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 [One shot] Flore Prima

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#Malike
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Malike

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MessageSujet: [One shot] Flore Prima   [One shot] Flore Prima Icon_minitimeLun 29 Juil - 17:34

Voici l'histoire d'une petite licorne en un chapitre :

https://docs.google.com/document/d/1rjBwQMcfTxKPio6HwXIoSUyD5zt58YyVdp2Etk_xk88/edit#heading=h.q53p4qki9ni9

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Dernière édition par Malike le Lun 26 Aoû - 17:49, édité 3 fois
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Vuld Edone

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MessageSujet: Re: [One shot] Flore Prima   [One shot] Flore Prima Icon_minitimeLun 29 Juil - 17:43

Ce n'est même pas ironique : best intro ever.
Par contre le fichier n'est pas public.
[One shot] Flore Prima 3357631100
Dès qu'il est partagé j'irai le lire.
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#Malike
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Malike

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MessageSujet: Re: [One shot] Flore Prima   [One shot] Flore Prima Icon_minitimeLun 29 Juil - 20:08

Oups pardon !
Je le mets là :

Flore Prima

- Flore Prima ?
La licorne ignora l’appel. Elle ne lâchait pas des yeux le papillon de nuit. Que c’était triste, un papillon de nuit ! L’idée qu’une vie puisse être aussi brève l’attristait. Un simple battement de cil, et il pouvait s’être éteint. Triste, oui, c’était le mot.

C’était le soir. Elle était resté éveillée depuis la veille, de minuit jusqu’à dix huit heures. Elle n’avait pas détourné le regard, fixant le vase sur lequel l’insecte était posé avec une sorte de fascination.

- Mademoiselle ?
Elle aimait bien son timbre. Elle aimait bien comme il lui parlait. Il prononçait son nom comme on dit un compliment. Et avec naturel. Le majordome était la seule personne qu’elle aimât dans sa maison.
Il avait le crin noir, qu’il gardait court, la peau grise, et des yeux d’or, un or qui n’appartenait d’ordinaire qu’aux rapaces. Hawky Son n’était vêtu que de haillons, rapiécés en partie, ou même recousus, mais il avait selon elle beaucoup plus de prestance et de grandeur que n’importe quel prince du palais royal. Les pairs de Flore n’auraient jamais ce que lui a, peu importe le prix qu’ils mettaient dans leurs costumes élégants. Ils la dégoûtaient, à s’agrandir par leur lointaine parenté avec une quelconque princesse qui était morte quelques siècles auparavant. S’anoblir de ça ! Dire que Celestia les considérait comme une seconde famille, digne de sa table !
Elle aussi, elle la dégoûtait. Mais pas Hawky. Hawky était son modèle.
Elle se retourna, l’observant d’un œil un peu vitreux. Vraiment, elle l’adorait. C’était la seule personne ici qu’elle aimait. Les autres, qu’ils partent, tant qu’elle pouvait le garder. Elle aurait préféré qu’il soit son père.
- Vous avez dormi, j’espère ?
Son vrai père se moquait qu’elle dorme ou non.
- Non. Je voulais accompagner le papillon. (Sa voix s’était un peu brisée lorsqu’elle pensa au pauvre insecte). Avant qu’il parte. Je voulais savoir où il allait.
Quelque chose passa dans le regard d’Hawky, qu’elle ne put identifier. De la tristesse, peut-être. Encore.
- Et avez-vous pu savoir où il est parti ?
Elle secoua la tête.
- Peut-être pourrons nous comprendre, ensemble, ce soir, pourquoi vous n’avez pu le suivre. En attendant, votre père veut que vous veniez à table. Il reçoit des invités, il tient à ce que vous soyez présentable.
Flore ouvrit de grands yeux, et hocha de nouveau la tête, frénétiquement.
- Je ne veux pas y aller. Je ne veux pas les voir !
Le terrestre l’observa calmement.
- J’aimerais que vous soyiez heureuse. Que vous puissiez faire ce que vous voulez, demoiselle Flore. Mais votre père a plus de droits sur moi que vous, et j’en suis franchement désolé. Plus vous mettrez de temps, plus il en sera fâché, il vaut mieux partir vite. Le printemps file.
Le dicton de la famille Dionysia se révélait d’une véracité étonnante. Déjà la chaleur étouffante envahissait Firedom, pénétrait les maisons lorsque leurs habitants ouvraient leurs fenêtres, cherchant une brise inexistante. Les primevères n’avaient, depuis quelques temps déjà, plus leurs place dans les champs. Elle avait hérité de ce nom de Flore Prima à cause, elle supposait, de sa naissance au début du printemps. La primevère est une fleur de printemps, c’était connu. Petite plante adorable et discrète, aux pétales en forme de cœur, et si douce au toucher... Flore pour la fleur, peut-être, et Prima pour Primula, la famille à laquelle elle appartenait.

Flore n’était pas une belle jeune pouliche aux grandes grâces. Elle n’avait aucun droit d’être près de Celestia. Elle n’était que la bâtarde du père des Dionysia.

Hawky la précéda dans le couloir aux statues de marbres et aux tableaux rares, si effrayants la nuit. Et lui, Hawky, d’où venait-il ? Était-il bâtard, lui aussi, un bâtard abandonné ? Un ancien roi ? Un conseiller qui aurait trahi son seigneur ? Un brigand des routes ? Elle se posait beaucoup de questions sur lui, et elle en était la première étonnée. Puisse-t-il avoir été un traître ou un salaud, elle s’en moquait. Elle n’avait jamais aimé que lui.
Elle-même était très belle. On la complimentait souvent sur son long crin ondulé, répétant à tout va qu’ils étaient magnifiques. Elle n’était pas dupe, elle savait que les civils qui la flattaient ne voulaient que s’attirer les faveurs de la famille. Mais pour ne pas déplaire à son père, elle les remerciait d’un hochement de tête.
Elle préférait largement que ce soit Hawky qui lui parle de sa crinière. Il lui disait que ses cheveux étaient l’eau. Ça la touchait énormément.
- De l’eau !, criait son père, exaspéré, lorsqu’il l’entendait dire ça. Es-tu donc un idiot, Hawky ?
- Je n’ai pas dit ça, maître, sauf votre respect. J’ai dit que la crinière de mademoiselle Flore était l’Eau.
- Encore mieux ! Cette gamine n’est pas l’eau, c’est une bâtarde !
Summer Dionysia s’énervait vraiment pour un rien. Pour peu, rien que pour ça, il aurait pu frapper Hawky.
- Vous devriez aller vous laver, mademoiselle Flore. Je m’en vais quérir votre robe.
- J’veux pas y aller, marmonna-t-elle.
- Il ne faudrait pas offusquer votre père, la raisonna Hawky.
- J’veux pas m’laver, j’veux dormir.
- Vous pourrez dormir tout votre soûl lorsque la soirée sera achevée
- Hawky...
- Faites-le pour moi, s’il vous plaît...
Finalement, Flore consentit. Le ton qu’il avait pris l’avait fait craquer.
Ainsi, une heure plus tard, elle était plongée dans la gigantesque baignoire qui occupait toute la pièce adjacente à sa chambre. L’eau était fraîche, mais pas désagréable.
Il semblait à Flore qu’elle ne faisait qu’un avec l’eau, qu’elle était l’eau, comme le disait Hawky. Elle observait sa crinière se mouver à chaque geste qu’elle faisait. C’est vrai qu’elle ressemblait à de l’eau : verte, blanche et bleue océan, elle était plutôt longue et bouclée, ressemblant à une petite vague. Et puis, à peine mouillée, elle s’adaptait à l’eau.
Ses yeux vairons, leurs couleurs la perturbaient : bleu mer, rouge feu. Son regard était aussi étrange que celui d’Hawky, ainsi les aimait-elle bien malgré tout. Alors qu’elle se plongeait un peu plus dans son bain, elle somnola, rêvassant.

Sa cutie mark fut le premier objet de ses pensées.

Deux primevères croisées, l’une avec les pétales écarlate et indigo, l’autre dorée.
Elle l’avait obtenue alors qu’elle entrait pour la première fois dans le prestigieux manoir qui allait devenir son lieu de vie. Depuis sa naissance, elle vivait dans une petite maison du Sud avec sa mère, rêvant d’une vie meilleure. Sa maman lui avait dit que son père viendrait la chercher, un jour. Les autres pouliches rêvaient de prince charmant, elle attendait son papa. Elle l’imaginait grand, fort, beau, intelligent, tout le contraire de sa maman, qui vendait son corps à tous ceux qui en voulaient pour qu’elles vivent. Mais elle était gentille et cherchait à la faire vivre, malgré sa figure de dépravé. Elle voulait que Flore vive assez longtemps pour connaître une vie meilleure.
Or, un jour, son père était venu la chercher.
Elle qui avait rêvé de lui comme d’un héros qui les sortirait, elle et sa mère, de leurs problèmes ! Mais non, il avait abandonné sa maîtresse là et l’avait entraînée sans lui permettre les formules d’adieux. Il l’avait emmenée sans ménagement dans ce château stupide, et lui avait servi un monologue sur sa bâtardise et l’honneur qu’il lui faisait, alors qu’elle n’avait même pas encore de cutie mark, en plus ! Elle n’en avait pas écouté un mot, choquée qu’elle était d’avoir vu ses rêves de papa idéal brisés par cet idiot. C’était qui, ce fou qui l’avait amenée dans cette ville et qui lui criait dessus ? Il était où son papa ?
Eh bien non, le fou était son père. Ça faisait mal à l’ego.
Alors que toutes ces pensées lui avaient traversé l’esprit comme autant de flèches décochées pour lui briser le cœur, elle avait baissé les yeux et avait aperçu un parterre de magnifiques petites fleurs roses. Des primevères.
Lorsqu’elle les avait relevés, elle avait croisé le regard de rapace de son futur majordome. Et la marque était apparue sur sa croupe. Comme ça. Ça avait dû étonner son paternel trois secondes avant qu’il dise d’un ton nonchalant :
- Bon, au moins ce ne sera pas une totale humiliation.
Elle se moquait de ce qu’il pensait. Elle ignorait alors que le majordome serait une personne qu’elle apprécierait. Elle pensait alors qu’elle détesterait tout le monde.

Mais à présent, dans son bain, elle réfléchissait plus intensément à sa cutie mark. Des fleurs pouvaient-elles représenter un talent ? Elle avait bien essayé de s’adonner à la culture des plantes pour voir si c’était son “don”, mais ce fut un désastre à cause d’une dose trop élevée de désherbant et d’inattention. Elle gardait un souvenir cuisant du moment où elle avait dû avouer sa bêtise face à ses demi frères et sœurs et surtout son père. Sa joue la brûlait encore de la gifle magistrale qu’il lui avait assené.
Non. Et de plus, un détail la troublait : l’une des fleurs qui ornaient son flanc avait la couleur de ses yeux, et l’autre était dorée. Si on suivait la logique, les deux fleurs avaient des pétales représentant les couleurs d’yeux. Or, elle ne connaissait qu’une personne dans le manoir qui avait des yeux jaunes.
Hawky et son regard de faucon.
De plus, ce sentiment s’intensifiait car elle se rappelait qu’après les primevères, c’était lui qu’elle avait regardé avant d’entendre son père s’étonner de la présence d’une cutie mark sur sa croupe.
Elle et son majordome étaient-ils liés ? Plus les jours passaient, plus elle en avait la certitude : elle n’avait jamais vu son flanc à cause des loques qui l’habillaient, essayait-il de lui dissimuler sa cutie mark ? Avait-il aussi du rouge, du bleu et du jaune sur son flanc ? Mais dans ce cas, pourquoi ne pas le montrer ? Par peur ou par honte ? Flore fixa sa peau pâle, se demandant si elle n’était pas la chair de la chair du majordome. Cela expliquerait peut-être certaines choses. Qu’ils s’entendent si bien. Mais en même temps, pourquoi tout ça lui serait-il caché ? Pourquoi Summer l’aurait-il accueillie chez lui. D’ailleurs, sachant que c’est une bâtarde, POURQUOI l’a-t-il amenée ici ?
Elle craignait trop de se faire frapper encore si elle osait l’interroger là-dessus. Ainsi, même si elle était très curieuse, elle tenait sa langue. Elle ne tenait pas à se la faire couper.
- Vous avez fini, mademoiselle ? Ils arrivent dans une demie heure.
Elle avait sursauté en entendant la voix d’Hawky. Elle se redressa, se cogna sur le bord du bassin et poussa un grognement.
- Tout va bien ?
- Ouais, euh je veux dire : oui, j’arrive !, cria-t-elle en se levant, trempée.
Elle galopa vers une des douces serviettes suspendues et s’essuya. Ensuite, elle alla s’habiller, sélectionnant avec soin les bijoux qu’elle allait porter, les fleurs qu’elle allait mêler à ses cheveux pour créer une belle parure. Hawky tendit la robe que son père avait fait confectionner pour elle. Il fallait bien admettre qu’elle était jolie : livide, cyan et turquoise, elle allait à ravir avec ses cheveux et rehaussait la couleur de ses yeux.
Lorsqu’il la regarda, même Hawky en eut le souffle coupé. Elle avait une beauté de princesse et était vêtue comme une reine.
- Vous..., murmura-t-il, réalisant qu’il rougissait, rougissant encore plus de ce constat. Vous êtes vraiment très belle, mademoiselle...
- Oh, merci, sourit-elle, le sachant franc.

La soirée fut interminable. Ses joues la tiraient à force de distribuer de faux sourires, ses muscles étaient gourds d’avoir dû rester assise pendant des heures à écouter son père psalmodier des flatteries, léchant les bottes de ceux qui étaient encore plus haut placés que lui. Le sommeil qu’elle avait à rattraper n’arrangeait rien. Ainsi, elle prit comme un soulagement le départ des autres, et aurait pu courir pour regagner sa chambre si elle n’avait pas été aussi fatiguée.
Son majordome arrangea son lit, tapa les oreillers pour les rendre encore plus confortable et lui souhaita bonne nuit. Mais, alors qu’il partait, il l’entendit bafouiller :
- Attendez ! Vous avez oublié le papillon.... r’contez moi une histoire, s’il vous plait... Avec des nommes.
- Des hommes, mademoiselle (il s’assit en soupirant). Je n’aurais jamais dû vous raconter ces bêtises.
- Encore une ! Celle de l’humain qui atterrit dans notre monde !
- Un autre soir. Et votre papillon ?
Elle observa l’insecte posé sur le vase.
- J’ai réfléchi, bailla-t-elle. Beaucoup. Je crois que je n’ai pas pu le suivre parce que je ne suis pas éphémère, moi.
- Ah oui ?, s’amusa le majordome.
- Enfin si, mais j’ai pas pu mourir en même temps que lui parce que sa vie est plus courte. Et puis, je suis pas un papillon, moi.
- Bon. Et où est-il allé ?
- Je ne sais pas. Où est-il allé ?
- Je n’en ai aucune idée.
Elle sourit. Soudain, songeant à une chose, elle se releva. Elle l’observa quelques secondes. Yeux vairons et yeux de faucon. Cela troubla le majordome.
- Mademoisell...
Elle le renversa sur le dos et lui monta dessus, coinçant les pattes avant avec ses pattes arrière. De ses sabots, elle arracha la tunique qui le recouvrait.
- Flore !
Elle vit sa cutie mark. Elle fut surprise, un peu. Peut-être. Ou pas, elle ne s’en rappelait plus. Elle se tourna vers le visage de l’adulte, une expression calme affichée dans ses prunelles. Hawky et elle était donc liés, elle avait eu raison. Elle se pencha vers lui. Ses lèvres effleurèrent celles de l’étalon... et il accepta le timide baiser qu’elle déposa sur sa bouche avant de reculer.
Sur son flanc, le cœur tricolore se mit à briller.

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MessageSujet: Re: [One shot] Flore Prima   [One shot] Flore Prima Icon_minitimeLun 29 Juil - 20:29

Très belle histoire !

Le style, l'histoire, l'ortho', tout est là !
Flora Prima... ce nom me dit quelque chose [One shot] Flore Prima 2554839287 .

Il y a juste un petit problème avec les dialogues. Il faudrait que tu les aéres, en les séparant des paragraphes principaux, en mettant des guillemets en début et en fin. Il y a PLEIN de façon d'organiser ces dialogues, chacun à ses préférences.


Je trouve qu'il manque de scéne avec le père, notament de dialogues avec lui et sa fille.


Sur ce, je suis impatient de voir la suite !

EDIT : met ta fic' sous spoile : c'est mieux pour naviguer sur le topique [One shot] Flore Prima 3371923627 .
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MessageSujet: Re: [One shot] Flore Prima   [One shot] Flore Prima Icon_minitimeLun 29 Juil - 22:25

Vraiment très sympa ta fic.Un bon rythme et tout.
J'aime aussi beaucoup tes descriptions, tu devrais peut être les étoffer un peu (mais c'est comme tu le sens [One shot] Flore Prima 2085074178 )

bonne continuation
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MessageSujet: Re: [One shot] Flore Prima   [One shot] Flore Prima Icon_minitimeLun 26 Aoû - 16:19

supyteke a écrit:

Sur ce, je suis impatient de voir la suite !
C'est un one shot. [One shot] Flore Prima 1427360860 Mais merci quand même.[One shot] Flore Prima 752684259 
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MessageSujet: Re: [One shot] Flore Prima   [One shot] Flore Prima Icon_minitimeLun 26 Aoû - 16:23

Sérieux ? [One shot] Flore Prima 4264413705 

Zut, la prochaine fois indique le dans les tag, comme ici avec [Oneshot].
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MessageSujet: Re: [One shot] Flore Prima   [One shot] Flore Prima Icon_minitimeLun 26 Aoû - 17:34

Je l'ai indiqué au premier post, avec "en un chapitre", mais je vais éditer ça.
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MessageSujet: Re: [One shot] Flore Prima   [One shot] Flore Prima Icon_minitime

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[One shot] Flore Prima

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