Chapitre 1
Cloudsdale n'avait pas beaucoup changer depuis sa naissance. Mais cela n'avait pas beaucoup d’importance pour Whirlwind. Ses pensées était tournées vers quelque chose de bien plus important pour lui à ses yeux. Sa première leçon de vol. Il allait enfin pouvoir déployer ses ailes qui faisait sa fierté. Tout comme sa cutie mark. Bien qu'il l'est eu dès sa naissance personne ne savait ce qu'elle représentait exactement, beaucoup de rumeurs on circulé sur quel pouvait être sont talent mais aucunes n'avait été confirmées.
Whirlwind entra dans l’enceinte de l'école de vol et comme à son habitude l'attention se tourna sur lui. Le jeune poulain était admiré par beaucoup de ses camarade, du fait de ces ailes et de sa cutie mark. Il attirait aussi jalousie et moquerie d'autres mais il n'avait que faire de ces derniers. Les filles était presque toutes à ses sabots, ce qui l’embarrassait beaucoup. Il avait appris à être modeste. Bien que malgré sont très jeune age il traînait avec les plus belles filles de Cloudsdale, et ceci ne concernait pas que les filles de sont âges.
Le moment tant attendu allait enfin commencé. La leçon de vol allait démarré. Le professeur commença les explications touts les poney était excités, certains tapait des sabots qui soulevait des petit morceaux de nuage comme du coton. Chacun à leur tour les poney battaient des ailles pour essayer de s'envoler. A cause de sont nom Whirlwind était le dernier à passer. Mais celui-ci ne pouvait plus attendre depuis qu'il était né il voulait tester ses ailes si spécial. Alors Whirlwind commença à battre des ailes, de plus en plus fort. Mais tout ne se passa pas comme l'avait espéré le jeune poulain. Plus il battait des ailes plus le vent ce faisait puissant. Le et le vent que provoquait les ailes de Whirlwind commença à faire tombé ses camarades. Les murs en nuage commencèrent à se fissurer toute la ville commença à tremblé. Les cris de ces camarade le fit revenir a la réalité. Il arrêta alors de battre des ailes. Quel stupeur il eu quand il vit ce qu'il venait de provoqué. L'école de vol était méconnaissable. Tout avait été dévasté. Certains de ses camarades avait été blessés.
Tout ce qu'avait voulut faire Whirlwind c'était pouvoir voler comme les autres, mais la vie avait semblé vouloir le contraire. Il rentra à la maison la tête baissé, désespéré. Son père était dans la cuisine.
- « Papa , j'a... »
- « Tais-toi !! cira sont père en le giflant. J'ai appris ce qu'il c'est passé ! Tu est fier de toi maintenant ! Vu que monsieur est né avec les plus belle aile du monde, il ce croit permis de détruire la moiter de la ville !
- Mais...
- Tais toi je t'ai dis ! Maintenant je dois aussi payer les réparation ! Comme si le loyer et les soins de ta mère ne suffisait pas. »
Le jeune poney sorti de la pièce les larmes aux yeux. Bien que à l’extérieur Whirlwind semblait être heureux. Sa naissance avait semé le trouble dans la famille. Sa mère n'avait pas supporté l’accouchement et avait développé une maladie qui la rongeait de l’intérieur atteignant uns a uns ses organes. La mère de Whirlwind aimait beaucoup son enfant ce qui était loin le cas de sont père.
Le jour suivant Whirlwind fut interdit d'utilisé ces ailes à Cloudsdale. Il fut alors obligé d'attendre à son bureau. Mais il remarqua vite qu'il n’était pas le seul à être mis à l’écart. Une pouliche était assise elle aussi au fond de la classe. Il s'approcha d'elle ses cheveux était marrons châtaignes. Et sa peau d'un beige orangé. Whirlwind ne l'avais jamais vu auparavant. Sa crinière cachait presque entièrement ses yeux. Whirlwind se pencha.
- « Euh... Salut ! »
La jeune pouliche tourna aussitôt la tête.
- « Que veut tu ? » répondit la fille.
- Ben... comme on semble être exclus tout les deux de la classe de vol j'aurais pensé que on aurait pu passé ce temps ensemble.
- Je n'ai pas été exclu de la classe de vol. Je... Je suis la car le le voulais. »
- Et pourqu...
- Hey Whirlwind ! L'appela Caissy. La classe est fini tu vient on va joué au Basecloud.
Laisse tombé cette fille elle ne veut jamais rien !
Pendant que Whirlwind se fessait traîné par la patte par sa camarade il continua à regardé la pouliche assise au fond de la classe... De retour chez lui il appris que l'état de sa mère s'était aggraver. Elle avait perdu l'usage de ces membres supérieurs qui provoqua encore une répression de son père qui le battit et l'enferma dans sa chambre. Le jeune garçon pleurais mais il oublia sont malheur que il repensa à la jeune fille qu'il avait vu aujourd'hui.
Le lendemain la journée était entièrement consacré au vol. Et Whirlwind ce retrouva dans la classe à attendre avec cette fille assise au fond. Elle restait immobile et ne semblais porté aucune attention à lui. Le jeune poulain allât s’installer devant elle et posa sa tête sur le dossier de la chaise.
- « Tu n'a pas l'air très bavarde.
La fille tourna la tête.
- Non surtout avec les gens qui ce place devant moi.
- Je vois... Bon comme nous somme tout les deux ici pour la journée pourquoi pas sortir ensemble ?
- Quoi !
- Non enfin c'est pas ce que je voulait dire. Si on faisait autre chose que rester dans cette salle de classe toute la journée ?
- Ah...euh... Oui si tu veut. »
Whirlwind ne s'attendait pas à cette réponse. Et ce demanda si c'était la même fille qui était en face de lui.
- « Euh... Sa te dirait d’aller avec moi à un endroit que j'aime bien ?
- Peut importe tant que je serai avec toi sa ira... Non ! Oubli ce que je viens de dire enfin, j'ai pas envie de me retrouver seule. »
La jeune pouliche frappa sur la table pointa sa patte le le museau de Whirlwind.
- « Si tu répète à a qui que ce soit ce que tu viens d'entendre, je t’explose ! Compris ?
Wirlwind hocha la tête vigoureusement.
- J'ai rien entendu ! Continua la fille.
- Oui oui, pas de problème.
Le jeune poulain ce leva de sa chaise.
- Tu viens ? Plus vite on y sera plus on pourra y resté longtemps.
- Attend ! Dit elle. Je veut bien venir avec toi mais a une condition. Je pourrai tenir ta queue entre mes dents jusqu'à ce qu'on y arrive ?
Le jeune poulain fut extrêmement surpris.
- Et pourquoi tu voudrais prendre ma queue entre tes dent.
Parce que... Parce que sa me ferait plaisir voilà.
Whirlwind soupira.
- Bien, si sa peut te faire plaisir. »
Le poulain ce tourna. La jeune fille posa sa tête contre le corps du jeune poulain et la fit glissé jusque à sa queue et la pris entre les dents. Se qui fit rougir le poulain. Et les deux poulain sortir de la salle de classe. Whirlwind avait un peut honte de sortir comme çà.. Mais en même temps cela l'amusais.
« Tu sait j'ai été très surpris de ta réponse tout à l'heure. Je ne mi attendait pas du tout. Vu comment tu m'avait répondu au début. Je pensait que t'a réponse allait être « Pourquoi nianiania, j'ai pas que sa à faire nianianiania ! Tu ma tout le temps répondu méchamment en te cachant sous tes cheveux. D’ailleurs j'ai encore jamais vu tes yeux, tu tourne tout le temps la tête. Dit il en souriant.
- Hai hoi!
- Quoi ?
- Tais toi ! Je refuse que tu critique ma façon de parler, ni ce que je doit faire. » Répondit elle en lâchant la queue de Whirlwind. « Hey ! Revient ! Je t'ai dit que je te suivrait seulement avec ta queue entre mes dents.
- Ça va... soupira le jeune poulain. Tu peut bien faire trois mètres toute seul non ?
- Non ! Tu ma dis que je pourrais faire tout le trajet comme ça, alors je ferait tout le trajet comme ça.
- D'accord, d'accord.... J'arrive, mademoiselle la difficile. Chuchota t-il.
- Je t'ai entendu ! »
Les deux poney continuèrent leur curieuse marche et mirent un peut de temps à sortir de Cloudsdale. Il se trouvaient maintenant au abords de la ville sur les nuages qui restait accroché aux cumulus qui servait de base à la cité des nuages. Il était maintenant arrivés. Wirlwind alla se placer au bord des nuages afin de mieux voir la vue qui ce présentait devant eux. Un paysage magnifique s'étendait à perte de vue.
- « Voila c'est ici que je voulait venir. Cet endroit m'apaise. J'aime l'ambiance qui y règne.
- Oui, répondit elle, c'est un très beau... très beau... un très beau quoi déjà ?
- Euh... Paysage.
- Oui paysage. J'aime beaucoup... La... La montagne.
- La montagne ? Mais... Il n'y a pas de montagne... Tu est sur que ça va ? Tu te com...
- Tais toi ! Si je te dit que y a une montagne c'est qu'il y a une montagne ! J'ai jamais demander à être comme ça ! » Cria t-elle.
Une bourrasque de vent vint alors soulever ses cheveux. C'est alors que Whirlind pu voir ses yeux. Des yeux d'un blanc bleuté pur mais quelque chose n'était pas pareil. Sa pupille était toute petite et grisée. Elle essaya de ce cacher les yeux et elle tourna la tête. Whirlwind venait de réaliser pourquoi elle ce comportait si étrangement depuis le début.
- « Tu est aveugle c'est ça ?
- On peut rentré s'il te plais.
- Je...
- S'il te plais, coupa la jeune pouliche. Je veux rentrer. »
Le retour se fit sans un mots. Il rentrèrent dans la la salle de classe et la raccompagna jusqu'à sa place.
- « Je...
- Merci. De m'avoir raccompagné, la coupa une nouvelle foi la pouliche. Et s'il te plais, ne le dit pas aux autres.
- C'est...
- Sa va aller merci.
- Bien. » Répondit t-il.
Whilwind poussa un soupir en allant se réinstaller à sa place. L'attente ne lui avait jamais paru aussi longue. A la fin de la journée les filles vinrent cherché Whirlwind et celui s'en allât avec elles mais une pensé restait pour cette jeune fille qu'il avait laissé dans la salle de cours.
La semaine de vol était finit. Whirlwind pouvait alors participé à toute les activités. Mais il remarquai qu'a toute les activité, elle était absente. Elle était tout le temps assis en salle de classe à attendre. Puis le jeune poulain eu sa première copine, qui le fit oublier un peu cette fille dont il s’aperçut qu'il ne connaissait pas le nom. Le temps passa très vite et il remarqua que cela faisait maintenant longtemps qu'il ne lui avait pas reparlé. Les cours de vol reprirent. Se qui réjouissait Whirlwind car ce serai l’occasion de lui reparlé. Et pour une foi comme il espérait. Il ce retrouva encore une nouvelle fois à attendre avec elle.
Il s’installa devant elle.
- « Salut ! Dit-il avec un grand sourire. Il remarqua que cette foi elle ne tourna pas la tête.
- Merci.
- Pour ?
- Ne pas avoir dit au autre que j'étais aveugle.
- Oh ce n'est rien. Même si j'en ait eu l'envie. Mais comme tu me l’avais demandé gentiment, je n'avais aucune raison de ne pas respecté se que tu avait dis. Dis tu...
- Pourquoi tu est venu me parler ? » Coupa la la jeune fille. « C'est par ce que tu à pité de moi ? Tu pense que je ne peut pas me débrouiller seule ?
- Non, non bien...
- C'est vrai. Coupa elle une nouvelle fois.
- De ?
- Je ne peut pas me débrouiller seule. C'est pour cela que j'arrive toujours la première et je repart toujours la dernière. Pour que personne ne vois que je suis aveugle. Je ne peut pas me déplacé car à cause des nuage le chemin change très souvent. Et la plupart du temps il faut volé pour ce déplacé. Et c'est impossible de volé quand on est aveugle ? On a plus aucunes sensations, on ne sais presque même pas si on est à l'envers ou à l'endroit.
- Pourquoi tu ne veut pas que les gens sachent que tu est aveugle ?
- Car après ils ont pitié de moi. Et les autres pourraient ce moqué de moi. C'est pour sa que tu ne ne me connaissait pas au début. J'ai changé d'école. Je ne veut pas que les gens est pitié de moi. Après ils dégagent de faux sentiments. Donc si tu vient me parler juste car tu à pitié de moi, je préfère que tu me laisse seule.
- Je n'est pas pitié de toi, loin de la. A vrais dire j'attendais ce moment depuis la dernière foi. Sa va te paraître étrange mais j'ai beaucoup aimé notre sortie la dernière fois. C'était la première quoi que j’emmenai quelqu'un la bas.
- Maintenant tu l'a emmené aussi non ?
- Qui sa ?
- Caissy. J'ai entendu dire que tu était avec elle.
- Tu sais, elle est avec moi juste pour avoir le plaisir de flâner devant ces amies en disant qu'elle est ma copine. Et moi du coup beaucoup de filles ont arrêté de me coller donc voilà, chacun y trouve son compte. Et pour répondre à ta question question, non je ne l'y est pas emmené. Elle n'a que faire de mes envies. Ah oui il faut que je te dise aussi. Je vais sûrement partir. L'état de ma mère c'est encore aggraver. Et elle veut voir d'autre paysages avant de mourir.
- T'a mère est malade ? Je ne savais pas.
- Oui enfin. J'en suis responsable, à cause de mes ailes. »
Ils continuèrent à parlé de tout et de rien jusqu'à la fin de la journée.
- « Le cours de vol est terminé Va falloir que j'aille rejoindre Caissy sinon elle va encore râlé. Dit Whirlwind en se levant. Et j'ai pas trop envie qu'elle me crie encore dessus. Au fait ! Je ne connais toujours pas ton prénom ?
- Dune. Répondit elle timidement.
- Dune ? J'aime bien. Alors à demain Dune. »
Et pour la première fois, elle fut triste que quelqu'un parte. Et elle attendait demain avec impatience. Le lendemain matin. Elle voulut aller le plus rapidement à l'école. Elle avait même pris le temps de ce coiffer un minimum, même si elle cachait encore ces yeux avec ces cheveux. Ses camarades rentrèrent dans la salle mais contrairement de d'habitude, elle n'entendit pas sa voix. Le professeur annonça que Whirlwind était absent pour une duré indéterminé. Dune savait ce que cette absence signifiait.
Quelques années passèrent sans que personnes n'ai de nouvelle de Whirlwind. Jusqu'au jours ou l'on fêtait la Veillée Chaleureuse. Dune était chez elle seul. Elle était au rebord de sa fenêtre afin d'entendre la fête. La brise froide caressait son visage.
- « Salut !
Dune releva sa tête. Et la tourna.
- Sa... Salut.
- J'étais sûr que j'allais te trouver ici.
- Puis-je te demander pourquoi tu viens me déranger ? Et en plus tu ne te présente même pas devant une fille c'est vraiment lamentable. Tu mériterait que je te claque la fenêtre au nez.
- Tu n'a vraiment pas changer dis donc. Tu te cache toujours derrière tes mèches de cheveux, tu fait la femme forte mais tu à besoin d'aide, et en plus...
- Tais toi ! Je t'interdit de te moquez de moi ! » Dis elle en claquant la fenêtre. Puis elle l'a rouvris un petit peu.
- « Que me veut-tu ? Dit elle d'une voix plus craintive.
- Et en plus tu a oublier ma voix. J'ai été pourtant le seul a connaître ton petit secret dans la classe.
- Whirlwind ?
- Tout juste ! Tu sais que j'ai eu du mal à te trouver quand même, il m'a fallut demandé à pas mal de monde où tu habitait. Sauf que personne connaissait ton nom ni ton adresse. Et il faut dire que vraiment très peut de monde connaissait ton secret. Mademoiselle la difficile.
La jument ne savait pas quoi pensé, elle était doulversé entre la confusion la joie, la crainte et la peur.
- « De... Depuis quand est tu revenu ?
- Aujourd'hui. Je n'...
- Pourquoi n'est tu pas avec les autres ?
- Je les ai déjà vu ne t’inquiète pas pour ça. Mais que quelqu'un ne s'amusait pas donc j'ai voulu passé lui remonté le moral.
Dune rougie.
- Je ne pensai pas...
- Whirlwind ! Viens ici mon étalon ! Ce cris vint coupé cour à la conversation.
- Aie, non ! Caissy ma suivi. Bon je dois y allé du coup. Je repasserais te voir demain. »
Whirlwind s'en allât rejoindre Caissy, qui celle-ci était encore en train de râlé contre lui. Il était ravi de revenir à Cloudsdales il avait été accueilli par tout les habitant à bras ouvert tous avait semblé avoir oublier ce qu'il c'était passé à cause de lui. Whirlwind était devenue maintenant un beau garçon. Et ses ailes avait encore grandi celle si étaient devenu plus grande que celle d'une alicorne, et celles-ci ne s’arrêtaient de grandir. Whirlwind était devenu à lui même une attraction. Tout le monde voulait admiré ces belle ailes. Il passa la soiré avec ces ses anciens camarades de classe. Cloudsdales avait importé du cire spécialement de Sweetapple Acre pour l'occasion. L'ambiance était à la fête. Mais Whilwind était quand même triste d'avoir laissé Dune toute seule. La fête continua jusqu'à la levé du soleil. Après avoir trop bu et trop veillé, il s'effondra sur le canapé de sont amie Caissy en oubliant ce qu'il avait dit à Dune, Le lendemain il se dirigea, chez Dune celle-ci n'avait pas bouger de la pièce ou il l'avait laisser avant-hier. Il s'en voulut alors énormément de l'avoir laisser seul ces deux jours il espérait qu'elle ne serait pas trop furieuse après lui. Il voulut se faufiler derrière elle pour lui couvrir les yeux et lui demander qui c'était, mais il se rendit compte de l'absurdité de ce jeu pour Dune. Il décida de lui faire une surprise quand même il ouvrit la porte de la maison très doucement en étouffant le bruit de la porte avec des morceau de nuage. Il n'approcha de la chambre de la jeune fille il s'arrêta alors à l'entré. Bien qu'il avait grandi depuis la dernière c'était la première foi qu'il entrait dans la chambre d'une fille. Celle ci était étrangement vide. À quoi sert de la décoration quand on est aveugle. La jument était assis sur sont lit à attendre. Il s'approcha alors doucement d'elle et lui chuchota à l'oreille.
- « Salut.
La jument fit un bond sur le coté qui la fi tombé de sont lit.
- Mais sa va pas ! Faire une blague comme ça à.... à .... à une aveugle. Fini t-elle par dire.
- Excuse moi je ne m'attendais à que tu réagis comme sa c'était pas malin de ma part je te l'avoue. J’avais pensé à la base que sa pouvais te faire plaisir.
- Non ! Enfin oui, sa me fait plaisir qui tu a voulut me faire plaisir mais ce n'était pas la peine. Tu n'a pas besoins de fait ça vu que monsieur était trop occupé pour oublier les chose que tu dit.
Whirlwind voulu l'aider à ce relever.
- Laisse moi ! Je peut me débrouiller seul pour ça.
- Oui je sais je m'en veut beaucoup, je suis désolé. La soiré a duré jusqu'au matin et...
- Oui j'ai remarqué. Tu a du passé une soiré superbe et en bonne compagnie en plus. J'imagine que tu n'a pas du chaumé. Monsieur l'étalon !
- « Ah ah » rigola Whrilwind. « Tu est vraiment lion du compte. Maintenant il faut que je trouve quelque chose pour me faire pardonner... Je pense que j'ai trouvé. Dis moi, sa te dirait d’aller avec moi à un endroit que j'aime bien ?
- Tu aime bien la nostalgie toi. Dit elle en souriant. Mais je pense que sa suffira. Rassure toi je ne te répondrais pas la même chose que la dernière fois. En tout cas oui j'accepte avec plaisir que tu m’emmène à ton mystérieux endroit.
- Et moi j'accepte avec joie que tu tienne ma queue entre tes dents.
- N... Non. On ne peut pas.
- Pourquoi ? Répondit Wjhlwind surpris.
- Avant sa allait car on était petit mais maintenant je ne peut pas te suivre comme ça. On va ce moquer de nous. Et... J'ai pas envie que l'on ce moque te toi à cause de moi.
- Tu sais je n'ai que faire des moquerie des autres. Mais si cela te gène tellement on peut croiser nos ailes.
- Mais il n'y a que les jeunes couples qui font cela. Les gens vont ce poser des questions et Caissy et toi...
- Je me fou de cette pimbêche vantarde et inintéressante. Je ne suis même plus avec elle si tu veut tout savoir. J'ai eu huit déclaration d'amour hier pendant la fête, toutes de fille, très jolies certes mais totalement dépourvu de moindre intérêts et de sentiments. Et depuis quand madame la forte tête à peur des gens ?
- Bon d'accord mais... Mais n'en profite pas pour te frotter à moi ! Sinon... sinon... Je te fait tomber.
- C'est drôle comme situation s'échange. La dernière fois c’était moi qui avait honte de me déplacé avec toi comme ça. Et maintenant c'est toi. Madame aurait elle développé des sentiments depuis tout ce temps ? Dit il avec un grand sourire.
- Tais toi...
Et les deux jeunes partir, ailes croisé. Tout les habitants qu'il croisait s’arrêtait pour les regarder. Et les mèches basses commencèrent à fuser. Certaines filles était vexé. Ce qui amusait beaucoup les étalons des alentours. Certains leur faisait des signes plus où moins inappropriés. Whirlwind se contentait de répondre par un sourire. Pour une fois il fut content qu'elle ne voie pas les gens qui les regardaient. Dune devenait de plus en plus rouge.
- « Tu est sûr que sa va aller ? Je n'aimerai pas que tu explose avant que l'on arrive.
- Tais-toi. J'entends les gens parler sur nous. Et il n'y a rien de plus horrible.
- Détend toi . On en fait rien de spécial. Je ne voie pas ce que les gens peuvent dire du mal de nous. Dit t-il en la serrant un peut plus contre lui.
La jument se dégagea légèrement.
- Si justement. Toi même tu est spécial.
Whirlwind ne pu rien répondre à cela.
La cité c'était légèrement agrandit depuis la dernière foi. Il arrivèrent finalement à l'endroit voulut. Le paysage avait légèrement changer. On pouvais voir maintenant quelques pommiers au loin. Le soleil se reflétaient sur feuille rouge oranger de l'automne qui donnait une ambiance orangé à tout le paysage. Les deux poney s'assirent devant ce magnifique paysage.
- « Quel dommage que tu ne puisse pas voir ça. Les couleurs son magnifiques.
- « Je ne connais pas les couleurs, j'arrive un peu à les ressentirent. Tu pourrais me les décrire s'il te plais ?
- Il est très dure de décrire une couleur. On utilise souvent les couleurs pour décrire les choses et rarement l'inverse mais je vais essayer. Le bleu est froid, doux et reposant à la foi, il inspire la confiance. C'est la couleur du ciel et de la mer. Elle évoque les rêve, la sérénité et la loyauté, bien qu'elle évoque aussi la mélancolie et la tristesse. Le jaune et la couleur la plus lumineuse, couleur du soleil elle réchauffe, nous donne une sensation de puissance. Le vert est la couleur de l'herbe et de la nature inspirant la stabilité. Le orange inspire la confiance et la joie. Et enfin le rouge, couleur du sang représente la violence, l'interdiction. Mais cette couleur et fourbe car bien qu'elle représente le conflit, elle représente aussi l'amour, la passion et même la sexualité.
Dune se serra contre Whilwind.
- Et toi, c'est la quelle que tu préfère parmi toutes ?
- Bonne question. Dis t-il en rigolant. J'aime l'harmonie des couleurs les mélangées, la matière quelle dégage. Je n...
- Dis moi. Coupa t-elle. Pourquoi me fait tu venir à cette endroit. Tu sais très bien que je ne peut pas voir les paysages. Tu me fait venir ici pour te sentir supérieur à moi. Tu t'amuse avec toute les autres filles et tu fait la même chose avec moi. En fait tu t'en fou des sentiments des autres tout ce qui te concerne c'est ton petit bonheur personnel. Mais en plus moi je ne peu pas te voir. Tu m'uti...
- Ça n'a rien à voir. Arrête de voir tout le temps le mauvais coté le la barrière. Je fait en aucun cas cela pour me moqué de toi ou me sentir supérieur. Si je voulais te ridiculiser je n'aurais pas pris la peine de te parler en classe ni de venir avec toi jusque ici. Tu reproche aux gens des choses qu'il ne pensent même pas. Tu te cache derrière un caractère fort alors que comme tu l'a dis il y à longtemps, tu à besoin d'aide. Et je...
- Tais-toi ! Tu ne sais pas ce que c'est que passer sa vie dans le noir de ne pas connaître le monde qui t'entoure, ni même ton propre corps ! D'essayer d'imaginé tout le temps à quoi peut ressemblé le monde, les gens, la vie. T'a mère ta dis que tu était né avec de la chance. La mienne ma dit que j'avais eu de la chance d'être né.
- C'est vrais je ne connais que le quart de ce que tu a souffert et pour le monde qui t'entoure et ton corps, moi je vois le tien et je dois t'avouer que tu est plutôt mignonne. Dit il en souriant. Tu ne peut pas voir le sourire des gens mais tu n'a pas besoin de la vue pour savoir si un sourire et vrais ou faux.
- Comment je pourrais connaître ton sourire je ne sais même pas à quoi tu ressemble. Je ne sais que des on-dit.
- Et qu'est ce que l'on dit sur moi ?
- Que... Que... Tu à la crinière blanche et... Et pourquoi je te dirais ça tu sais déjà a quoi tu ressemble. Mais j'ai entendu dire que... Que tu était plutôt beau. Dit-elle en s’éloignant de lui.
- Et sa te fait peur ? Tu a peur de ce que les gens peuvent penser. Tu t'imagine que juste par ce que je suis beau je dois traîner avec les autres. Depuis quand la beauté est réservé aux autres. Alors si c'est ce que tu pense, je suis « l'autre » le plus chanceux du monde.
- Mais... J...
- Chut. dit t-il doucement en posant sa patte sur les lèvres de Dune. Tu pose trop de questions auquel tu imagine une réponse que tu ne voudrais pas entendre.
Whirlwind vint posé ses lèvres sur celles de la jument. Elle était paralysé par cette sensation. Ce goût, elle s'imagina tout de suite la couleur rouge. Ainsi c’était donc ça, ressentir une couleur.