly voyant l’expression vexée de Bosom. C'est juste qu'on a l'habitude de ce genre de réaction face à ce café. -Le zebrale c'est ça ? -Oui. reprit Scent Bean. J'ai ces fèves provenant du pays des zèbres grâce à un ami à rayure qui m'en amène assez souvent quand il revient de sa terre natale. -Ah je vois. Mais ça ne vous permet pas de vous moquez. dit-elle en donnant un petit coup de sabot dans l'épaule de Lowly. -Ok on est désolé Bosom. dit l'étalon en souriant. -Bien je vous pardonne. répondit-t-elle en retenant son rire. Après quelques instants les trois poneys se mirent a rire sans retenue malgré les regards circonspects des autres clients. Suite à cette longue effusions de joie, le calme se réinstalla alors que Loudly Bosom buvait son zebrale et que Lowly continuait de servir les commandes une à une sans le moindre manque de fluidité, les deux étalons gérants le café s'agitaient derrière le comptoir, bien que celui-ci fut très étroit, les serveurs y travaillait sans même un seule contact leurs connaissances des lieux était parfaite, dès que l'un avait besoin de quelque chose l'autre lui passait avant même qu'il en ait besoin. Leurs capacités subjuguaient la jument qui voyait là l'osmose parfaite, elle regardait particulièrement le jeune terrestre qui souriait avec une sérénité qui rendrait n'importe quel monde idéal. Le service touchait à sa fin alors que Loudly Bosom et Lowly Soul discutaient pendant que le terrestre raccompagnait la licorne chez elle comme la fois précédente alors qu'ils continuaient à parler sur le chemin. -Cette soirée était super. déclara Bosom. -J’ai moi aussi beaucoup apprécié ces moments. -Je reviendrais demain. -D’accord à demain. Sur ce rendez-vous les deux jeunes poneys se séparèrent Pour rentrer chez soi, Lowly présentait que le future s’annonçait sous un nouveau jour, plus joyeux et éclatant que jamais. Le lendemain, ils se retrouvèrent au café et ce fut ainsi pendant plusieurs jours se retrouvant chaque fois un peux plus tôt et se connaissant chaque fois un peux plus. Dès que leurs cours respectifs se terminaient chacun galopaient au plus vite vers le café. Cette fois encore ils avaient passés toute la soirée ensemble et comme chaque soir, Lowly raccompagnait Bosom chez elle, discutant de tout type sujet. -Et donc tu as décidé de ramener la ruche à ta mère pour récupérer le miel. répéta la licorne en pouffant devant l’histoire effarante que lui avait sortie l’étalon. -Mais moi j’avais faim et je voulais du miel. ajouta-t-il. Cependant un cliquetis métallique attira leur attention et avant qu’ils ne le remarquent un échafaudage commençait à s’effondrer sur eux. Lowly poussa alors Bosom avec lui cette dernière totalement tétanisée n’eut pas de réaction alors que les sabots de l’étalon passaient ses bras au niveau de son thorax pour la propulser hors du point de chute de l’échafaudage. Ce dernier produisit un grand bruit dans lequel on ne discernait pas le barreaux métallique qui tombaient au sol de ceux qui s’entrechoquaient. Lorsque le bruit se dissipa et que la poussière qui avait été remuée disparut, on pouvait voir Lowly immobile les pattes tendus, juste au dessus de Bosom qui ouvrait à peine les yeux de peur que le terrestre se soit blessé, quand ils eurent été totalement ouvert, elle vit Lowly dont le visage se trouvait presque au contact du sien. Elle sentit les larmes de l'étalon passer sur sa joue. -Est-ce que ça va, tu t'es fait mal. lui demanda Bosom inquiète. -Non. dit-il en attrapant la jument pour la serrer contre lui. J'ai eus tellement peur qu'il ne t’arrive quelque chose, je… je ne veut pas qu'il t'arrive malheur. Je ne sait pa… . Sa phrase s’évanouit alors que les lèvres de Bosom étaient venues à sa rencontre ses larmes continuaient de couler alors qu'il lui rendait son baiser. Il restèrent là quelques instants, profitant de l'autre à côté du tas de ruine auquel ils venaient d'échapper. Lorsqu'il rompirent leur baiser ils s'observèrent pendant quelque secondes, avant qu'ils ne se rendent compte de l'heure qu'il était. -Oh non il est déjà cette heure. s'affola Bosom. Mon père va me tuer si je ne rentre pas. -Eh bien allons-y alors. repris l'étalon en la tirant sur ces pattes. Les deux poneys galopèrent jusqu'au manoir des Louldy où ils se donnèrent un dernier baiser avant de se séparer pour la nuit. Lowly rentra chez lui le cœur léger et calme sa nuit fut des plus paisible et il attendait demain soir avec impatience.
- chapitre 5:
Canterlot s’éveillait encore une fois sous le soleil bienfaisant de Celestia qui déposa sa douce chaleur sur le visage bleuté de Loudly Bosom. Alors qu’elle ouvrait doucement les yeux, quelqu’un frappa à la porte. Vous pouvez entrer. annonça-t-elle. Sur ces mots, une jument entra comme elle en avait l’habitude avec un plateau dans lequel se trouvait un bol de café et deux viennoiserie, Elle le déposa juste devant la licorne qui venait de s’adosser à l’entête de lit. -Votre petit déjeuner demoiselle Bosom. -Je vous remercie Helpful Smile. -Vous avez l’air de bonne humeur ce matin ce serait-il produit quelque chose hier ? La jeune jument eue le réflexe d’amener un sabot à ses lèvres, ce qui ne manqua pas de marquer le visage de la domestique d’un sourire en coin, celui-ci fit passer le visage de Bosom du bleu pervenche au rouge tomate. -Et comment est-il ? -S’il vous plaît n’en parler pas à mon père. s’empressa-t-elle d’annoncer affolée. -N’ayez pas d’inquiétude ma bouche est close, mais répondez au moins à ma question. -Bien, il a le crin émeraude et la crinière brune, il sait bien faire les boissons chaudes… . -oh attendez, boissons chaudes ? -Oui en fait, il travail dans un café. -Comme c’est romantique. annonça la domestique avant de tourner sa tête vers l’horloge. Oh non c’est pas vrai, vous allez être en retard à l’école, dépêchez vous ! Loudly Bosom courut se changer puis descendit les escaliers au triple galop afin d’arriver à l’heure en cours en sortant Black Butler l’attendait avec deux sachet comme si il avait prévu qu’elle n’aurait pas le temps de prendre son premier repas. Elle continua à la même allure jusqu’à son lycée en avalant les viennoiseries du premier sachet la sonnerie retentit à son arrivée en classe et sa journée débuta avec une drôle de sensation comme si tout le monde la fixait, elle avait certes déjà eue cette impression, mais cette fois-ci une atmosphère encore plus lourde l’entourait.
*
Lowly assistait au cour d’arithmétiques mais une chose plus importante que la matière dispensée l’accaparait. -Lowly Soul ! -Oui ?! se réveilla l’étalon. -Avez vous écoutez ce que je viens de vous dire ? -Je suis désolé Madame. -Soyez plus concentré à l’avenir. -Oui madame. Le cour reprit et l’étalon tâcha de mieux se concentrer, mais le poneys qui vint toquer à la porte ne l’entendait pas de cette oreille. Le surveillant principal, un grand poney terrestre gris au regard dur chuchota quelques mots à l’oreille de la professeur qui après être passée par un état de choc observa Lowly et pris la parole. -Lowly Soul, vous êtes convoqué chez le proviseur, veuillez suivre Straight Horse je vous prie. Soudain, l’étalon se sentit très mal à l’aise.
*
-Et donc pourquoi monsieur le proviseur veut-il me voir ? -Vous le saurez en tant voulut damoiselle Bosom. La jeune licorne ne savait plus où se mettre depuis qu’on l’avait sortit de cour pour aller voir le chef de l’établissement mais elle était presque certaine que ça avait un lien avec les regard qu’elle subissait depuis tout à l’heure. Plus elle avançait plus elle se sentait comme étouffée et elle s’étrangla presque alors qu’elle passait la porte du bureau en voyant le proviseur accompagné de son père. -Asseyez-vous damoiselle Bosom nous avons à parler. La jument s’assit calmement sur le siège en saluant respectueusement les deux étalons qui l’attendaient. -Et donc pour quelles raisons suis-je convoquée ici ? -Eh bien voyez vous nous sommes face à un problème majeur et sans précédent qui vous concerne.
*
-Et quel est-il ? demanda Lowly Soul au côté de sa mère inquiète. -Monsieur nous avons de forte raison de penser que vous avez une relation outrageuse avec une élève d’un autre établissement et je vous aient convoqué vous et votre mère afin de tirer cette affaire au claire. Le jeune étalon commençait à sentir le sol se découvrir sous ses pieds le laissant chuter dans le vide, le monde autour de lui s’évaporait puisqu’il savait sur quoi allait déboucher cette discussion. -Je ne vois pas quoi « tirer au claire » comme vous dîtes, car mon fils fréquente qui il veut est-ce que c’est assez simple à comprendre ! La mère de Lowly tenait fermement le costume du proviseur du sabot en lui criant dessus ce qui eu pour effet de rassurer l’étalon. -Madame vos parole et gestes me suffisent amplement. -Amplement pour quoi ?! -Pour renvoyer votre fils de notre lycée, je vous prierai madame de me lâcher et de bien vouloir partir. Tin Rose s’exécuta et lâcha le proviseur, elle avança jusqu’à la porte en suivant son fils, mais se retourna au dernier moment et courut jusqu’au bureau donnant une droite mettant le terrestre à terre. Lowly et sa mère partir sur ce geste qui avait permis au jeune terrestre de mieux comprendre pourquoi son père était toujours aussi aimant et gentil avec sa mère.
*
Bosom était complètement sous le choc lorsque la question fut posée elle avait tout rejeté en bloc mais elle ne pouvait pas s’attendre à ce qui fut présenté sur le bureau, le Canterlot News avec en première page le scoop de l’année. En grosse lettre on pouvait lire « Une future chef d’entreprise se rapproche de ses employés » avec une photo du baiser qu’ils avaient échangé le soir précédent ainsi que des photo d’eux deux au café en compagnie de Bean. Son père la regardait avec un regard plus sombre que celui de Nightmare Moon, un regard qui ne laissait rien présager de bon quand à son avenir, mais surtout quand à celui de son soupirant. -Monsieur, il va sans dire que votre fille pourra rester parmi nous. expliqua le proviseur. Nous souhaitions juste vous mettre au courant de cette situation afin que vous puissiez prendre les mesures adaptées à ce cas et bien sûr votre enfant sera en retenue pendant quatre heures demain pour mythomanie et elle est suspendue pour aujourd’hui. -Bien monsieur, je vous remercie pour votre indulgence. Le père en se levant de son siège attrapa durement et froidement le sabot de sa fille, puis il la tira hors du bureau la faisant le suivre sur la route menant au manoir. Durant le chemin elle était juste rester la tête baissée alors que tout les poneys les observaient le journal sous le sabot, tous avaient l’air dégoutté comme si elle avait commis un meurtre et son père la faisait avancer de plus en plus vite. Une fois arrivés dans le manoir, elle ouvrit à peine la bouche que le maître de maison lui lança un regard meurtrier qui lui donna un frisson. -Que ce soit bien claire Loudly, jamais tu ne reverra cette étalon, de plus dorénavant tu seras accompagnée pour toutes les fois où tu sortira du manoir et tu n’en sortira que pour aller au lycée ou en revenir. Dame Smile, accompagné ma fille jusque dans sa chambre, elle n’en ressortira pas jusqu’à nouvelle ordre est-ce claire. -Oui monsieur. dit la domestique en observant la jument abattu. Elle accompagna la jument presque en la portant jusque dans sa chambre et la déposa doucement sur le lit et c’est là qu’elle s’effondra en pleurant un torrent de larme, la domestique décida de la laisser seul et elle referma doucement la porte.
*
Le jeune étalon observait au loin la ville haute effrayé par ce qu’elles pouvait subir. -Chérie ! Cria Flash Hammer en entrant dans l’appartement. On a un problème. -Je sais flash mais tout va bien. Le terrestre aperçut son fils à la fenêtre et eut une boule au ventre. -Ça a déjà commencé pour vous aussi c’est ça. -Pourquoi nous aussi. -Eh bien je me suis fais virer ce matin, mais tant qu’à faire je vais aller éclater le proviseur de ton ancienne école. Flash se dirigeait vers la porte avant de se faire arrêter par son fils qui l’enlaçait fermement ce qui permis a l’étalon de se reprendre. -C’est pas la peine papa ça ne ferait qu’empirer les choses et puis maman s’en est déjà charger. -Ah, du coup je compati presque pour lui. Lowly lâcha son père et se repositionna à la fenêtre reprenant son observation de Canterlot.
Plus de place pour le sommaire les chapitre suivant se trouvent dans les messages désolé.^^
Dernière édition par raziel le Jeu 27 Juil - 22:16, édité 10 fois |
| | | #Tyunre Brony passionné
Date d'inscription : 22/02/2015 Age : 31 Localisation : n a n t e s
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Mer 28 Déc - 22:24 | |
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| | | #borrougagnou Brony squatteur
Date d'inscription : 28/11/2016 Age : 30 Localisation : Ponyville
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Mer 28 Déc - 22:44 | |
| - Tyunre a écrit:
- g rien lu lol
alors tu sers à rien |
| | | #Tyunre Brony passionné
Date d'inscription : 22/02/2015 Age : 31 Localisation : n a n t e s
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Mer 28 Déc - 22:45 | |
| - borrougagnou a écrit:
- Tyunre a écrit:
- g rien lu lol
alors tu sers à rien popopooooo |
| | | #raziel Frony
Date d'inscription : 27/12/2015 Age : 26 Localisation : cloudsdale
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Jeu 29 Déc - 19:23 | |
| lire ou pas c'est toi qui decide Tyunre en attendant je poste le deuxième chapitre pour ceux qui veulent le lire Bonne lecture |
| | | #raziel Frony
Date d'inscription : 27/12/2015 Age : 26 Localisation : cloudsdale
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Dim 15 Jan - 21:47 | |
| Voilà le chapitre 3 j’espère qu'il vous plaira bonne lecture^^ |
| | | #TheMistyJoke A la réponse
Date d'inscription : 05/06/2015 Age : 29 Localisation : Moirans (vers Grenoble)
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Lun 23 Jan - 17:00 | |
| L'histoire titille ma curiosité mais cela n'empêche pas mes yeux d'avoir très mal. Des tournures de phrases qui passent mal et quelques fautes ortaufraffe. Donc un peu de relecture s'il te plait. Aère un peu ton texte, n'hésite pas à user des espacements de paragraphes ainsi que des saut de ligne. La virgule peu servir et doit s'employer pour mieux rythmer tes phrases. J'ai eu l'impression de digérer un bloc de béton (1 chapitre c'est déjà lourd alors 3 t'imagine ?). Sur le contenu, je pars d'un bon sentiment (je n'est pas une grosse expérience de ce côté là, à pondéré). Explication du contexte réussie pour les deux personnages principaux : leur classe sociale, leur manière de réagir, le contexte global de la ville. Je sens aussi une légère rapidité du récit, probablement car c'est une de tes premières œuvres (tue moi sinon ). En tout cas, bonne continuation, j'attends la suite. |
| | | #raziel Frony
Date d'inscription : 27/12/2015 Age : 26 Localisation : cloudsdale
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Mar 24 Jan - 12:32 | |
| - TheMistyJoke a écrit:
- L'histoire titille ma curiosité mais cela n'empêche pas mes yeux d'avoir très mal. Des tournures de phrases qui passent mal et quelques fautes ortaufraffe. Donc un peu de relecture s'il te plait.
Aère un peu ton texte, n'hésite pas à user des espacements de paragraphes ainsi que des saut de ligne. La virgule peu servir et doit s'employer pour mieux rythmer tes phrases. J'ai eu l'impression de digérer un bloc de béton (1 chapitre c'est déjà lourd alors 3 t'imagine ?).
Sur le contenu, je pars d'un bon sentiment (je n'est pas une grosse expérience de ce côté là, à pondéré). Explication du contexte réussie pour les deux personnages principaux : leur classe sociale, leur manière de réagir, le contexte global de la ville. Je sens aussi une légère rapidité du récit, probablement car c'est une de tes premières œuvres (tue moi sinon ).
En tout cas, bonne continuation, j'attends la suite. touché ce n'est que ma quatrième oeuvre et la deuxième en plusieurs chapitre. On m'a déjà parlé de mes problèmes de rapidité et de virgules qui sont effectivement mes plus gros défaut. et je te remercie pour le reste je ferrai de mon mieux pour la prochaine fois. Raziel s'apercoit qu'il a échoué à s'améliorer |
| | | #raziel Frony
Date d'inscription : 27/12/2015 Age : 26 Localisation : cloudsdale
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Jeu 9 Mar - 8:45 | |
| Voilà mon chapitre 4 et j'en profite pour remercier Atomic Dream pour les fanart qu'il a crée.
Lowly Soul https://i.servimg.com/u/f58/19/42/41/80/lowly_10.jpg
Lowly Soul dans la cité ouvrière https://i.servimg.com/u/f58/19/42/41/80/canter10.jpg
Bonne lecture à tous. |
| | | #raziel Frony
Date d'inscription : 27/12/2015 Age : 26 Localisation : cloudsdale
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Mar 11 Avr - 22:15 | |
| Bon dans trois jour la série redémarre alors pour fêter ça. - chapitre 5:Baiser unique :
Canterlot s’éveillait encore une fois sous le soleil bienfaisant de Celestia qui déposa sa douce chaleur sur le visage bleuté de Loudly Bosom. Alors qu’elle ouvrait doucement les yeux, quelqu’un frappa à la porte. Vous pouvez entrer. annonça-t-elle. Sur ces mots, une jument entra comme elle en avait l’habitude avec un plateau dans lequel se trouvait un bol de café et deux viennoiserie, Elle le déposa juste devant la licorne qui venait de s’adosser à l’entête de lit. -Votre petit déjeuner demoiselle Bosom. -Je vous remercie Helpful Smile. -Vous avez l’air de bonne humeur ce matin ce serait-il produit quelque chose hier ? La jeune jument eue le réflexe d’amener un sabot à ses lèvres, ce qui ne manqua pas de marquer le visage de la domestique d’un sourire en coin, celui-ci fit passer le visage de Bosom du bleu pervenche au rouge tomate. -Et comment est-il ? -S’il vous plaît n’en parler pas à mon père. s’empressa-t-elle d’annoncer affolée. -N’ayez pas d’inquiétude ma bouche est close, mais répondez au moins à ma question. -Bien, il a le crin émeraude et la crinière brune, il sait bien faire les boissons chaudes… . -oh attendez, boissons chaudes ? -Oui en fait, il travail dans un café. -Comme c’est romantique. annonça la domestique avant de tourner sa tête vers l’horloge. Oh non c’est pas vrai, vous allez être en retard à l’école, dépêchez vous ! Loudly Bosom courut se changer puis descendit les escaliers au triple galop afin d’arriver à l’heure en cours en sortant Black Butler l’attendait avec deux sachet comme si il avait prévu qu’elle n’aurait pas le temps de prendre son premier repas. Elle continua à la même allure jusqu’à son lycée en avalant les viennoiseries du premier sachet la sonnerie retentit à son arrivée en classe et sa journée débuta avec une drôle de sensation comme si tout le monde la fixait, elle avait certes déjà eue cette impression, mais cette fois-ci une atmosphère encore plus lourde l’entourait.
*
Lowly assistait au cour d’arithmétiques mais une chose plus importante que la matière dispensée l’accaparait. -Lowly Soul ! -Oui ?! se réveilla l’étalon. -Avez vous écoutez ce que je viens de vous dire ? -Je suis désolé Madame. -Soyez plus concentré à l’avenir. -Oui madame. Le cour reprit et l’étalon tâcha de mieux se concentrer, mais le poneys qui vint toquer à la porte ne l’entendait pas de cette oreille. Le surveillant principal, un grand poney terrestre gris au regard dur chuchota quelques mots à l’oreille de la professeur qui après être passée par un état de choc observa Lowly et pris la parole. -Lowly Soul, vous êtes convoqué chez le proviseur, veuillez suivre Straight Horse je vous prie. Soudain, l’étalon se sentit très mal à l’aise.
*
-Et donc pourquoi monsieur le proviseur veut-il me voir ? -Vous le saurez en tant voulut damoiselle Bosom. La jeune licorne ne savait plus où se mettre depuis qu’on l’avait sortit de cour pour aller voir le chef de l’établissement mais elle était presque certaine que ça avait un lien avec les regard qu’elle subissait depuis tout à l’heure. Plus elle avançait plus elle se sentait comme étouffée et elle s’étrangla presque alors qu’elle passait la porte du bureau en voyant le proviseur accompagné de son père. -Asseyez-vous damoiselle Bosom nous avons à parler. La jument s’assit calmement sur le siège en saluant respectueusement les deux étalons qui l’attendaient. -Et donc pour quelles raisons suis-je convoquée ici ? -Eh bien voyez vous nous sommes face à un problème majeur et sans précédent qui vous concerne.
*
-Et quel est-il ? demanda Lowly Soul au côté de sa mère inquiète. -Monsieur nous avons de forte raison de penser que vous avez une relation outrageuse avec une élève d’un autre établissement et je vous aient convoqué vous et votre mère afin de tirer cette affaire au claire. Le jeune étalon commençait à sentir le sol se découvrir sous ses pieds le laissant chuter dans le vide, le monde autour de lui s’évaporait puisqu’il savait sur quoi allait déboucher cette discussion. -Je ne vois pas quoi « tirer au claire » comme vous dîtes, car mon fils fréquente qui il veut est-ce que c’est assez simple à comprendre ! La mère de Lowly tenait fermement le costume du proviseur du sabot en lui criant dessus ce qui eu pour effet de rassurer l’étalon. -Madame vos parole et gestes me suffisent amplement. -Amplement pour quoi ?! -Pour renvoyer votre fils de notre lycée, je vous prierai madame de me lâcher et de bien vouloir partir. Tin Rose s’exécuta et lâcha le proviseur, elle avança jusqu’à la porte en suivant son fils, mais se retourna au dernier moment et courut jusqu’au bureau donnant une droite mettant le terrestre à terre. Lowly et sa mère partir sur ce geste qui avait permis au jeune terrestre de mieux comprendre pourquoi son père était toujours aussi aimant et gentil avec sa mère.
*
Bosom était complètement sous le choc lorsque la question fut posée elle avait tout rejeté en bloc mais elle ne pouvait pas s’attendre à ce qui fut présenté sur le bureau, le Canterlot News avec en première page le scoop de l’année. En grosse lettre on pouvait lire « Une future chef d’entreprise se rapproche de ses employés » avec une photo du baiser qu’ils avaient échangé le soir précédent ainsi que des photo d’eux deux au café en compagnie de Bean. Son père la regardait avec un regard plus sombre que celui de Nightmare Moon, un regard qui ne laissait rien présager de bon quand à son avenir, mais surtout quand à celui de son soupirant. -Monsieur, il va sans dire que votre fille pourra rester parmi nous. expliqua le proviseur. Nous souhaitions juste vous mettre au courant de cette situation afin que vous puissiez prendre les mesures adaptées à ce cas et bien sûr votre enfant sera en retenue pendant quatre heures demain pour mythomanie et elle est suspendue pour aujourd’hui. -Bien monsieur, je vous remercie pour votre indulgence. Le père en se levant de son siège attrapa durement et froidement le sabot de sa fille, puis il la tira hors du bureau la faisant le suivre sur la route menant au manoir. Durant le chemin elle était juste rester la tête baissée alors que tout les poneys les observaient le journal sous le sabot, tous avaient l’air dégoutté comme si elle avait commis un meurtre et son père la faisait avancer de plus en plus vite. Une fois arrivés dans le manoir, elle ouvrit à peine la bouche que le maître de maison lui lança un regard meurtrier qui lui donna un frisson. -Que ce soit bien claire Loudly, jamais tu ne reverra cette étalon, de plus dorénavant tu seras accompagnée pour toutes les fois où tu sortira du manoir et tu n’en sortira que pour aller au lycée ou en revenir. Dame Smile, accompagné ma fille jusque dans sa chambre, elle n’en ressortira pas jusqu’à nouvelle ordre est-ce claire. -Oui monsieur. dit la domestique en observant la jument abattu. Elle accompagna la jument presque en la portant jusque dans sa chambre et la déposa doucement sur le lit et c’est là qu’elle s’effondra en pleurant un torrent de larme, la domestique décida de la laisser seul et elle referma doucement la porte.
*
Le jeune étalon observait au loin la ville haute effrayé par ce qu’elles pouvait subir. -Chérie ! Cria Flash Hammer en entrant dans l’appartement. On a un problème. -Je sais flash mais tout va bien. Le terrestre aperçut son fils à la fenêtre et eut une boule au ventre. -Ça a déjà commencé pour vous aussi c’est ça. -Pourquoi nous aussi. -Eh bien je me suis fais virer ce matin, mais tant qu’à faire je vais aller éclater le proviseur de ton ancienne école. Flash se dirigeait vers la porte avant de se faire arrêter par son fils qui l’enlaçait fermement ce qui permis a l’étalon de se reprendre. -C’est pas la peine papa ça ne ferait qu’empirer les choses et puis maman s’en est déjà charger. -Ah, du coup je compati presque pour lui. Lowly lâcha son père et se repositionna à la fenêtre reprenant son observation de Canterlot.
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| | | #Shaman Chien Petit nouveau
Date d'inscription : 18/05/2017 Localisation : bien dans ma peau
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Lun 22 Mai - 22:52 | |
| Bonsoir, je m'excuse par avance du déterrage de post à la limite de la nécromancie. Je vois raziel que tu as mit du cœur à l'ouvrage, déjà 5 chapitre Bon je vais éditer au fur et à mesure, cela évitera les doubles posts - chapitre 1:
Alors je vais commencer par la forme Beaucoup de répétition. Tu as une mauvaise habitude, que j'ai eu aussi, celle de faire des phrase trèèèèèèès longues. Parfois c'est une par paragraphe! Utiliser des virgules c'est bien, avoir plusieurs propositions dans la phrase c'est bien, mettre des points c'est mieux ! Ensuite les quelques fautes d'accord que j'ai put voir. Étant moi même dyslexique je risque d'en rater quelques unes - par ici les coquilles:
Paragraphe 1 souvent se sont des personnages de marque
paragraphe 2 bien qu'ils trouvent
paragraphe 3 Ces poneys méconnus de Canterlot travaillent dans les usines répétition de travail /travaillent en moins de deux lignes
paragraphe 4 même chose répétition du mot monde en deux lignes
A la fin de la première partie, juste avant le dialogue entre le héros et sa mère, tu répète souvent terrestre, jument ou jeune étalon va très bien pour décrire tes personnages
5ème réplique du dialogue à dût te laisser au lit pendant deux jours entiers
4ème paragraphe 3ème partie la zone industrielle laissant son père lorsqu'ils passèrent
7ème paragraphe même partie, juste avant le dialogue mais un peu stressé
Le fond à présent Un prolétariat à Canterlot ? Hum pour moi dans l'univers de MLP on a affaire à une société non industrialisée qui marche encore à l'artisanat et aux petits ateliers. Un monde ou les marques de beauté et les dons naturels encouragent une grande maîtrise technique. Cela colle très mal avec une mécanisation du travail et une division des taches (sans aller jusque à la taylorisation). Pour moi un prolétariat ouvrier miséreux et sur-exploité s'accorde très mal avec l'imaginaire MLP, à la rigueur à Manehattan et encore. Mais admettons après tout c'est ça aussi la licence littéraire L'entré au lycée à 14 ans ? Ton héros, a t il sauté une classe ? En principe la 2nd, en France en tout cas, se fait durant ta 15ème année d’existence. Bref tu dois fêter ton 16ème anniversaire au cours de l'année Ensuite j'aime bien ton histoire. Rien de bien originale. On sent la romance arrivé mais bon c'est touchant et correspond tout à fait à un premier amour d'ado. Amour qui a tout pour être impossible, moi j'aime les histoires à la Roméo et Juliette, après tout c'est dans les vieille marmites que l'on fait les meilleurs confiture. Je lirai et commenterai tes autres chapitre la prochaine fois Continue et accroche toi.
- on continue sur le chapitre 2:
Pour la forme Toujours ces fautes. Le plus souvent c'est des fautes d'accord. Seule la relecture permet de les repérer. Le correcteur automatique va passer à côté. tu répètes beaucoup certains mots, licornes par exemple. Comme TheMistyJoke te l'a dit aère ton texte. Fait des phrases plus courtes et moins complexe. - c'est par ici pour la correction:
Partie 1 Paragraphe 1 il avait des notes respectables
La seule fausse note
Paragraphe 2 Une seule et unique phrase ! Interminable. Utilise le point !
Comment allait-il faire demain ?
Paragraphe 3 Idem il n'y a qu'une seule phrase. A croire que cela te coûte de commencer une nouvelle phrase. Les cours bien qu’intéressants
partie 2 Paragraphe 1 elle partit dans sa chambre
paragraphe 6 alors que toutes les autres licornes s'acharnaient sur de petits gisements
paragraphe 7 que quelqu'un l'avait bousculée
paragraphe 9 elle ne pouvait tout bonnement pas interpeller
paragraphe 12 la phrase n'est pas juste grammaticalement. Plusieurs propositions subordonnées mais je n'arrive pas à trouver la proposition principale. On comprend ce que tu veux dire mais c'est très lourd à lire. Je me répète, mais fait plusieurs phrases. Voici une proposition de ré écriture La tête de Bosom fumait sous la réflexion. Elle vit soudain/alors un pégase, ce qui attirait déjà l’œil, il entrait dans un vieux bâtiment par une porte. Au dessus trônait une enseigne ou l'on pouvait lire : « Chez Bean la vraie senteur du café » Alors qu'elle observait encore l'écriteau la jeune licorne eu une idée fabuleuse, dans le pire des cas elle paierait une boisson de mauvaise qualité. Ce n'est qu'une proposition, il faut que cela reste ton œuvre, mais par pitié allège ton texte. Tes constructions de phrase sont trop alambiquées et/ou trop longues.
Paragraphe 13 qui avait attiré tout les regards de ce lieux où seul les habitués pénétraient (...) les regards qui s'accrochaient
A la fin du dialogue Scent Ben se met à tutoyer Loudly Bosom, est ce volontaire ?
2ème paragraphe après le dialogue des rues de plus en plus sombres et labyrinthiques de la cité ouvrière dans laquelle elle venait d'entrer, se retournant avec comme seule sensation celle d'être suivie, ce sentiment ne l'avait pas quitté depuis sa sortie du café.
-Oui, alors maintenant vous allez la relâcher et partir en vous estimant heureux
car elle avait été délivrée, oui mais pour que ces gens aient eu peur
ils n'ont pas beaucoup de choix
faire confiance à un inconnu était risqué (…) elle serai certainement plus en sécurité à ses côtés que seule
C'est là que vous habitez
ce sont des logements
de telles conditions
On s'y habitue
ce poney qui l'avait aidée jusque là
La bande de Fire Turner l'avait prise pour cible
Tiens j'y pense, reprit Flash, Lowly tu pourrais venir s'il te plaît Pour une fois que tu utilises des points, là il n'en faut pas.
Les deux jeunes poneys restèrent muets
comme ça je pourrais finir mes devoirs
la scène était quelque peu… étrange
Ouf j'en ai sûrement oublié quelques unes. Je trouve que par rapport au premier chapitre il y en avait plus.
Pour le fond pas grand chose à dire de plus que sur le premier chapitre. L'intrigue pour prévisible qu''elle soit se met tranquillement en place. L'épisode de la tentative de fillynapping se finie sur un deus ex machina. C'est comme par hasard le père du héros qui sauve l'héroïne, mais admettons, cette heureuse coïncidence sert ton récit Pour la suite j’attends voir. J'espère que tu feras un effort sur la relecture, mais continue c'est en forgeant que l'on devient forgeron et c'est par la pratique que tu t'amélioreras.
- En route pour le chapitre 3:
Pour la forme Toujours ces fautes. Le plus souvent c'est des fautes d'accord. Seule la relecture permet de les repérer. Le correcteur automatique va passer à côté. tu répètes beaucoup certains mots, licornes par exemple. Comme TheMistyJoke te l'a dit aère ton texte. Fait des phrases plus courtes et moins complexe. - c'est par ici pour la correction:
Partie 1 Paragraphe 1 il avait des notes respectables
La seule fausse note
Paragraphe 2 Une seule et unique phrase ! Interminable. Utilise le point !
Comment allait-il faire demain ?
Paragraphe 3 Idem il n'y a qu'une seule phrase. A croire que cela te coûte de commencer une nouvelle phrase. Les cours bien qu’intéressants
partie 2 Paragraphe 1 elle partit dans sa chambre
paragraphe 6 alors que toutes les autres licornes s'acharnaient sur de petits gisements
paragraphe 7 que quelqu'un l'avait bousculée
paragraphe 9 elle ne pouvait tout bonnement pas interpeller
paragraphe 12 la phrase n'est pas juste grammaticalement. Plusieurs propositions subordonnées mais je n'arrive pas à trouver la proposition principale. On comprend ce que tu veux dire mais c'est très lourd à lire. Je me répète, mais fait plusieurs phrases. Voici une proposition de ré écriture La tête de Bosom fumait sous la réflexion. Elle vit soudain/alors un pégase, ce qui attirait déjà l’œil, il entrait dans un vieux bâtiment par une porte. Au dessus trônait une enseigne ou l'on pouvait lire : « Chez Bean la vraie senteur du café » Alors qu'elle observait encore l'écriteau la jeune licorne eu une idée fabuleuse, dans le pire des cas elle paierait une boisson de mauvaise qualité. Ce n'est qu'une proposition, il faut que cela reste ton œuvre, mais par pitié allège ton texte. Tes constructions de phrase sont trop alambiquées et/ou trop longues.
Paragraphe 13 qui avait attiré tout les regards de ce lieux où seul les habitués pénétraient (...) les regards qui s'accrochaient
A la fin du dialogue Scent Ben se met à tutoyer Loudly Bosom, est ce volontaire ?
2ème paragraphe après le dialogue des rues de plus en plus sombres et labyrinthiques de la cité ouvrière dans laquelle elle venait d'entrer, se retournant avec comme seule sensation celle d'être suivie, ce sentiment ne l'avait pas quitté depuis sa sortie du café.
-Oui, alors maintenant vous allez la relâcher et partir en vous estimant heureux
car elle avait été délivrée, oui mais pour que ces gens aient eu peur
ils n'ont pas beaucoup de choix
faire confiance à un inconnu était risqué (…) elle serai certainement plus en sécurité à ses côtés que seule
C'est là que vous habitez
ce sont des logements
de telles conditions
On s'y habitue
ce poney qui l'avait aidée jusque là
La bande de Fire Turner l'avait prise pour cible
Tiens j'y pense, reprit Flash, Lowly tu pourrais venir s'il te plaît Pour une fois que tu utilises des points, là il n'en faut pas.
Les deux jeunes poneys restèrent muets
comme ça je pourrais finir mes devoirs
la scène était quelque peu… étrange
Ouf j'en ai sûrement oublié quelques unes. Je trouve que par rapport au premier chapitre il y en avait plus.
Pour le fond pas grand chose à dire de plus que sur le premier chapitre. L'intrigue pour prévisible qu''elle soit se met tranquillement en place. L'épisode de la tentative de fillynapping se finie sur un deus ex machina. C'est comme par hasard le père du héros qui sauve l'héroïne, mais admettons, cette heureuse coïncidence sert ton récit Pour la suite j’attends voir. J'espère que tu feras un effort sur la relecture, mais continue c'est en forgeant que l'on devient forgeron et c'est par la pratique que tu t'amélioreras.
- la suite avec le chapitre 4:
Pour la forme Je trouve que tu t'améliores sur l'orthographe, cependant il reste encore quelques fautes. - Par ici les les grammanazis:
se servit une tasse en servant celles de ses parents par la même occasion. Sans s il y a une seule tasse pour les deux parents, avec un s il y en a une pour chaque parent. Ils sont pauvres mais quand même... De même tu répètes le verbe servir, utilise un synonyme, remplir par exemple.
On dirait pas t'as vu à quoi tu ressembles, il t'est arrivé quoi hier ?
L'étalon et ses amis discutaient encore des travaux harassants
je vous fais confiance, étonnez moi.
qu'elle avait les yeux fermés et qu'elle n'ouvre ses paupières.
-J’ai moi aussi beaucoup apprécié ces moments. -Je reviendrai demain. Tu confonds ici le future simple de l'indicatif et le présent du conditionnel.
J'ai eu tellement peur qu'il ne t’arrive quelque chose, je… je ne veux pas qu'il t'arrive malheur. Je ne sais pas…
Ils restèrent là quelques instants,
Lorsqu'ils rompirent leur baiser ils s'observèrent pendant quelques secondes
Attention, tu fais des sauts de ligne inutiles. Tu coupes parfois des phrases en deux. Un exemple : - Citation :
- Le service touchait à sa fin alors que Loudly Bosom et Lowly Soul discutaient pendant que
le terrestre raccompagnait la licorne chez elle comme la fois précédente alors qu'ils continuaient à parler sur le chemin. Tu as toujours autant de mal à utiliser la ponctuation. Ton texte manque de virgule voir de point. Sans aller jusqu'au Gueuloir de Flaubert, tu devrais tenter de lire à voie haute ton texte. C'est quelque chose que je fais moi même. Après une chose qui marche pour l'un ne marchera pas forcement pour l'autre. Pour le fond Je n'ai rien de plus à dire par rapport aux posts précédents. Tu restes très classique dans la façon de mener ton intrigue. Ce n'est pas très original voir convenu. Moi j'aime bien ce genre d'histoire. Le passage du baiser est un topos/lieu commun mais ça passe très bien. A toi de rebondir et faire preuve d'originalité dans la suite.
- On conclue avec le chapitre 5:
Pour la forme Tu as fait des efforts ça se sent. Il a de gros mieux sur la ponctuation et l'orthographe. Je t'en félicite, le confort de lecture s'en ressent. Mais ce n'est pas encore parfait (il faut bien se garder une marge de manœuvre pour les derniers chapitres, hein... ) Je ressent une baisse d'attention sur la fin du texte. Ça sent l'écurie comme on dit. - voilà les quelques coquilles que j'ai put voir:
avec un plateau sur lequel se trouvait un bol de café et deux viennoiseries
s’adosser à la tête de lit l'entête c'est pour une lettre, facture ou un article, le lit c'est une simple tête
-Vous le saurez en temps voulut damoiselle Bosom.
Lowly et sa mère partirent sur ce geste qui avait permis au jeune terrestre
ainsi que des photos d’eux deux au café en compagnie de Bean. J'ai un peu de mal avec cette formule. Elle est grammaticalement juste mais à l'oreille elle m'écorche, ça fait 2-2
-Que ce soit bien claire Loudly, jamais tu ne reverras cet étalon
où tu sortiras du manoir et tu n’en sortiras que pour aller au lycée ou en revenir. Dame Smile, accompagnez ma fille, , elle n’en ressortira pas jusqu’à nouvel ordre Tu répètes sortir, essaye de trouver un synonyme ou reformule la phrase. Accompagner est ici à l'impératif.
dit la domestique en observant la jument abattue.
effrayé par ce qu’elle pouvait subir.
Je sais Flash mais tout va bien.
maman s’en est déjà chargée.
Ah, du coup je compatis presque pour lui
J'ai beaucoup aimé le changement dans le style de narration. Tu alternes de court passage avec un de tes personnages principaux puis avec l'autre. C'est sympa, on sent mieux la simultanéité des scènes entre tes deux héros. Petit remarque - Citation :
- le sol se découvrir sous ses pieds le laissant chuter dans le vide
Si tu veux respecter les codes du genre utilise des mots comme « sabot » ou « patte » Pour le fond Que le terrestre soit convoqué pourquoi pas, mais la licorne par contre... J'aurai vu quelque chose de plus feutrée ou subtile. Cependant cela permet de faire un parfait parallèle entre tes deux héros, ils vivent tous deux la même scène. L’accélérateur narratif de l’article de presse est une bonne idée, c'est cliché mais ça marche. J'ai apprécié la mère, Tin Rose, soit aussi sanguine que son mari. Pas de raison que les nanas n’envoient pas tout valdinguer. Tu as toujours une histoire très classique qui continue de suivre les topos du genre. L'amour impossible a été découvert, le groupe des opposants est maintenant clairement identifié. Les parent de la licorne et la plupart de son entourage se rangent dans cette catégorie, à l'inverse la famille du terrestre sont des adjuvants. Tout est prêt, tu as mit la situation en place, les personnages sont campés, l'élément perturbateur a déboulé. Place aux péripéties pour les prochains chapitres.
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| | | #raziel Frony
Date d'inscription : 27/12/2015 Age : 26 Localisation : cloudsdale
| Sujet: Re: Les deux faces de la pièce [romance][slice of life] Jeu 27 Juil - 22:13 | |
| Merci pour ta lecture et ton commentaire Shaman chien. Et vus qu'on est sur la lancée Voilà le chapitre 6 en espérant que l'histoire vous plaise. - chapitre 6: Le plan:
Lowly était encore sur le bord de la fenêtre se demandant comment il pourrait la revoir. Il ne savait pas ce qu’il ferait, mais il était sûr de faire quelque chose, la question était quoi. Ne trouvant aucune solutions au problème il décida de se rendre chez Scent Bean afin d’y penser autour d’une boisson et d’en profiter pour demander conseil à la vieille licorne qui aurait peut-être une idée. Il avançait dans une rue où chaque poneys le regardait avec une expression compatissante, alors qu’il essayait de ne pas s’en soucier selon son humeur il regardait le ciel ou le sol du chemin qui lui semblait interminable. Ce n’est que lorsque son regard croisa le panneau du café qu’il se ressaisit et pénétra dans le bâtiment. En entrant à l’intérieur Lowly constata que chacun l’avaient regardé entrer puis avait détourné le regard par respect à son égard, l’étalon se rapprocha du comptoir pour y rencontrer Bean qui l’attendait tout en faisant une boisson. Alors que le terrestre se plaçait au niveau de la longue crédence la licorne lui fit face en lui tendant un chocolat chaud que l’étalon accepta. -Alors Lowly qu’est-ce qui t’amène ici ? -J’ai besoin de ton aide Bean. annonça l’étalon avant de reprendre à voix basse. Il faut que je revoie Bosom. -Tu es devenus fou c’est ça, fis toi à mon expérience. Tu ne la reverras pas et même si c’était le cas que ferais-tu ? -Je n’en sais rien mais je dois la revoir. -Bon écoute moi bien il n’y a qu’une seule méthode pour la revoir qui plus est ce serais très dure à réaliser et il faudra être au moins deux. -Toi et moi. -Non je suis trop vieux pour faire ça, il te faut quelqu’un de jeune et fort, un poney qui n’ait pas peur des risques de la mission. -Moi. interpella une voix dans le dos de Lowly.
* Bosom était dans sa chambre, chose logique vue qu’elle n’en sortait pratiquement jamais ces derniers jours, elle regardait avec son ventre posé sur le lit la fenêtre et derrière elle les cieux nocturnes parsemés d’étoiles. Elle y voyait deux étoiles côtes à côtes et se demandait si Lowly les voyaient aussi. La domestique pénétra dans la pièce avec un air abattu posant comme chaque soir le plateau repas sur la table sans bénéficier du moindre regard de la jument sur le lit qui fixaient le ciel, elle sortit de la pièce sans faire un seul bruit. La licorne continua de regarder l’extérieur pendant quelques minutes avant de se résigner à manger. Elle se plaça au niveau de la table et regarda son repas composé de salade, de foin et de quelques fleur servant a égayer le tout. Elle débuta son repas sans trop d’envie chaque bouchée l’écœuraient et elle finit par laisser la moitié de son assiette sur le côté avant de tenter de dormir en s’enfonçant dans son lit. La licorne allait s’endormir avant d’entendre un coup sur la vitre de la fenêtre qu’elle ignora en le relayant au vent avant que trois coups plus rapide n’interviennent la faisant sursauter puis se retourner vers la source du bruit, quel ne fut pas son choc en apercevant de l’autre côté des vitres Fire Turner debout sur son balcon. Elle se hâta d’ouvrir la fenêtre laissant entrer l’étalon qui entra sans faire le moindre bruit, il se tourna vers la jument avant de parler. -Bonsoir Loudly Bosom. -Bonsoir Fire Turner. lui répondit-elle. -Je viens transmettre un message de la part de Lowly. annonça-t-il en tendant une lettre à Bosom. Bosom attrapa la lettre impatiente alors que Turner l’observait tout en mettant son sabot dans sa sacoche alors que celle qu’il regardait avait ouvert la lettre et la lisait goulûment. Lorsqu’elle arriva à la fin du parchemin, Bosom releva la tête vers son visiteur nocturne qui lui tendait un collier de cuivre et d’étain reconnaissable entre mille. -Il a dit qu’il n’avait rien de plus à t’offrir et qu’il voulait savoir une partie de lui près de toi. Annonça Fire Turner qui déchanta alors que la jument fondait en larmes avec le collier contre sa poitrine. Après un long moment pour se calmer, elle attrapa sa cape sous son lit puis la tendit au messager. -Dit lui que sous cette cape je le verrais immédiatement et que je prendrais grands soin de sa chaîne jusqu’à nos retrouvaille. -Je lui dirais, il aurait aimé faire tous ça lui même mais la ville est surveillé déjà moi j’ai eu du mal à y arriver, alors lui qui fait les gros titres ça aurait été impossible. -Je comprends, il faut que tu partes maintenant avant d’avoir des problèmes. -Oui tu as raison. C’est sur cette dernière phrase que Fire Turner retourna dans la cité industrielle. Bosom ferma la fenêtre avant de s’allonger sur son lit en révisant le plan de demain étape par étape avant de s’endormir elle mit la lettre dans sa sacoche et observa le collier avant de l’enfouir sous son oreiller et de s’endormir l’esprit tranquille. Le lendemain les rayons du soleil traversèrent la fenêtre et vinrent au contact des yeux de Bosom qui ouvrit ces derniers avant de passer son sabot sous son oreiller afin de retrouver la chaîne de Lowly, elle l’observa longuement sous la chaleur montante du soleil. La jument la rangea vite dans sa sacoche lorsqu’elle entendit des pas s’approcher de sa chambre et que Helpful Smile pénétra dans la pièce suivit de son père. -Bonjour père. dit-elle instinctivement. -Bonjour Bosom. répondit-il alors sèchement encore sur les nerfs depuis l’affaire avec Lowly. J’ai une bonne nouvelle nous avons un moyens d’enterrer tout nos problèmes. -Et quel est-il ? -Tu vas rencontrer le prince hearth hooves. -Attends, tu parles du prince hearth hooves de l’empire de cristal le mi-changeling ? -Exactement, mes connaissances sur place m’ont dit qu’elles pouvaient t’avoir des entretiens avec le prince. -Bien et je pars dans combien de temps ? -Mais tout de suite voyons, il faut faire vite avant que les nouvelles ne les atteignent. Tu pars ce matin prépare vite tes affaire ton train pars dans deux heures. Bosom ne répondit rien alors que son père sortait de la pièce la laissant face à Helpful Smile. Cette dernière la regardait d’un air attristée alors que Bosom réfléchissait aux solutions possible pour régler le problème. Son regard fit face à la jument qui l’observait et une idée s’insurgea dans son esprit. Elle rattrapa son père à toute vitesse avant de reprendre la conversation. -Père quelqu’un vient avec moi ? -Oui Black Buttler te conduira jusqu’à l’empire de cristal. -Black Buttler mais pourquoi je n’irai pas avec Helpful Smile, elle pourrait rester avec moi pendant mon séjour s’il te plaît je n’ai pas envie d’être seul au milieu de poneys inconnus. Son père réfléchit quelques instants avant de se prononcer. -Bien j’accepte ça te fera de la compagnie. -Merci père. dit-elle en courant dans sa chambre afin de se préparer. En entrant dans la chambre elle retrouva Helpful Smile en train d’attendre et lui expliqua son projet. -Helpful Smile il faut que tu m’aides. -Et en quoi ? répondit l’intéressée. -Il ne faut pas que j’aille à la gare, je dois me rendre à un point précis du chemin menant au lycée. -Pourquoi ? -Pour Lowly. annonça-t-elle en sortant la précieuse chaîne de sa sacoche. -Comment pourrais-je vous refuser une telle demande. -Bien il faut qu’on parte tout de suite. Bosom et Helpful Smile passèrent la porte puis saluèrent le maître des lieux avant de partir. Elles prirent le chemin du lycée et foncèrent jusqu’à une fontaine somptueuse faite de pierre où étaient sculptées les deux princesses et au centre un soleil et une lune qui ne faisait qu’un. Bosom regarda autour d’elle cherchant dans la foule Lowly ou Fire Turner mais sans résultat ce n’est que lorsque ce dernier plaqua Helpful Smile à terre et que Lowly lui pris le sabot qu’elle pu les voir, son premier réflexe fut de sauter au cou de son amant encore caché sous sa capuche, avant qu’elle ne se rende compte que celle qui l’accompagnait était plaquée au sol. -Non Fire Turner, c’est une amie lâche la s’il te plaît. Sans comprendre dans un premier temps l’étalon la lâcha et l’aida à se relever. Lowly toujours près de son aimée regarda rapidement autour d’eux avant de souffler, il prit Bosom par le sabot et les deux commencèrent à avancer dans la ville suivit de Fire Turner sous le regard de Helpful Smile encore sous le choc de sa mise à terre. Les deux amants avancèrent toujours prudents vers la cité ouvrière passant par des rues peu fréquentées, leur trajet pris un peu plus de temps que d’ordinaire mais ils finirent par arriver à leur but, l’immeuble de Lowly. Les deux poneys se séparèrent de Fire Turner qui repartit chez lui tandis qu’ils montaient les marches de l’escalier pour atteindre le logement. Lorsqu’ils pénétrèrent à l’intérieur ils se firent happer par Tin Rose qui referma la porte derrière eux. -Oh les enfants vous allez bien ? demanda-t-elle soucieuse. -Oui maman ne t’inquiète pas. -Alors il faut faire vite. reprit Flash Hammer. Dans trente minutes un train de marchandise va partir de l’arrêt de la forge, je me suis arrangé avec un vieil ami. Il va vous faire entrer dans le wagon de réserve qui est en trop, prenez vos affaires on y va. Lowly et Bosom ne posèrent pas de question et suivirent le couple parental qui sortait de l’appartement. Le groupe redescendit en bas puis se dirigea plus en avant dans la cité, ils avancèrent dans la ville d’un pas décidé se dirigeant vers leur destination. Le groupe continua son avancée dirigée par Flash qui fit arrêter ses trois suivant à l’approche de la gare, il observa longuement les alentour avant de faire reprendre le chemin jusqu’au train prêt pour son départ vers Ponyville. Ils s’approchèrent du wagon qui leur était prévu, la porte était ouverte et un zèbre avec le chapeau caractéristique des cheminots les observait de l’intérieur. Il leur tendit son sabot les aidant ainsi à se hisser dans le wagon, Il leur avait préparé un petit coin confortable avec une lampe à huile et du foin pour se reposer. -Bonjour je m’appelle Speed Track. -Enchantée je me nomme loudly Bosom. -Et moi Lowly Soul. -Vous pouvez rester ici jusqu’à Ponyville après quoi ce wagon sera séparé du reste. -Et encore merci Speedy. dit alors Flash Hammer. -Je te dois bien ça. répondit son ami. Bon allez fermez les portes il faut partir. Les deux amants fermèrent les portes côté rail tandis que le cheminot ferma le le côté quai. Alors que les portes venaient de se refermer, les deux amants s’observèrent dans la pénombre avec pour seul lumière celle laissé par l’interstice entre chaque planche du wagon en bois. Lowly se rapprocha pour pouvoir laisser son sabot effleurer la joue de Bosom, il souhaitait s’assurer que ce n’était pas un rêve, mais ce n’était pas suffisant, il tâta sa crinière tout en se rapprochant il l’enlaça assez fort pour sentir son touché et avec assez de délicatesse pour éviter qu’elle ne s’envole dans l’air. Il la relâcha légèrement et elle fixa ses yeux dans les siens. -Ça va ? Demanda-t-elle. -Oui mais je n’arrive juste pas à croire que c’est vrai, que nous avons réussit à nous retrouver et que je ne rêve pas. - Eh bien dis-moi est-ce que dans tes rêves tu ressens ça. annonça-t-elle avant de l’embrasser. Le baiser dura quelques secondes d’éternité avant que Bosom ne le rompt. -Non, là je suis sûr de ne pas rêver. -Attendez mais que se passe-t-il. cria Speed Track alors que des gardes investissaient le quai. -Ne vous inquiétez pas monsieur ce n’est qu’une mesure prise sur toutes les gares de Canterlot, jusqu’à nouvelle ordre nous devons fouiller chaque moyens de transport quittant la cité. -Et pourquoi si ce n’est pas indiscret. -Eh bien simplement parce que la fille d’un haut dignitaire de la ville pourrait s’être faites enlever. Lowly bouillait intérieurement, il avait réagit si rapidement et comment allaient-ils sortirent alors que le train était encerclé par des gardes. -Eh bien heureusement ça n’a rien à voir avec mes planques de contrebande ! éclata le cheminot. -De quoi ?! -Mais non je plaisante. Rigola-t-il. Et quel intérêt j’aurais à crier ça sur tous les toits. -Ce n’est pas faut. reprit le garde. Les gardes avançaient de wagon en wagon, ils arrivèrent au bout du train et ouvrirent les portes du dernier compartiment, alors que le cœur du chauffeur de train battait à cent à l’heure, il se calma en voyant le wagon totalement vide avec juste quelques brins de foin éparpillés dans l’espace. -Et celui-ci vous en faites quoi ? -Regardez sur le plan de route je doit le laisser à Ponyville. -Ah oui je vois, bon eh bien vous pouvez partir. Nous vous remercions pour votre coopération. Les gardes refermèrent les portes et le conducteurs fonça à l’avant et siffla deux fois avant de faire avancer le train. La secousse rapprocha les deux amants à l’étroit dans cette petite cache de contrebande dans laquelle se trouvait des reste de fèves de café à l’odeur très caractéristique de celles que Bean utilisait pour faire son zébrale, les deux poneys rirent tout en sortant du compartiment secret. Il entre ouvrirent la porte pour constater qu’ils étaient bien hors de Canterlot et voir au loin Ponyville surplombé par le château de l’amitié.
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